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Des muscles reconstruits grâce aux vessies de porc

Des chercheurs américains auraient mis au point une nouvelle méthode de reconstruction et de régénération de muscles humains endommagés grâce à des vessies de porc, rapporte Top Santé.

Le processus, bien que surprenant, s’avère relativement simple. Selon les chercheurs de l’Université de Pittsburgh derrière le projet, il est possible d’implanter des parties de ces vessies préalablement dépouillées de leurs cellules directement dans la structure musculaire visée, et ainsi d’obtenir un résultat satisfaisant.

« Quand un grand volume de muscles est perdu, généralement à cause d’un traumatisme, le corps ne peut pas répondre suffisamment pour les remplacer. Au lieu de cela, du tissu cicatriciel peut se former, ce qui altère de manière significative leur résistance et leur fonction. Cette nouvelle étude est la première à montrer un remplacement de nouveau tissu musculaire fonctionnel chez l’homme. Ce sont les patients qui ne peuvent plus marcher, ne peuvent pas sortir de la voiture, ne peuvent pas monter et descendre d’une chaise, ne peuvent pas prendre des mesures sans tomber. Maintenant, nous avons un moyen de les aider à aller mieux », explique l’auteur de l’étude, Stephen Badlyak.

Une véritable percée qui pourrait changer des vies, comme l’explique M. Baddlyak.

Les conclusions de ce dernier et de son équipe ont été publiées dans le magazine scientifique médical Science Translational Medicine.

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Le bacon en hausse de prix

On rapporte une hausse constante et substantielle du prix de l’un des plaisirs coupables de bien des Québécois et Canadiens, soit celui du bacon.

Non, la hausse progressive n’a rien à voir avec des stocks manquants dans le cadre des achats du week-end de Pâques, mais aurait plutôt tout à voir avec un virus qui frappe le marché américain.

On rapporte, notamment l’Associated Press, une hausse du prix du bacon de 13 % en février 2014, une augmentation qui s’applique également à plusieurs autres produits du porc.

Les stocks américains subissent une baisse par rapport aux habitudes du marché, puisque des millions de jeunes porcs auraient été frappés d’un virus qui ressemble à celui de la gastro-entérite humaine.

Des spécialistes seraient à étudier les possibles traitements, et s’assurent de contenir la prolifération du virus.

D’ici là, la meilleure option demeure, comme toujours d’ailleurs, d’acheter des produits locaux et de bien s’informer à votre commerçant concernant les dangers actuels de certaines viandes.

On estime un retour à la normale possible d’ici les six prochains mois.

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Mastro lance des côtes de dos de porc à l’italienne

La marque Mastro a lancé de nouvelles côtes de dos de porc à l’italienne prêtes en 15 minutes.
 
Pas besoin de décongeler le produit, car celui-ci se conserve facilement au réfrigérateur jusqu’à sa date de péremption.
 
Les côtes, qui sont également sans gluten, sont déjà cuites et badigeonnées de sauce; elles ont seulement besoin d’une courte cuisson sur le grill ou au four.
 
Trois saveurs sont offertes — figues et vinaigre balsamique, ail rôti et tomates ou tomates rôties épicées — chez IGA et Métro pour 14,99 $.
 
« Le souper ne vous prendra que 15 minutes à préparer », explique Jim Carfrae, vice-président marketing de Santa Maria Foods, « mais vous vous régalerez comme si vous aviez passé la journée à cuisiner. Pratiques et délicieuses, nos côtes de dos de porc à l’italienne sont parfaites en toute occasion, que ce soit au chalet, au camping ou même pour des occasions spéciales comme les anniversaires ou la fête des Pères ».
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Le bacon et les saucisses ne sont pas toujours nocifs

Récemment, le bacon et les saucisses ont été pointés du doigt. Une étude affirmait que de consommer 50 g de viande transformée par jour, soit l’équivalent d’une saucisse ou deux tranches de bacon, augmentait les risques de cancer du pancréas du cinquième.
 
Une autre étude associait les viandes transformées au cancer du côlon et aux maladies cardiaques.
 
Cependant, selon certains spécialistes, le porc est injustement décrié. Quelques tranches de bonne qualité, consommées avec modération, seraient même bénéfiques.
 
Le porc est riche en vitamines et minéraux. Pour ceux qui ne consomment pas de poisson et de noix, il peut même remplacer l’apport d’oméga-3.
 
La mauvaise réputation du porc lui vient du fait qu’il est couramment lié aux viandes transformées auxquelles on ajoute notamment du sel et d’autres ingrédients qui peuvent être cancérigènes.
 
Toutefois, les experts rappellent dans le DailyMail qu’il n’existe aucune preuve qu’une consommation de viandes transformées une ou deux fois par semaine est dommageable pour la santé.
 
Dans le cadre d’une alimentation équilibrée et avec une viande de qualité, rien n’indique un quelconque effet négatif sur la santé.
 
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Clonage de porcs réussi

Une équipe de scientifiques de l’Université McGill a réussi une grande première canadienne en clonant 17 porcs.

Pour ce faire, les chercheurs ont prélevé des cellules sur un porc adulte et les ont cultivées in vitro jusqu’à ce qu’elles soient implantées dans l’utérus d’une femelle.

Le Dr Vilceu Bordignon, du département de zootechnie de l’Université, ne cachait pas son enthousiasme devant cette percée médicale : « Nous venons de franchir une étape importante en vue de produire des modèles animaux transgéniques pour la recherche puisque nous pouvons maintenant créer des animaux à partir de lignées cellulaires facilement manipulables in vitro. »

Selon le Dr Bordignon, cette technique permettra d’effectuer des recherches sur des maladies telles que le diabète et les maladies cardiovasculaires.

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Clonage de porcs réussi

Une équipe de scientifiques de l’Université McGill a réussi une grande première canadienne en clonant 17 porcs.

Pour ce faire, les chercheurs ont prélevé des cellules sur un porc adulte et les ont cultivées in vitro jusqu’à ce qu’elles soient implantées dans l’utérus d’une femelle.

Le Dr Vilceu Bordignon, du département de zootechnie de l’Université, ne cachait pas son enthousiasme devant cette percée médicale : « Nous venons de franchir une étape importante en vue de produire des modèles animaux transgéniques pour la recherche puisque nous pouvons maintenant créer des animaux à partir de lignées cellulaires facilement manipulables in vitro. »

Selon le Dr Bordignon, cette technique permettra d’effectuer des recherches sur des maladies telles que le diabète et les maladies cardiovasculaires.