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Les bienfaits de l’avoine démontrés clairement dans une nouvelle étude

Nous connaissons tous les bienfaits de l’avoine ou avons à tout le moins entendu quelqu’un vanter ses mérites.

Ce sont cette fois des preuves bien concrètes qui ont été avancées lors de l’American Association of Cereal Chemists International, un congrès annuel qui se tenait cette année du côté d’Albuquerque, au Nouveau-Mexique.

Le Dr YiFang Chu a notamment tracé un lien entre les vertus de l’avoine et le fort taux d’antioxydants qu’elle contient, en plus démontrer la complexité de l’avoine, que l’on croyait bien plus simple à analyser, explique MedicalNewsToday.

Le nouveau spectre de l’avoine déposé lors du congrès fait en effet remarquer la présence de caroténoïdes, de vitamine E, de flavonoïdes et de polyphénols, tous de puissants alliés de la santé.

« Ces polyphénols… sont uniques à l’avoine et ont été utilisés massivement dans la conception de produits pour la peau, grâce à leurs propriétés anti-inflammatoires (…) au moment où les scientifiques continuent de lier les inflammations aux maladies chroniques, ils continuent d’enquêter sur les possibles bénéfices de la bioactivité produite par les polyphénols dans le corps, comme sur la peau », explique avec optimisme le Dr Yu.

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Le champagne au service de la mémoire

Alors que les percées médicales en matière de traitement des maladies dégénératives comme l’Alzheimer abondent depuis quelque temps, l’ultime découverte se fait encore attendre.

Les citoyens craignent donc, avec raison, d’être confrontés à ce genre de maladies neurologiques graves, et ne peuvent pour l’instant que se doter de moyens de prévention.

L’un de ceux-là pourrait bien joindre l’utile à l’agréable, selon Top Santé, car des chercheurs de l’Université de Reading croient que le champagne pourrait s’avérer une arme de prévention contre la maladie d’Alzheimer, en plus d’améliorer la mémoire. 

On parle d’une consommation variant d’une à trois coupes de champagne par semaine, soit un peu moins que ce qui est avancé dans le cas du vin rouge. Dans ces deux cas cependant, on reconnait les polyphénols comme facteur expliquant cet effet protecteur.

« Le champagne est plus riche en composés phénoliques que le vin blanc, en raison des propriétés des deux cépages dont il est issu », explique le professeur Jeremy Spencer, auteur de l’étude.

Les chercheurs ont pu vérifier cette théorie sur des rongeurs, avant de publier les résultats dans une récente édition du magazine Antioxidants and Redox Signalling.

Plus besoin d’attendre de grandes occasions pour boire du champagne, selon Spencer et son équipe. Pourquoi alors ne pas simplement trinquer à la bonne santé!

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Le thé vert, anticancérigène ou pas?

Une recherche publiée dans le Cochrane Database of Systematic Reviews a démontré que le thé vert diminue sensiblement certains types de cancer, comme celui du foie, du sein et de la prostate.

Malgré tout, la boisson est associée à un risque accru de cancer de la vessie.

« En dépit de toutes les études sur le sujet, nous n’arrivons toujours pas à nous entendre à savoir si le thé vert peut prévenir contre le développement d’une multitude de cancers », a souligné l’un des auteurs de cette recherche, la Dre Katja Boehm.

Madame Boehm, qui a analysé plus en profondeur 51 autres recherches en la matière pour en arriver à ces conclusions, est persuadée que le thé vert à lui seul ne peut pas prévenir contre le cancer et que d’autres facteurs externes peuvent entrer en ligne de compte.

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Des canneberges contre les infections buccales

Les travaux menés par Daniel Grenier, chercheur et professeur à la Faculté de médecine dentaire de l’Université Laval, l’amènent à conclure que les polyphénols, les antioxydants que l’on retrouve en abondance dans les canneberges, préviennent contre les infections buccales.

Le Dr Grenier apporte toutefois quelques nuances à ses conclusions : « Boire un litre de jus de canneberges ne va pas régler les problèmes qu’on a dans la bouche. Le jus vendu sur le marché est très sucré et très acide. Deux conditions qui ne sont pas excellentes pour l’émail de la dent. D’autant que le temps de contact du jus avec la dent n’est pas suffisant pour avoir un effet. »

Voilà pourquoi il tente de développer une fibre imbibée d’extrait de canneberges que l’on pourrait placer entre la dent et la gencive infectée. Cette fibre pourrait donc traiter la gingivite et la parodontite.

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Du dentifrice à base de canneberges

Une équipe de chercheurs du Groupe de recherche en écologie buccale de l’Université Laval vient peut-être de trouver un moyen de prévenir la parodontite, communément appelée le déchaussement des gencives, dont souffrent 80 % de la population de 60 ans et plus.

Selon eux, les polyphénols contenus dans la canneberge pourraient venir à bout des 500 types de bactéries associées à la maladie des gencives en inhibant leur croissance et en diminuant l’inflammation.

Grâce à cette conclusion, présentée dans le cadre de son doctorat, Charles Bodet propose aux fabricants de dentifrices d’ajouter à leurs produits d’hygiène dentaire les polyphénols de la canneberge.

Outre les canneberges, on retrouve ces antioxydants dans le thé vert, les bleuets et le vin rouge.

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Des pépins de raisin pour favoriser la mémoire

Le Dr Giulio Maria Pasinetti de l’école de médecine de l’Hôpital du Mount Sinai et ses collègues croient que les capacités cognitives sont grandement améliorées lorsque l’on consomme des pépins de raisins rouges. Le chercheur a effectué des recherches sur des souris de laboratoire pour en arriver à ces conclusions.

Ce sont les polyphénols contenus dans les raisins rouges qui pourraient expliquer ce phénomène. Reconnus pour leurs vertus antioxydantes, on les retrouve aussi dans le vin rouge, le thé vert, le chocolat, les pommes et les oignons.

Pendant cinq mois, les rongeurs ont reçu l’équivalent d’un gramme de polyphénols quotidiennement; les chercheurs ont ensuite observé une réduction de 30 à 50 % des plaques amyloïdes associées à la maladie neurodégénérative.

Tous les détails sont publiés dans le Journal of Neuroscience.