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Hydro-Québec lance un avertissement important à la population

Alors que de nombreux Québécois ont été victimes de panne d’électricité la semaine dernière, Hydro-Québec a lancé un important avertissement à la population.

Précisons qu’au moment d’écrire ces lignes, plus de 30 000 foyers sont toujours privés d’électricité à travers le Québec. La région de Montréal reste la plus touchée avec plus de 20 000 foyers touchés.

Face à cette situation qui s’étire, des fraudeurs souhaitent profiter de la vulnérabilité de certains Québécois.

Hydro-Québec a donc tenu à mettre en garde les Québécois.

C’est notamment sur son compte Twitter que la société d’État a mis en garde les Québécois contre une pratique frauduleuse qui vise à abuser de la naïveté de certains sinistrés.

« Soyez prudents! Des messages frauduleux circulent actuellement sur les réseaux sociaux concernant des prestations d’Hydro-Québec. Ces messages ne proviennent pas de nous. Ne cliquez jamais sur un lien si vous doutez de la véracité d’un message », a prévenu Hydro-Québec.

Voici le genre de message que certains Québécois ont reçu au cours des derniers jours.

Crédit photo: Capture d’écran vidéo Twitter Radio-Canada

Radio-Canada s’est entretenu avec Sylvie Guérin, experte en cybersécurité et vice-présidente chez EVA Technologie. Elle explique qu’il faut redoubler de vigilance.

« Les gens sont vulnérables et, souvent, quand on est vulnérable, on croit à des choses même si elles ne semblent pas vraies », prévient-elle.

Sylvie Guérin, experte en cybersécurité et vice-présidente chez EVA Technologie / Crédit photo: Capture d’écran vidéo Twitter Radio-Canada

Si pour certaines personnes il ne fait aucun doute que ces messages textes sont frauduleux, Sylvie Guérin assure que pour d’autres ça ne coule pas de source, surtout pour ceux qui sont dans le besoin.

« Dans la situation présente, certaines familles en auraient peut-être besoin [de ce remboursement], alors elles vont cliquer sur le lien », indique-t-elle.

Selon l’experte en cybersécurité et vice-présidente chez EVA Technologie, une grande partie des Montréalais ont reçu un message frauduleux au cours des derniers jours. « Tous les gens qui ont un numéro dans le 514 l’ont probablement reçu », affirme-t-elle.

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De meilleures performances cognitives chez les aînés d’aujourd’hui

Les aînés d’aujourd’hui sont-ils plus « performants » que leurs ancêtres des décennies précédentes?

C’est le constat auquel semble arriver des chercheurs européens, qui publient une étude sur le sujet, rapporte The National Library of Medicine.

Les spécialistes en cause dans cette recherche constatent que les personnes présentement âgées de 80 ans et plus possèdent de plus grandes aptitudes cognitives, en moyenne, qu’il y a dix ans.

Ces mêmes personnes afficheraient par ailleurs le même genre de résultats qu’à l’âge de 70 ans, ce qui semble signifier que d’atteindre ce palier vénérable d’âge pourrait devenir une norme, le tout en bonne santé.

« Les gens sont en fait mieux éduqués qu’ils ne l’étaient, et leur situation économique pourrait aussi être meilleure, comparativement aux groupes précédents. Tous ces facteurs combinés travaillent de concert pour une situation améliorée », analyse Dallas Anderson, qui étudie la démence dans le Maryland, mais qui n’a pas pris part à l’étude.

Plusieurs autres facteurs sont cependant à prendre en considération avant de parler d’une tendance mondiale, croient d’autres observateurs en santé, à commencer par exemple par l’accès aux soins de santé offerts dans certains pays.

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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Des carences en vitamine D beaucoup trop communes

La plupart des patients hospitalisés pour des fractures présentent des carences évidentes en vitamine D, selon les spécialistes, ce qui fait dire à ces derniers que ce problème en est un largement généralisé.

Et peu importe l’âge, peut-on déduire des statistiques publiées par l’Université du Missouri et rapportées par The National Library of Medicine, alors que même des patients âgés de 18 à 25 ans présentent cette carence.

« Une découverte intéressante de cette étude est que la déficience en vitamine D est observable chez des patients de tous âges. Plus de recherches sont nécessaires pour démontrer clairement si la vitamine D peut réduire le risque de fracture, mais nous savons qu’elle est nécessaire pour réparer les dommages aux os », résume Brett Crist, un professeur de l’Université du Missouri qui n’hésite pas à suggérer du même souffle la prescription de vitamine D à titre préventif chez la plupart des patients.

Seul bémol : des problèmes de santé sont associés à une trop forte teneur en vitamine D dans l’organisme, par exemple des maladies rénales ou encore le cancer.

On suggère donc fortement d’avoir une discussion ouverte avec son médecin praticien avant de se lancer dans la consommation de suppléments de vitamine D.

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L’apport calorique du fast-food encore sous-estimé par la population

« Manger du fast-food, ce n’est pas pire que ça. » Voilà ce que pense fondamentalement une majorité de citoyens des pays largement industrialisés, où pullulent les chaînes de restauration rapide.

Selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, une grande partie de la population en général sous-estime encore grandement les apports caloriques des repas-minute, banalisant ainsi le phénomène.

D’abord les adolescents, qui sous-estiment le nombre de calories ingérées dans leur repas minute préféré dans une proportion de 34 %. Les adultes ne font pas beaucoup mieux, la proportion d’ignorance s’établissant à 20 %, et 24 % chez les parents de jeunes enfants.

Les gens se trompent donc souvent, les chercheurs en tête de l’étude estimant que la différence entre le nombre de calories réelles ingérées et celui présumé par les amateurs de fast-food peut parfois dépasser les 300 calories.

« Plusieurs personnes qui mangent du fast-food ne sont pas bien informées… Obtenir les bonnes informations est une étape importante pour quiconque veut effectuer des changements », s’indigne le Dr Jason Block, qui dirige l’étude.

Il rappelle également que les apports caloriques varient en fonction des chaînes de restaurant, et que toutes les informations concernant ces repas sont disponibles sur demande du consommateur.

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Les personnes âgées pourraient bien manger ce qu’elles veulent

Une étude parue dans la plus récente édition du Journal of Nutrition Health and Aging, rapportée Santé Log, conclut que les personnes âgées pourraient probablement manger ce qu’ils veulent sans trop de conséquences.

En effet, l’étude des chercheurs de Penn State tend à conclure que le régime alimentaire des individus passés 75 ans n’a que très peu d’impact sur la vie de ceux-ci.

On constate d’abord avec étonnement que la consommation de sucre et de graisses n’aurait plus beaucoup d’impact sur les risques subséquents de maladies cardiaques et autres.

D’autres tests effectués sur des sujets de plus de 75 ans, notamment des régimes et changements alimentaires, n’auraient eu que très peu d’impact sur la perte de poids et la santé des patients en général.

La majorité des 449 personnes âgées analysées dans cette étude n’a vécu à proprement parler aucun changement de bilan de santé, malgré des variations de style de vie.

L’auteur en chef de l’étude explique : « Nous ne savons pas si les participants avaient ces habitudes alimentaires durant toute leur vie d’adulte, mais nous le soupçonnons. Il y a peu d’avantages, sauf affection grave, à priver une personne âgée du plaisir d’un aliment qu’elle aime ».

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La FDA propose de nouvelles règles en matière d’alimentation

La FDA américaine (U.S. Food and Drug Administration) annonce qu’elle entend prendre de nouvelles mesures concernant la sécurité de la population quant à l’industrie alimentaire, rapporte www.nlm.nih.gov.

Pour l’instant, deux recommandations sont à l’honneur. Elles sont les premières phases concrètes du traité initié par l’actuel président, Barack Obama, et ratifié par la FDA.

Le Food Safety Modernization Act propose donc d’abord une sécurité accrue des fermes productrices, afin d’assurer une qualité optimale des produits qui y sont cultivés. On veut particulièrement protéger la population de certaines maladies et bactéries comme l’E. coli et la listériose.

La deuxième obligera les producteurs alimentaires à créer des plans pour assurer la protection du public face à leurs produits. Chaque usine, terre ou industrie devra dès lors se soumettre à des règles strictes.

La FDA veut mettre en place plusieurs autres règles au fil de 2013, afin de surveiller chaque étape de production des aliments, des fermes aux épiciers, jusqu’à l’assiette.

« Nous avons l’un des meilleurs systèmes au monde, mais nous devons renforcer les règles et la protection offerte au public en matière d’alimentation. C’est exactement ce pour quoi le traité a été créé », lance la Dre Margaret Hamburg, de la FDA.

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Un rapport sur le vieillissement en santé déposé au Nouveau-Brunswick

Les autorités du Nouveau-Brunswick ont mandaté un groupe d’experts pour déterminer les meilleures façons de garder sa population vieillissante en bonne santé le plus longtemps possible.

Le rapport a finalement été déposé cette semaine et souligne plusieurs actions possibles afin de donner une meilleure qualité de vie aux aînés, rapporte Radio-Canada.

Entre autres, on parle des soins et de la résidence à domicile, qui seraient de loin préférables à l’institutionnalisation ou la vie en résidence, surtout du point de vue psychologique.

« Le Nouveau-Brunswick est la province où les gens de 65 ans et plus sont les plus âgés. Il faut faire quelque chose, avoir un plan pour l’avenir. Il faut trouver un moyen où les gens pourront demeurer chez eux plutôt que d’être au foyer de soins. La province n’a pas les moyens de construire des foyers de soins à tout jamais, malgré que 97 % des gens demeurent dans leur résidence. C’est une stratégie globale. On parle par exemple de transport, de logement, il faut avoir la collaboration de tous les groupes », lance Pierre LeBouthillier, porte-parole du groupe de chercheurs et d’experts dont il fait partie.

Il veut aussi que le gouvernement crée un comité sur la question, afin d’effectuer un suivi du dossier au fil de la prochaine décennie. D’autres rapports et recommandations sur le sujet sont donc à prévoir.

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La prévention est-elle surestimée par la population?

Une nouvelle étude, sous la forme d’un sondage, prétend que la prévention pourrait bien sauver moins de vie que ce que pense la population en général.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que les chercheurs à la tête de ce sondage affirment que les résultats sont clairs : les gens surestiment le pouvoir de la prévention.

C’est que selon ces spécialistes de la Nouvelle-Zélande, les gens ignorent les statistiques réelles à ce sujet.

Annette O’Connor, de l’Université d’Ottawa, abonde dans le même sens en déclarant : « La plupart des gens vont surestimer les bénéfices de la prévention, simplement parce qu’ils sont conscientisés de l’impact de celle-ci, mais sans connaître les chiffres réels. Alors, pourquoi croiraient-ils que ceux-ci pourraient être très bas? Les praticiens et spécialistes se gardent souvent de dévoiler les statistiques ou les bienfaits réels d’un test qu’ils soumettent à leurs patients ».

Les participants à l’étude ont semblé en effet surpris lorsqu’on leur a dévoilé les chiffres réels concernant la prévention et ses effets.

Les chercheurs affirment qu’une meilleure information permet aux patients de prendre des décisions plus éclairées, que ce soit pour le choix d’un traitement ou d’un moyen de prévention.