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Plus de dépression chez les plus riches

Une étude publiée dans le BMC Medicine mentionne que non seulement les cas de dépression sont de plus en plus fréquents dans le monde, c’est surtout dans les pays riches qu’on en retrouve le plus.
 
Par exemple, la France arrive au premier rang avec 21 % des gens qui ont eu une dépression ou devront y faire face dans leur vie. Viennent ensuite les États-Unis avec 19,2 %. Les Pays-Bas suivent avec 17,9 %, la Nouvelle-Zélande avec 17,8 % et, pour clore le top 5, la Belgique avec 14,1 %.
 
Ce sont les résultats obtenus après l’analyse des données de l’Organisation mondiale de la santé prevenant de 89 000 répondants de 18 pays qui ont répondu à un questionnaire sur les symptômes de dépression, mais aussi sur leur âge, leur revenu et leur état civil.
 
L’âge moyen de la dépression dans les pays riches est de 25-26 ans.
 
Les experts croient que la grande disparité salariale pourrait expliquer une partie du fait qu’il y a plus de personnes dépressives dans les pays riches.
 
Pour ce qui est des pays à revenus moyens ou bas, le taux de dépression est de 18,4 % au Brésil, 14,6 % en Ukraine, 13,3 % en Colombie, 10,9 % au Liban et 9,8 % en Afrique du Sud.
 
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Forte progression de la dengue dans le monde

Depuis 30 ans, la dengue ou grippe tropicale n’avait pas progressé dans le monde, mais elle a regagné en force depuis. Aujourd’hui, 2,5 milliards de personnes dans le monde sont exposées au risque d’infection. Depuis février dernier, la dengue progresse dans une centaine de pays.
 
Habituellement, elle provoque peu ou pas de symptômes. Toutefois, elle se manifeste brusquement par une forte fièvre, des maux de tête, des nausées et vomissements, des douleurs articulaires et musculaires et parfois des éruptions cutanées. Des saignements de nez et des gencives peuvent aussi se manifester.
 
La forme hémorragique est par contre mortelle, mais représente environ de 1 à 5 % des cas. Il n’existe aucun vaccin ni traitement contre cette maladie, mais dans la majorité des cas, elle évolue vers la guérison.
 
La maladie est transmise par un moustique. La meilleure solution est donc de combattre ces moustiques par des moustiquaires, des répulsifs et de faire attention aux endroits où l’eau s’accumule, comme les conduits ou coupoles de pots de fleurs, qui favorisent le développement de larves de moustiques.
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Depuis 30 ans, la dengue ou grippe tropicale n’avait pas progressé dans le monde, mais elle a regagné en force depuis. Aujourd’hui, 2,5 milliards de personnes dans le monde sont exposées au risque d’infection. Depuis février dernier, la dengue progresse dans une centaine de pays.
 
Habituellement, elle provoque peu ou pas de symptômes. Toutefois, elle se manifeste brusquement par une forte fièvre, des maux de tête, des nausées et vomissements, des douleurs articulaires et musculaires et parfois des éruptions cutanées. Des saignements de nez et des gencives peuvent aussi se manifester.
 
La forme hémorragique est par contre mortelle, mais représente environ de 1 à 5 % des cas. Il n’existe aucun vaccin ni traitement contre cette maladie, mais dans la majorité des cas, elle évolue vers la guérison.
 
La maladie est transmise par un moustique. La meilleure solution est donc de combattre ces moustiques par des moustiquaires, des répulsifs et de faire attention aux endroits où l’eau s’accumule, comme les conduits ou coupoles de pots de fleurs, qui favorisent le développement de larves de moustiques.
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De plus en plus de bébés au Québec

Le Québec compte de plus en plus de naissances, malgré le fait que l’indice de fécondité demeure stable.
 
Ce phénomène est dû au fait qu’il y avait, en 2009, plus de femmes en âge d’avoir des enfants, selon l’Institut de la statistique du Québec (ISQ).
 
L’année dernière, il y a eu 88 600 naissances, une hausse de 1 % comparativement aux 87 600 enregistrées en 2008. Le taux de fécondité est toutefois demeuré stable à 1,73 enfant par femme, ce qui est en dessous du seuil de remplacement, selon la démographe de l’ISQ, Chantal Girard. « Le seuil de remplacement, c’est 2 ou 2,1 enfants par femme. Autrement dit, chaque couple se remplace par deux nouvelles personnes. Par contre, lorsqu’on tient compte à la fois de la fécondité, de la mortalité et des mouvements migratoires, pour la première fois depuis très longtemps, nos projections ne font plus état d’un déclin éventuel de la population du Québec, mais bien d’une augmentation. »
 
Donc, contrairement à ce qui avait été prédit, la population du Québec sera sans cesse croissante au cours des prochaines années. « Contrairement à ce que bien des gens pensent, la population du Québec ne diminue pas, elle augmente. Elle augmente moins vite que celle de nos voisins, mais elle augmente quand même. Elle va augmenter de plus en plus lentement, pour éventuellement se stabiliser, si la tendance se maintient, autour de 9 millions ou un peu plus de 9 millions de personnes. Actuellement, nous sommes à 7,8 millions environ et nous pourrions nous stabiliser autour de 9 millions dans une trentaine ou une quarantaine d’années », ajoute Mme Girard.
 
C’est dans les régions rurales qu’il y a le plus d’enfants et le taux de fécondité est à son plus fort dans la région du Nord-du-Québec, où il y a une forte concentration d’autochtones chez qui ce taux est déjà plus élevé, soit 2,9 enfants par femme.