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Pollution dans la maison : facteur d’asthme et de rhume des foins

La prédisposition aux problèmes allergiques et respiratoires est exacerbée par l’exposition à des polluants dans la maison. Kérosène et tout autre gaz ou carburant, fumée secondaire, produits ménagers ou vaporisateurs et même certains parfums.

Durant l’étude présentée lors de l’ACAAI (American College of Allergy, Asthma and Immunology) d’Atlanta, les chercheurs ont démontré que les symptômes d’allergies saisonnières et de l’asthme augmentaient avec le taux d’exposition à des polluants intérieurs.

Les chercheurs ont comparé la résidence de 70 enfants avec ces symptômes et 70 autres domiciles d’enfants sans allergies ni problèmes respiratoires.

La corrélation indubitable a rapporté que chez les enfants atteints d’asthme et de rhume des foins, les foyers présentaient un taux deux fois plus élevé de pollution que dans les autres maisons.

Medical News Today rappelle que de 40 à 50 millions d’Américains sont atteints d’allergies, incluant la rhinite allergique (rhume de foins).

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La mauvaise qualité de l’air dans les écoles est responsable des maladies respiratoires

De nos jours, les enfants passent environ 80 % de leur temps à l’intérieur. Or, ce sont dans les écoles que nos jeunes passent le plus clair de ce temps.

Une récente étude concernant la mauvaise qualité de l’air dans les écoles a été publiée dans la revue Thorax, rapporte eurekalert.org. Il s’agit d’une initiative de l’International Study of Asthma and Allergies in Childhood (ISAAC).
 
Les résultats démontrent que 3 enfants sur 10 sont exposés à des niveaux trop élevés de polluants atmosphériques, dépassant largement les recommandations de l’OMS et de l’ANSES. Ces résultats sont directement associés à l’augmentation de l’asthme et des rhinites.
 
L’étude de l’équipe Épidémiologie des maladies allergiques et respiratoires (EPAR) de l’Inserm a porté sur 401 classes, et ce, dans 108 écoles primaires. Les enfants évalués étaient au nombre de 6590. L’âge moyen était de 10 ans.
 
Pendant une année scolaire entière, les différents polluants suivants ont été observés : dioxyde d’azote (NO2) ainsi que trois aldéhydes (formaldéhyde, acétaldéhyde et acroléine). Les enfants participant à la recherche ont été soumis au test d’allergie commun, sous forme cutanée. Par la suite, les parents remplissaient un questionnaire sur les allergies ou difficultés respiratoires de l’enfant.
 
Si vous avez des questionnements quant à l’effet des polluants sur la qualité de l’air, observez bien votre enfant et remarquez s’il développe les symptômes associés, notamment une congestion nasale, des irritations de la peau et des yeux, des maux de tête, des nausées ou encore une fatigue anormale.
 
Dans le doute, consultez un médecin pour confirmer qu’il s’agit d’allergie ou d’un début d’asthme.
 
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La poussière n’est pas nocive pour la santé

Habituellement, nous avons tendance à vouloir éliminer la poussière, mais une nouvelle étude démontre qu’elle ne serait pas aussi nocive qu’on le pense, au contraire.
 
La poussière purifierait l’air de l’ozone qui est nocif pour les voies respiratoires et les poumons.
 
Haut dans l’atmosphère, l’ozone nous protège des rayons ultraviolets, mais sur terre et dans l’air que nous respirons, il est un polluant qui peut nuire à une bonne respiration.
 
La poussière est composée surtout de peau humaine qui contient un hydrocarbure éliminant l’ozone. Ce dernier peut être réduit jusqu’à 15 %, selon la concentration d’hydrocarbure dans la poussière.
 
Attention toutefois, on ne recommande pas de ranger votre plumeau, surtout si vous êtes allergique à la poussière. Cette allergie ne va que s’amplifier en accumulant la poussière en trop grande quantité.