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Valérie Roberts: «J’ai dû refaire une thérapie»

Valérie Roberts se trouvait à l’émission Ça finit bien la semaine afin de discuter de son tout nouveau livre, Post-partum.

C’est lors de sa présence qu’elle abordait son expérience difficile à la naissance de sa fille, en plus d’avouer qu’elle était en couple lorsqu’elle a rencontré son amoureux actuel, Martin Juneau.

L’animatrice, qui a traversé une période difficile après la venue au monde de sa fille Lucie, au point d’avoir des pensées sombres, a partagé que l’écriture de son livre a été particulièrement difficile, ramenant à elle des souvenirs douloureux.

«La maternité, donner naissance, c’est supposé être l’expérience la plus incroyable de ton existence. Puis, là, moi je ne vivais pas ça, je me sentais seule. J’étais ben trop honteuse pour en parler, je n’étais pas capable. Puis, quand finalement j’en parlais, je réalisais que je n’étais vraiment pas toute seule (…) Je me suis dit: Il faut absolument que j’en parle, je vais le faire sous la forme d’un livre. J’ai fait les entrevues, ça allait bien, parce que tu discutes et tu réalises encore plus que tu n’es vraiment pas isolée. Puis, là, tu arrives toute seule chez vous pour l’écrire. Ouf, c’était tellement difficile… À un point tel que j’ai dû refaire une thérapie pour être capable d’écrire le livre en parallèle avec celui-là… pour comprendre ce que j’avais vécu et arrêter de me sentir coupable. Parce qu’écrire une phrase comme: pendant un instant j’ai regretté d’avoir eu un enfant, c’est tragique écrire ça, mais tu te dis: Si je l’ai ressenti, c’est sur que d’autres personnes l’ont ressenti a un certain moment», avoue-t-elle avec vulnérabilité.

Valérie ajoutait par la suite avoir également eu peur de mourir lors de son accouchement, elle qui entendait le médecin dire qu’elle perdait trop de sang lors de sa césarienne. Un moment qui a laissé des cicatrices psychologiques.

Rappelons que son livre, Post-partum, est disponible dès maintenant en librairie!

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Divertissement

Kylie Jenner aborde son expérience post-partum

Six semaines après avoir donné naissance à son deuxième enfant, Kylie Jenner avoue trouver difficile son rétablissement.

La star de la téléréalité et femme d’affaires a confié ses états d’âme sur Instagram, où elle est suivie par 318 millions de personnes.

«Cette expérience pour moi personnellement a été un peu plus difficile qu’avec ma fille», a expliqué la femme de 24 ans, en référence à son premier-né Stormi Webster, maintenant âgé de 4 ans.

Celle qui est l’une des plus grandes influenceuses de la plante a voulu confier ses difficultés afin d’encourager d’autres femmes qui pourraient se trouver dans la même situation qu’elle.

«Ce n’est pas facile mentalement, physiquement, spirituellement, c’est juste fou. Je ne voulais pas juste retourner à la vie sans dire ça – pour les autres mamans qui traversent ça en ce moment – ça peut sembler beaucoup plus facile pour d’autres personnes, et nous mettre la pression, mais ça n’a pas été facile pour moi.»

«Nous devons arrêter de nous mettre la pression pour être ‘de retour’. Pas même physiquement, juste mentalement, après la naissance. C’est normal de ne pas être bien. Une fois que j’ai réalisé que je me mettais de la pression… Et je continue à me rappeler que j’ai fait un humain entier, un beau garçon en bonne santé. Alors oui, j’envoie juste un peu d’amour».

Elle a ajouté : «Mais je suis là, et je me sens mieux. Donc tu peux le faire !»

Kylie Jenner a donné naissance à son premier garçon, Wolf, le 7 février dernier.

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Art de vivre

« Chéri, je pense que je fais une dépression post-partum »

L’un des bienfaits de vivre deux accouchements aussi rapprochés que les miens est la chance d’avoir gardé en mémoire le déroulement de l’accouchement et de ce qui s’ensuit. Je me sentais donc très préparée face à mon deuxième accouchement; je pensais savoir comment me remettre sur pied à la vitesse de l’éclair, connaître mes limites et je m’attendais aussi au fameux débalancement hormonal (aussi appelé baby blues).

Possédant un certain bagage familial lié à la maladie mentale et sachant que celle-ci est en partie héréditaire, je me suis renseignée sur le baby blues et la dépression post-partum. Étant une personne plus « à risque », je voulais pouvoir reconnaître les signes avant-coureurs chez moi et m’équiper pour y faire face. Malgré toute cette belle connaissance sur le sujet, j’ai eu un baby blues très intense, à voguer entre dépression passagère et dépression post-partum.

Mon premier baby blues fut envahissant. J’ai pleuré. J’ai pleuré à coups de gros sanglots, appuyée sur les murs vitrés de ma douche. Pleurer d’extase, pleurer de joie, pleurer pour la beauté de ce petit-être, pleurer d’amour. Mon baby blues se mêlait à un débordement de bonheur.

Mon second baby blues était plutôt une tempête en pleine mer. J’étais submergée. La fatigue me jouait des tours, je me sentais vide, le corps alourdi. Je voulais passer mes journées au lit à dormir, je ne voulais voir personne. Je n’avais pas envie d’assister aux millions d’évènements familiaux pour montrer ce petit bout d’amour. Je voulais qu’on me laisse seule avec le bébé. J’ai pleuré sans raison, du matin au soir et la nuit en allaitant. J’étais silencieuse. Je redoutais mes émotions.

Derrière mon silence, je tentais d’accepter le fait que ma dépression passagère frôlait trop souvent un plus grand mal-être, puis je l’ai dit: « Je pense que je fais une dépression post-partum ». Huit petits mots que j’ai soufflés à mon mari. Huit petits mots que j’avais besoin de lâcher pour reprendre le contrôle sur ma tempête intérieure. Huit petits mots lâchés dans le vent qui s’envolaient vers la mer. Peu à peu, la rage de ma tempête se calmait.

Je me suis toujours considérée comme une personne forte, voire même froide par moment. J’ai toujours su garder un certain calme quand je me sentais fissurée à l’intérieur. Cette fois-ci, la fissure est profonde et la poussière flotte encore un peu.

Aujourd’hui, je peux dire que je vais bien, mais je reste sur mes gardes, prête à traverser la tempête si elle revient me hanter.

Avez-vous vécu un baby blues?

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Potins

Alanis Morissette aborde sa dépression post-partum

Ayant donné naissance à 45 ans à un nouveau-né, la vie d’Alanis Morissette n’est pas qu’un long fleuve tranquille malgré ses avantages.

La chanteuse révèle souffrir de dépression post-partum, et décide d’offrir son témoignage afin de contribuer à la sensibilisation.

« J’en partagerai plus quand j’aurai retrouvé ma vitesse d’esprit. Hormones. Privation du sommeil. Brouillard. Douleur physique. Isolation. Anxiété. Cortisol. Se remettre d’un accouchement (aussi beau et intense soit-il comme le mien à la maison), intégrer un nouvel ange bébé avec d’autres anges bébés. Mariage. Toutes sortes de déclencheurs de post-traumatiques. Surstimulation. Ce corps (…) La DP (dépression post-partum) est un sournois petit singe avec une machette, qui se fraie un chemin à travers mon corps et mon esprit (…) », écrit notamment Morissette dans une longue publication touchante proposée sur son site web personnel. 

Alanis Morissette avait déjà abordé le sujet auparavant, expliquant avoir subi une dépression post-partum à chacune des naissances de ses deux premiers enfants, Ever Imre et Onyx Solace.

Il est donc évident que c’est avec beaucoup de difficulté (et de résilience) que la star canadienne doit de nouveau affronter ce mal depuis la naissance de son plus récent bébé, Winter, né en août dernier.

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Potins

La youtubeuse Alexandra Larouche partage un message important sur le postpartum

La YouTubeuse Alexandra Larouche a donné naissance à sa petite fille Novalie il y a trois mois déjà et elle vient tout juste de se confier sur Instagram concernant la difficile période postpartum, dans l’espoir que d’autres se reconnaîtront dans ce qu’elle vit.

Ainsi, alors qu’elle mentionne que tout se passe bien en général et que la routine quotidienne s’installe lentement mais sûrement, elle ose aussi aborder les petits détails qui vont moins bien. Elle affirme qu’il semble tabou de mentionner le négatif; comme si les parents qui le faisaient n’appréciaient pas assez la présence de leur bébé tout neuf dans leur vie.

De son côté, la YouTubeuse croit qu’il vaut mieux parler du beau comme du moins beau, tout simplement parce que c’est la vie (la vraie)! Elle s’adresse donc aux mamans qui vivent cette période difficile du postpartum en leur demandant de ne pas être trop dures envers elles-mêmes.

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« Une photo de moi sans elle, ça fait presque bizarre. ?? Je viens de réaliser que j’ai pas fait d’updates sur les 3 mois de Novalie. Ça devient plus facile, on commence à avoir une belle routine et on se connait de plus en plus. Ça a réellement été un beau 3e mois ensemble. Je pourrais dire que j’ai retrouvé mon cerveau d’avant à 90% disons. Le 10% qui manque va revenir quand je vais mieux dormir j’imagine. ?? // J’ai hésité à partager avec vous la partie que j’ai trouvé difficile ce mois-ci… parce que j’ai l’impression que le corps post-partum c’est taboo. On est félicités quand on retrouve vite nos vêtements d’avant grossesse mais j’ai aussi l’impression qu’on a comme « pas le droit » de le dire si on se sent pas bien dans notre peau. Le fait de se sentir comme ça suite à l’accouchement, ça a rien à voir avec de l’ingratitude, enlevez-vous ça de sur les épaules. Quand je regarde mes vergetures, ça me rappelle mon accouchement, les mois où j’avais mon petit bébé surprise dans mon ventre, de beaux moments. Le corps de la femme est assez incroyable. J’ai grandis un humain dans mon ventre! C’est surement la chose que j’ai fait dans ma vie qui me rend le plus fière. Mais je ne vous cacherai pas que je trouve ça plus difficile de m’habiller aujourd’hui. Même si tu me dis que je suis belle, même si tu me rappelles que j’ai donné la vie, je me sens comme ça. Pour le moment. Comment on se sent dans notre corps, c’est bien personnel à nous-même. On parle beaucoup de l’acceptation de soi mais il y un chemin pour s’y rendre, ça ne se fait pas du jour au lendemain et c’est ce que je veux vous rappeler aujourd’hui. Pour moi, ce sera un processus. Je n’ai pas comme objectif de perdre X nombre de livres, j’ai comme seul et unique but d’être bien dans ma peau et pour moi, ce sera un travail plus mentale que physique. Si vous êtes aussi sur cette route, je vous souhaite d’être moins dures avec vous-même, ou pas dure pentoute pourquoi pas! De ne pas vous comparer (facile à dire, je sais) puisque chaque femme est différentes et surtout, d’être fières. Fières parce qu’on a fait quelque chose d’incroyable qui nous a permis de prendre le plus beau rôle du monde, celui de maman. ?? »

Un message qui risque de résonner chez bien des nouvelles mamans!

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Hayden Panettiere remise de sa dépression post-partum

Il semble que l’actrice Hayden Panettiere soit maintenant remise de son épisode de dépression post-partum, rapporte Us Magazine.

Alors que tout semblait au beau fixe pour la blonde actrice au cours de sa grossesse et à la suite de son accouchement, Hayden Panettiere a vu sa santé décliner peu de temps après.

Heureusement, la vedette de Nashville avait montré l’exemple en demandant de l’aide rapidement. Accueillie dans un centre de santé pour se remettre, Hayden Panettiere semble maintenant beaucoup plus radieuse.

« Elle va très bien maintenant », assure une source.

Curieusement, le personnage de Pannetiere dans la série Nashville souffre également de dépression post-partum, comme si l’actrice avait un peu trop canalisé son personnage à la suite de son propre accouchement.

L’ancienne vedette de Heroes avait d’ailleurs pris congé de la série.

De retour en forme, Hayden Panettiere a d’ailleurs été aperçue au combat de son fiancé, le boxeur Wladimir Klitschko, samedi dernier (28 novembre).

Le couple avait accueilli la petite Kaya, il y a 11 mois. 

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Donner le sein pour éviter la dépression

L’étude à laquelle se réfère bbc.com a été menée auprès de 14 000 nouvelles mamans. Le risque de dépression post-partum pourrait être atténué jusqu’à 50 % chez les femmes qui allaitent.

Cependant, l’envers de la médaille est moins reluisant. Celles qui planifieraient de donner le sein à leur enfant et qui n’y arrivent pas, pour différentes raisons, doubleraient alors le risque de dépression.

La recherche a été publiée dans la revue Maternal and Child Health et avait comme objectif de justifier le soutien à apporter aux femmes qui ne peuvent pas allaiter.

Si on ne parle que de statistiques, il est recommandé de nourrir l’enfant au lait maternel pendant les 6 premiers mois de sa vie. Néanmoins, comme l’indiquent les spécialistes de l’Université de Cambridge, on a tendance à oublier les conséquences émotionnelles chez la mère.

« Les femmes qui voulaient allaiter, mais n’ont pas pu sont celles qui avaient le plus haut risque de dépression de tous les groupes », rapporte Dre Maria Lacovou.

Elle affirme qu’il faut « s’assurer de garder un œil sur ces femmes » et mettre à leur disposition un service de soutien approprié.

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Quoi manger pour éviter la dépression post-partum?

Certains aliments ont de bonnes vertus, c’est le cas notamment des produits laitiers, poissons gras et fruits de mer, graines de lin et certaines huiles, tout comme les fruits et légumes.

Bien qu’ils soient bons dans plusieurs sphères, ce que ces aliments ont en commun réside également dans leurs bienfaits contre la dépression post-partum.

Les produits laitiers sont importants autant pendant qu’après la grossesse. Selon Top Santé, des études démontrent que les femmes qui n’ont pas de carence en calcium sont 2 fois moins susceptibles de vivre la déprime suivant la grossesse.

Les omégas-3, selon une récente recherche, sont nocifs pendant la grossesse. Cependant, dès que bébé est né, vous pouvez changer votre alimentation et réintégrer les poissons gras ainsi que les graines de lin, l’huile de noix et de colza, ou l’huile de foie de morue. Vous vous assurerez ainsi une meilleure régulation de votre humeur.

Le sélénium est un autre ingrédient favorisant la bonne humeur. Il se retrouve dans la viande et le poulet, mais surtout dans les fruits de mer.

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Papa aussi peut souffrir d’une dépression post-partum

Une nouvelle étude, rapportée par SheKnows, affirme que « les pères plus jeunes ont démontré une augmentation de 68 % des symptômes de la dépression ». On parle ici de pères de 25 ans en moyenne.

Les chercheurs ont cumulé les données de 10 623 hommes. Particulièrement au niveau de ceux qui présentaient déjà de légers symptômes, la naissance de leur enfant a considérablement aggravé leur état par la suite.

La dépression affectait ces nouveaux pères pendant environ les 5 premières années de vie de leur enfant. Il est important de rechercher de l’aide, puisque cet état peut mener à de la négligence ou de la violence corporelle.

Les signes à observer sont les suivants :

– Sentiment persistant d’anxiété, de tristesse et d’impuissance;

– Difficulté à se concentrer et à prendre des décisions;

– Moins d’énergie, plus de fatigue, en plus de changements dans la routine du sommeil;

– Changements au niveau de l’appétit;

– Irritabilité et agitation.

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La peur de l’accouchement augmente le risque de dépression post-partum

La recherche a été entreprise auprès de 500 000 mères. Les chercheurs ont déterminé que le taux de dépression suivant la naissance était plus élevé chez les femmes ayant leur premier enfant et chez celles ayant un historique dépressif.

D’autre part, les mères avec un historique de dépression sont 3 fois plus susceptibles de subir un épisode de dépression post-partum. Les autres facteurs en cause les plus préoccupants sont l’accouchement par césarienne, la naissance prématurée et les malformations congénitales chez le bébé.

Comme l’indique The Bump, le baby blues et la dépression post-partum sont deux choses distinctes. La dépression a des symptômes plus sévères, persistants, qui disparaissent rarement sans traitement.

Selon les données, 50 à 80 % des nouvelles mamans souffrent de baby blues. Mais seulement de 10 à 15 % subiront une réelle dépression.  

Les chercheurs de cette étude espèrent que les résultats encourageront les spécialistes de la santé à être plus attentifs aux signes précurseurs lorsque la femme craint l’accouchement. Celles-ci devraient être mieux encadrées avant et après la naissance.