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La douloureuse réalité de la polyarthrite rhumatoïde

La polyarthrite rhumatoïde est non seulement chronique, mais dégénérative, ce qui signifie qu’elle s’aggrave avec le temps. C’est difficile tant physiquement qu’au niveau émotionnel, rapporte National.ca.

Les résultats d’un nouveau sondage auprès de gens atteints de la maladie ont mis en lumière la douleur réelle des gestes quotidiens et les fausses informations que détiennent les médecins.

Parmi les patients, près des trois quarts (73 %) sont satisfaits du temps passé avec leur médecin et des informations fournies. Or, seulement le tiers des patients affirment avoir eu le choix de la médication pour améliorer leur condition.

D’autre part, les médecins ont tendance à croire que les traitements sont plus efficaces qu’ils ne le sont.

Les rhumatologues croient que seuls 24 % des patients vivent de fortes douleurs régulièrement, alors qu’en réalité, ce sont 63 % d’entre eux qui souffrent, entre autres pour monter ou descendre les escaliers, monter ou descendre de la voiture, tourner une poignée de porte ou même sortir du lit.

Les difficultés du sommeil atteignent 67 % des malades, alors que les médecins croient qu’ils sont environ un tiers à en souffrir.

Une meilleure communication entre patient et médecin doit donc être établie, puisque les gens aimeraient explorer de nouvelles avenues pour améliorer leur quotidien.

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L’alcool serait bénéfique pour les os des femmes

Deux nouvelles études démontrent d’autres effets bénéfiques d’une consommation modérée d’alcool chez les femmes.
 
Selon le Bristih Medical Journal, une première étude s’est penchée sur les effets de l’alcool sur la polyarthrite rhumatoïde auprès de 34 000 femmes âgées de 54 à 89 ans.
 
Les femmes qui consommaient de l’alcool modérément, en moyenne un demi-verre par jour, avaient 52 % moins de risques de développer de la polyarthrite rhumatoïde que les femmes qui ne consommaient pas du tout d’alcool.
 
Les effets bénéfiques chez les femmes ménopausées seraient donc notables, car la deuxième étude dévoile des résultats similaires en ce qui concerne l’ostéoporose.
 
Attention toutefois, les bienfaits ne sont pratiquement pas présents chez les fumeuses, car le tabagisme est un facteur de risque pour ces deux maladies des os.
 
Avec l’alcool, la clé demeure toujours la modération, pour en retirer tous les bienfaits.
 
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L’obésité favorise la polyarthrite rhumatoïde

Avec le nombre croissant de personnes obèses et souffrant de polyarthrite rhumatoïde, des chercheurs de la Mayo Clinic ont voulu savoir s’il y avait un lien entre les deux.
 
En effet, pour les femmes, l’obésité favorise la polyarthrite rhumatoïde.
 
Après avoir analysé les dossiers médicaux de 813 personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde, on constate qu’il y aurait un lien, pas encore clair, avec l’obésité.
 
« Nous savons que les tissus adipeux et les cellules produisent des substances actives dans l’inflammation et l’immunité. Nous savons aussi que l’obésité est liée à de nombreux autres problèmes de santé, comme les maladies cardiaques et le diabète, et très probablement à l’auto-immunité », explique le Dr Eric Matteson.
 
Selon le Arthritics Care & Research, la polyarthrite rhumatoïde est caractérisée par le fait que le système immunitaire attaque les tissus et cause de l’inflammation aux articulations. Parfois, cela peut affecter d’autres organes et causer de la fièvre et de la fatigue.
 
Habituellement, la pathologie débute dans les mains et les pieds, pour ensuite toucher les genoux, les chevilles, les hanches et les épaules.
 
Dans les cas plus graves, il peut y avoir des complications comme des troubles cardiaques, des maladies pulmonaires, de l’ostéoporose ou encore le syndrome du canal carpien.
 
D’autres recherches sont donc nécessaires pour mieux comprendre comment l’obésité peut mener à la polyarthrite rhumatoïde.
 
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De l’espoir contre la polyarthrite rhumatoïde

En ce moment, une personne sur trois qui souffre de polyarthrite rhumatoïde ne répond pas aux traitements. Ainsi, elle doit vivre avec la douleur et parfois avec certaines articulations déformées.
 
Des chercheurs de l’Institut national de la santé et recherche médicale en France ont cependant découvert une molécule fort prometteuse.
 
Les dendrimères, des molécules de synthèse, s’avèrent efficaces contre les maladies inflammatoires comme la polyarthrite rhumatoïde. Testées sur des animaux et des cellules humainesin vitro, on constate qu’elles agissent sur l’inflammation des articulations, mais empêchent également la destruction des cartilages et l’érosion des os.
 
La polyarthrite rhumatoïde touche trois fois plus les femmes que les hommes. Au Canada, environ 300 000 personnes sont atteintes. Cette pathologie peut se manifester à tout âge, mais elle est plus souvent diagnostiquée entre 25 et 50 ans.
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Le tabagisme responsable des rhumatismes

Des chercheurs suédois ont découvert que le tabagisme était responsable du tiers des cas de polyarthrite rhumatoïde. Chez les gens génétiquement prédisposés, la cigarette est même liée à plus de la moitié des cas.
 
La polyarthrite rhumatoïde touche un Canadien sur 100. Il s’agit d’une maladie auto-immune qui provoque des enflures, des douleurs, des ankyloses et de la fatigue aux articulations.
 
Habituellement, ce type de rhumatisme se développe entre 40 et 60 ans. Lors de sa progression, il peut conduire à des handicaps sévères.
 
Après avoir examiné 1 200 Suédois atteints par la pathologie et 871 autres en bonne santé, les chercheurs constatent que plus une personne fume, plus les risques de développer la maladie sont élevés, surtout si cette personne est déjà génétiquement prédisposée.
 
Toutefois, après 20 ans sans avoir fumé, une personne n’aura pas plus de chances de développer la maladie qu’une autre qui n’aura jamais fumé de sa vie, mentionnent les Annals of the Rheumatic Diseases.
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Un mariage heureux soulage de l’arthrite

Une nouvelle étude dévoile qu’un mariage heureux aiderait à soulager les douleurs provoquées par la polyarthrite rhumatoïde.
 
Les chercheurs ont constaté que les gens vivant dans une union de qualité se plaignaient moins de douleurs que les célibataires et ceux qui ne sont pas heureux en ménage.
 
Le Journal of Pain rapporte que les scientifiques croient que la stabilité émotionnelle d’un mariage solide offre des effets puissants sur les sensations physiques, dont la douleur.
 
Auparavant, des recherches avaient révélé que la maladie progressait plus lentement chez les personnes mariées, mais cette fois, on dénote que la qualité de l’union joue un rôle clé dans le soulagement de la douleur.
 
La polyarthrite rhumatoïde survient lorsque le système immunitaire attaque les articulations, provoquant ainsi de la raideur, des douleurs et des enflures. En général, les poignets, les doigts, les orteils, les chevilles et les genoux sont les endroits les plus sensibles à cette pathologie.
 
Vivre dans un mariage heureux semble avoir plusieurs bienfaits sur la santé. Il a déjà été démontré que les personnes mariées avaient plus de chances de survivre à un cancer que celles séparées ou divorcées.
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La polyarthrite rhumatoïde serait moins sévère avec une consommation d’alcool

Sans remettre en cause les effets néfastes d’une consommation excessive d’alcool, des chercheurs ont découvert qu’une consommation régulière pouvait non seulement réduire les effets de la polyarthrite rhumatoïde, mais aussi protéger contre la maladie.
 
Dans cette étude, c’est la fréquence des consommations qui a été étudiée et non la quantité. La revue Rheumatology rapporte que l’alcool pourrait prévenir la polyarthrite rhumatoïde. Cette maladie chronique se caractérise par une inflammation des articulations et des gonflements. C’est la plus fréquente des maladies articulaires inflammatoires.
 
Pour cette nouvelle recherche, une équipe de l’Université Sheffield, en Grande-Bretagne, a comparé les habitudes de consommation ainsi que les articulations de 873 personnes atteintes de la maladie et de 1 004 autres en bonne santé.
 
« Les patients qui avaient bu de l’alcool le plus fréquemment montraient des symptômes moins sévères que ceux qui n’en avaient jamais bu ou qui en buvaient rarement. Les radios ont montré moins de dommages aux articulations, les tests sanguins ont montré des niveaux plus bas d’inflammation et ils présentaient moins de douleurs articulaires, de gonflements et de handicap », a expliqué le rhumatologue James Maxwell.
 
Le soulagement pourrait s’expliquer notamment par le fait que l’alcool offre des effets anti-inflammatoires et analgésiques.