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Bien porter bébé sur soi

Le portage du bébé est de plus en plus populaire. Les porte-bébés de toutes sortes et les écharpes sont maintenant faciles à trouver, et c’est agréable à la fois pour maman (qui a les deux mains libres), et pour bébé (qui ressent la chaleur et la présence de sa mère ou son père).

Voici des conseils à propos de cette pratique, tels que prodigués par l’infirmière pédiatrique Amélie Six-Aulnay, selon famili.fr.

Bien soulever bébé. Si vous le prenez à partir de son lit ou de sa petite chaise vibrante, assurez-vous d’avoir une main sur ses fesses et une main derrière son cou, puis rapprochez-le contre vous en position verticale.

S’assurer que bébé est confortable. Il y a différentes positions, selon l’âge et le poids du bébé, mais la plus facile est de poser bébé ventre contre ventre, avec ses genoux écartés à 45 degrés au niveau de votre nombril. La distance idéale est celle qui vous permet d’embrasser son visage sans trop d’effort. N’oubliez pas non plus que bébé doit être capable de bouger ses bras.

S’assurer que bébé est en sécurité. Sa tête doit être bien soutenue, particulièrement durant les premiers mois. Son visage doit être dégagé. Une écharpe de portage doit être nouée à l’aide d’un nœud plat solide, et les bretelles et attaches du porte-bébé doivent être bien vérifiées.

Ne pas trop couvrir bébé. Comme il sera directement exposé à votre chaleur corporelle, bébé n’a pas besoin d’être très habillé. Le tissu de l’écharpe compte aussi pour une épaisseur.

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Les féministes maternent leurs enfants

À la suite de cette étude, les chercheurs ont découvert que les mères féministes étaient en accord avec des pratiques comme l’allaitement, le cododo et le portage du bébé en écharpe.

Toutefois, les femmes non féministes interrogées ont montré une perception des féministes bien différente. En fait, d’après elles, féminisme et maternage seraient incompatibles.

« Les féministes n’ont pas de raison de s’opposer au maternage », soutient la porte-parole de l’organisme Osez le féminisme, Julie Muret.

L’organisme français milite pour « l’acceptation [de l’autonomie des femmes] par la société plutôt que pour le rejet de la maternité ».

Aussi, les féministes ne devraient pas s’opposer à l’allaitement, mais s’assurer que les femmes aient le choix de le faire si elles le désirent.

« C’est ce qui a le plus de conséquences sur la vie des mères », dit Julie Muret en parlant du difficile retour à l’emploi avec des changements salariaux possibles, entre autres.

Rappelons que l’allaitement maternel permettrait aux bébés d’avoir une colonisation bactérienne plus diversifiée que les enfants nourris par préparation artificielle, étant ainsi mieux protégés contre les antigènes alimentaires et les agents pathogènes, selon le site SantéLog.