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La barbe pourrait s’avérer un allié de la santé des hommes

Les hommes qui arborent la barbe sont nombreux. Et ceux-ci pourraient bien découvrir un nouvel avantage à ce choix de vie, si l’on se fie à une nouvelle étude australienne sur le sujet.

L’étude en question, rapportée par le Daily Mail (UK), explique que le port de la barbe permettrait de prévenir de certains problèmes de santé. Ce serait notamment vrai en ce qui concerne le cancer de la peau, les attaques de pollen et le vieillissement prématuré de la peau.

Si l’on comprend pourquoi la barbe permet un barrage des rayons UV, et donc une diminution des risques de cancer de la peau dû au soleil, on peut s’étonner d’apprendre que celle-ci agirait aussi comme filtre au pollen.

De plus, le port de la barbe permet de contrer le vieillissement de la peau visage, selon les chercheurs de l’Université du Queensland qui publient leurs observations, car celle-ci garde la peau hydratée en tout temps. Le rasage est également l’une des raisons qui expliquent souvent la sécheresse de la peau du visage chez les hommes, en plus de favoriser les infections.

En clair, les barbus ont maintenant quelques nouveaux arguments pour défendre leur choix.

Les conclusions de l’étude australienne ont été publiées dans le magazine Radiation Protection Dosimetry.

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Les allergies printanières pourraient être plus violentes cette année

Si vous souffrez d’allergies saisonnières, préparez-vous à un printemps qui pourrait s’avérer terrible! Selon The National Library of Medicine, plusieurs personnes ressentent déjà les affres des allergies printanières, bien que la nouvelle saison semble tarder avant de s’implanter complètement.

Aucun avantage, mais tous les inconvénients en ce printemps pour les allergiques. De plus, la virulence de ces allergies semble prendre de l’ampleur année après année, et il faut s’attendre à une hausse de la violence de celles-ci.

Pour les États américains nordiques et le Canada, on rappelle qu’il est tout à fait normal de ressentir les symptômes d’allergies dès le mois de mars, et ce, jusqu’au mois de mai.

En plus de l’intensité des symptômes, les spécialistes croient que les périodes de pollen pourraient s’étendre sur une plus longue durée. Décourageant!

« Nous avons enregistré des records de pollen lors des dernières années, et les saisons peuvent s’avérer un peu plus longues, parfois jusqu’à dix jours de plus dans le nord-est. Ces changements sont manifestement dus à des taux de monoxyde de carbone plus élevés », révèle le Dr Kevin McGrath, un porte-parole de l’American College of Allergy, Asthma and Immunology.

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Un lien entre l’asthme chez les bébés et l’exposition au pollen durant la grossesse

Des chercheurs suédois ont analysé une cohorte de 110 381 enfants nés entre 1988 et 1995, incluant 940 jeunes qui avaient été hospitalisés pour de l’asthme durant leur première année de vie.

Pour bien évaluer l’exposition réelle des mères et de leur bébé au pollen, les chercheurs ont fait appel à des statistiques météorologiques historiques.

Même en ajustant les données pour tenir compte de facteurs incluant l’année de naissance, le tabagisme de la mère, le sexe, l’âge gestationnel à la naissance et les infections, une mère exposée à un haut taux de pollen durant les 12 dernières semaines de grossesse avait 35 % plus de chance que les autres d’avoir un bébé asthmatique hospitalisé, selon ce que rapporte Medscape.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Allergy, Asthma and immunology.

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Les enfants asthmatiques sont vulnérables

Des chercheurs des universités Yale et Brown ont conclu, après avoir suivi 430 enfants asthmatiques de 4 à 12 ans, que le plus faible taux de pollen dans l’air pouvaient les atteindre.

Durant cinq ans, on a analysé les taux quotidiens de pollen près de la maison des sujets. Il en est ressorti que ces enfants sont très vulnérables. Au plus faible taux de pollen, ils étaient enclins à présenter des symptômes de l’asthme.

Même s’ils prenaient des médicaments, ces enfants étaient 37 % plus à risque de présenter des difficultés respiratoires et de devoir bénéficier d’un traitement supplémentaire. On parle ici d’un taux de 6 à 7 grains de pollen par mètre cube, ce qui est minime.

D’autre part, les chercheurs ont remarqué avec surprise que ces enfants présentaient moins de symptômes de l’asthme lorsque les taux de pollen étaient élevés. On peut toutefois expliquer ce contraste par le fait que les parents d’enfants asthmatiques suivent les bulletins sur les taux de pollen et agissent en conséquence.

Par exemple, lorsque le taux de pollen est élevé, on gardera simplement un enfant asthmatique à l’intérieur, à l’air conditionné.

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Des probiotiques pour vaincre les allergies saisonnières

Des chercheurs néerlandais ont découvert que certains probiotiques pourraient combattre les allergies saisonnières causées par le pollen des plantes.
 
En fait, ce sont les probiotiques avec la bactérie Lactobacillus qui sont efficaces, selon les tests cliniques effectués auprès de 62 personnes pendant deux ans. Ces participants avaient une rhinite allergique liée au pollen du bouleau.
 
Cinq souches de probiotiques ont été testées et quatre se sont montrées efficaces, abaissant le taux d’immunoglobulines E, qui sont responsables des crises d’allergie.
 
Les patients ont reçu un yogourt avec une des cinq souches ou un yogourt inactif ne contenant aucune bactérie.
 
Selon le Clinical and Experimental Allergy, les chercheurs ont non seulement identifié les souches efficaces, mais ils connaissent les doses nécessaires pour avoir des résultats. Cela ouvre la voie à des traitements possibles à base de probiotiques pour les allergies saisonnières.
 
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Les allergies sont prévisibles avant la naissance

Selon une étude de l’Université de Marbourg, en Allemagne, la santé de la future mère peut avoir un impact sur les allergies du bébé à naître.

Ainsi, comme nous l’apprenons sur Medical News Today, plusieurs facteurs de risque peuvent aussi s’appliquer durant la grossesse, non pas seulement durant la vie entamée d’un enfant.
 
Par exemple, si l’on reprend l’idée déjà connue de l’immunité contre l’asthme en fonction d’un milieu de vie rural, il semble que cette protection soit déjà en route avant la naissance.
 
De la même façon, un environnement stérile pourrait augmenter les risques d’allergies, tant lors de la grossesse que durant l’enfance. L’exposition de la future mère aux microbes jouerait donc un rôle important quant à la réponse immune.
 
On suggère aussi que les probiotiques peuvent prévenir ces problèmes de santé dès le moment de la grossesse.
 
L’augmentation des cas des dernières années porte finalement le problème sur les facteurs environnementaux. En effet, l’environnement demeure, tant durant la grossesse qu’après la naissance de l’enfant, un facteur prédominant de l’apparition des allergies.

On a remarqué certaines répercussions de l’exposition au pollen et à des allergènes provenant de la pollution quant à l’augmentation du nombre d’enfants allergiques.

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Un enfant peut avoir une crise d’asthme sévère même s’il en est peu atteint

C’est le constat auquel sont arrivés des experts en observant les admissions d’un centre médical, nous apprend MedPage Today.

D’après eux, la plupart des crises d’asthme pouvant entraîner la mort seraient aussi causées par des irritants pouvant être évités.

Les irritants dont il est question sont la fumée, le pollen, les animaux de compagnie et l’air froid.

D’autre part, il est inquiétant de constater que la sévérité de l’asthme chez un enfant ne peut en rien prédire une future admission à l’hôpital ni le fait qu’il doive être intubé.

Cette équipe de recherche était dirigée par Kathleen Sala du centre médical pour enfants du Connecticut, à Hartford.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont observé le cas de 188 enfants âgés de 2 à 18 ans. Ils avaient tous été hospitalisés en raison de l’asthme dans une période d’un an.

L’asthme intermittent était d’ailleurs la raison d’hospitalisation la plus fréquente, avec un ratio de 1,9 pour tout l’hôpital. On recommande donc aux parents de demeurer toujours vigilants, même si l’asthme de leur enfant n’est pas sévère.