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Kanye West dépendant au sexe et à la pornographie

N’ayant pas la langue dans sa poche et souvent plus candide que l’on pourrait le penser, Kanye West se confie une nouvelle fois dans le cadre d’une entrevue accordée à Zane Lowe pour Beats 1.

Entre autres choses, le rappeur révèle cette fois-ci souffrir d’une véritable dépendance à la pornographie et à la sexualité, et pointe vers un événement de son enfance pour cette escalade. 

« Pour moi, Playboy a été une porte d’entrée vers la dépendance à la pornographie totale. Mon père avait laissé un Playboy traîner quand j’avais cinq ans et ça a affecté presque tous les choix que j’ai faits pour le reste de mes jours (…) », explique notamment West lors de l’entretien, rapporte notamment le Daily Mail.

Kanye West aborde également la mort de sa mère, un sévère déclencheur selon lui dans ce processus, alors qu’il décrit cette fois une dépendance à la sexualité découlant de l’impact de ce grand deuil sur sa santé mentale et psychologique.

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La porno pour payer le mur à Donald Trump

La sénatrice républicaine de l’Arizona Gail Griffin croit qu’il faut taxer l’usage de la pornographie pour amasser les fonds nécessaires à la construction du mur entre les États-Unis et le Mexique, une promesse électorale du président Donald Trump.

En ce moment, et depuis plusieurs semaines, 800 000 employés fédéraux des États-Unis travaillent sans salaire, ou ont été retournés à la maison, car le gouvernement n’a pas les fonds pour les payer.

Ce « shutdown » est dû à un bras de fer entre le président Trump et les élus démocrates qui refusent de payer la construction du mur devant servir à stopper le flot d’immigrants en provenance du Mexique.

En Arizona, un état limitrophe avec le Mexique, la sénatrice Griffin a déposé le projet de loi 2444 qui permettrait à des compagnies d’installer des logiciels pour bloquer l’écoute de la porno sur les appareils des résidents de l’État. 

Selon le quotidien AZ Central, le projet de loi obligerait les résidents de l’Arizona à prouver qu’ils sont 18 ans et à payer 20 $ US pour faire retirer le logiciel. Cette somme serait remise à l’Autorité du commerce de l’Arizona qui administrerait le programme et remettrait les revenus tirés de la « taxe porno » aux autorités responsables de la construction du mur.

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Le président Trump demande 5 milliards de dollars pour la construction du mur entre le Mexique et les États-Unis.

Le « shutdown » en est aujourd’hui à sa 31e journée, un record dans l’histoire du pays.

Photo : AVN

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La porno pour payer le mur à Donald Trump

La sénatrice républicaine de l’Arizona Gail Griffin croit qu’il faut taxer l’usage de la pornographie pour amasser les fonds nécessaires à la construction du mur entre les États-Unis et le Mexique, une promesse électorale du président Donald Trump.

En ce moment, et depuis plusieurs semaines, 800 000 employés fédéraux des États-Unis travaillent sans salaire, ou ont été retournés à la maison, car le gouvernement n’a pas les fonds pour les payer.

Ce « shutdown » est dû à un bras de fer entre le président Trump et les élus démocrates qui refusent de payer la construction du mur devant servir à stopper le flot d’immigrants en provenance du Mexique.

En Arizona, un état limitrophe avec le Mexique, la sénatrice Griffin a déposé le projet de loi 2444 qui permettrait à des compagnies d’installer des logiciels pour bloquer l’écoute de la porno sur les appareils des résidents de l’État. 

Selon le quotidien AZ Central, le projet de loi obligerait les résidents de l’Arizona à prouver qu’ils sont 18 ans et à payer 20 $ US pour faire retirer le logiciel. Cette somme serait remise à l’Autorité du commerce de l’Arizona qui administrerait le programme et remettrait les revenus tirés de la « taxe porno » aux autorités responsables de la construction du mur.

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Le président Trump demande 5 milliards de dollars pour la construction du mur entre le Mexique et les États-Unis.

Le « shutdown » en est aujourd’hui à sa 31e journée, un record dans l’histoire du pays.

Photo : Cover Images

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James Hetfield : un documentaire contre la pornographie

Si on pouvait l’attendre dans un autre projet musical, c’est raté ! 

James Hetfield va plutôt assurer la narration d’un documentaire exploratif des dangers de la consommation de pornographie et surtout de la dépendance qui peut en découler.

Sous la directive de James Hunt, un réalisateur bien habitué aux documentaires anthropologiques et sociétaux, James Hetfield sera la voix d’Addicted to Porn : Chasing the Cardboard Butterfly.

Ce n’est pas la première fois que les deux hommes collaborent sur ce genre de projet. En 2011, le chanteur du groupe Metallica avait déjà travaillé avec James Hunt sur le documentaire Absent, qui abordait la thématique des pères inexistants.

Addicted to Porn : Chasing the Cardboard Butterfly sortira en avril prochain.

Découvrez ici la bande-annonce.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

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Playboy n’affichera plus de femmes complètement nues

Hugh Hefner et son équipe ont décidé de redorer le légendaire magazine Playboy en lui donnant une image moins pornographique.

Alors que le magazine affiche la même recette depuis 62 ans, la pornographie en ligne serait la cause de ce surprenant changement.

Le directeur de la revue, Scott Flanders, explique au New York Times: «Maintenant, vous êtes gratuitement à un clic de tous les actes sexuels imaginables.»

Il ajoute également que malgré qu’il soit toujours prévu de publier des photos de femmes suggestives et provocantes, l’idée sera d’offrir une image plus positive du sexe féminin et que la clientèle visée sera les jeunes travailleurs.

Le magazine a d’ailleurs entrepris son virage au mois d’août en éliminant la nudité intégrale sur son site web afin de faciliter son visionnement au travail, ce qui a eu pour effet d’attirer plus de jeunes clients et de trafic en ligne.

Hugh Hefner, 89 ans, a lancé son premier numéro de la revue pour adulte en 1953, avec la célèbre et plantureuse Marilyn Monroe en page couverture.




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La pornographie en ligne change le discours parental sur le sexe

Avant Internet, l’accès à la pornographie était beaucoup plus difficile. Il était donc possible d’amener le sujet avec plus de réserve.

Selon un sondage en ligne de la compagnie de protection informatique AVG Technologies, l’âge moyen pour ce genre de conversation familiale est désormais 11 ans.

Alors que la moitié de la dernière génération de parents n’a pas amorcé cette discussion avec leurs enfants, indique SheKnows, c’est désormais 99 % des parents qui le font.

La principale motivation de ceux-ci est aujourd’hui de dissocier la pornographie de la réelle sexualité, en espérant un sain développement de la vie sexuelle des jeunes.

En tout, 75 % des parents jettent le blâme sur Internet pour l’exposition précoce des enfants à la sexualité. Cependant, ils omettent souvent eux-mêmes de mettre la protection adéquate sur le réseau et d’établir des normes à respecter.

En d’autres termes, les parents ont aussi leur part de responsabilité.

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Deux étudiants suspendus de l’école pour avoir dénoncé un enseignant

L’incident s’est déroulé mardi (6 mai) à l’école secondaire J.C. Harmon à Kansas City. Lorsque le projecteur s’est allumé, une femme nue, de derrière et dans une position compromettante, est apparue devant toute la classe.

Une étudiante, choquée par le contenu présenté par le professeur, a pris une photo avec son cellulaire. Le cliché s’est rapidement retrouvé sur les médias sociaux, rapporte Huffington Post.

L’étudiante a ensuite partagé la photo avec son petit-ami, et les deux jeunes ont été suspendus de l’école pour une « utilisation inappropriée de dispositifs électroniques ». L’information provient directement de la mère de l’étudiante, Lori Lester.

La mère du garçon, Karen Winkel, a sa propre théorie sur la situation. « Je suis persuadée que mon garçon s’est attiré des problèmes parce que l’école essaie de cacher quelque chose », a-t-elle confié à la station de télévision KCTV5.

USA Today Network indique que le représentant de l’école, David Smith, refuse d’indiquer si l’enseignant a été sanctionné. Il a simplement dit qu’il travaillait à l’école depuis 2002.

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Sexualité et pornographie, peu de différence entre garçons et filles

La recherche provient de Magdalena Mattebo, du département de la santé des femmes et enfants de l’Université Uppsala.

Un questionnaire distribué à plus de 800 adolescents suédois de 16 ans a mis en lumière les intérêts, fantasmes, opinions et expériences sexuelles des jeunes d’aujourd’hui.

L’information la plus surprenante provenant des données réside dans le fait que tant les filles que les garçons croient que leur vie sexuelle est directement influencée par la pornographie.

« C’était inattendu de constater que plus d’une fille sur 10 affirmait qu’elle ne regardait pas assez de pornographie à son goût », explique Mattebo. « Aussi surprenant de constater qu’il n’a aucune différence entre les garçons et les filles relativement aux fantasmes. »

Les filles prenaient même le dessus quant à l’expérience sexuelle, au niveau oral, vaginal et anal. Cependant, garçons et filles se situaient sur le même niveau quant aux partenaires sexuels, que ce soit d’avoir un ami pour le sexe, un partenaire d’une nuit ou de sexe en groupe.

Cependant, la perception de multiples partenaires n’a pas changé. Pour un garçon, cela lui garantit une grande popularité, alors que pour la fille, elle demeure une traînée.

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Russell Brand a tout appris du sexe avec la porno

Ayant construit ses notions de sexualité à travers ces films pornos, Russell Brand confie ainsi qu’il est « difficile pour les hommes d’avoir une attitude saine envers le sexe », une remarque publiée par le journal allemand Bild. Aujourd’hui, il tient la pornographie responsable de sa difficulté à entretenir des relations physiques « normales ».

Connu pour son goût prononcé des femmes, l’ex-mari de Katy Perry fréquente depuis quelque temps Jemima Khan. Si la famille de Khan a toujours été contre cette union, Brand affirme qu’il n’a jamais rien connu de tel à ce jour.

Russell Brand a surmonté ses dépendances à l’alcool et aux drogues et constate aujourd’hui que la pornographie « n’est pas une bonne introduction à la sexualité, du moins pour les jeunes ». Un peu tard, à 38 ans, pour le réaliser.

Heureusement, l’époque des excès est chose du passé pour l’artiste, qui s’improvise philosophe. « Il n’y a plus de lutte pour la survie, il y a suffisamment de tout; nous sommes déjà au paradis. C’est pourquoi nous cherchons toujours de plus gros défis, nous nous battons pour une plus grosse maison, plus de pouvoir, plus de femmes, plus de respect. »

Russell Brand affirme cependant que pour sa part, il s’est « libéré » de ce cercle vicieux.

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Les préoccupations des parents diffèrent selon la nationalité

L’étude dont il est question a été menée aux États-Unis, auprès de plus de 1000 parents avec des enfants âgés de 10 à 14 ans. Les chercheurs ont remarqué que bien que les dangers soient les mêmes, l’importance accordée à ceux-ci, lorsque la situation socioéconomique et la nationalité étaient tenues en compte, variait grandement d’un groupe ethnique à l’autre.

Ainsi, selon Medical News Today :

– Les parents de race blanche sont les moins concernés en ce qui a trait à la sécurité en ligne.

– Les parents asiatiques ou hispaniques sont ceux qui accordent le plus d’importance aux dangers reliés à la sécurité, sous toutes ses formes.

– Les parents de race noire étaient beaucoup plus préoccupés par la rencontre d’étrangers et l’exposition à la pornographie.

Sans tenir compte de la nationalité, les préoccupations parentales ont été classées dans l’ordre décroissant suivant : la rencontre d’un étranger, l’exposition à la pornographie, l’exposition à du contenu violent, intimidation (victime) et intimidateur (initiateur).

Selon les chercheurs, ces différences entre différentes nationalités posent problème, puisqu’il est difficile de mettre en place des méthodes de sensibilisation qui susciteront le même intérêt chez tous les parents.