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Trucs et Bricolages

Comment fabriquer un rafraîchisseur d’air en gel maison

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On aime que notre maison sente bon, mais au quotidien, diverses odeurs peuvent imprégner notre intérieur. Fritures, animaux, humidité, cigarette… Comment faire disparaitre ces effluves désagréables? On peut évidemment se procurer chandelles parfumées et diffuseurs du commerce, mais on peut aussi créer un rafraîchissent d’air économique et efficace!

Voici comment faire…

240 ml d’ea bouillante

1 sachet de 7 g de gélatine sans saveur

240 ml d’eau froide

15 à 20 gouttes d’huile essentielle , parfum au choix 

Du colorant alimentaire (facultatif)

Des bocaux en verre ou des récipients en plastique

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Comment procéder:

1. Verser l’eau  dans un grand bol et y ajouter le sachet de gélatine. 

2. Remuer jusqu’à dissolution complète de la gélatine.

3. Ajoutez l’eau froide et remuer.

4. Ajoutez l’huile essentielle  et le colorant alimentaire (si désiré).

5. Verser le mélange dans les contenants choisis.

6. Laisser refroidir à  température ambiante jusqu’à ce que le mélange devienne solide.

7. Placez les rafraîchir d’air  dans les endroits où on veut faire disparaitre les odeurs (cuisine, salle de bain, etc.)

C’est tout!

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Nightlife.ca

Guide 101 pour vous retrouver à la SQDC

Il y a 5 choses à savoir avant de passer à la SQDC pour la première fois.

Tout d’abord, 2 indicateurs sont importants à prendre en compte: le THC et le CBD.

Selon l’Institut Nationale de Santé Publique du Québec, «Le THC est la composante qui entraîne la plus grande partie des effets psychoactifs du cannabis».

Ça fait rouler le brain, autrement dit.

Pour ce qui est du CBD, c’est la partie du cannabis qui offre «des effets anti-inflammatoires, analgésiques, anti-nausées, antiémétiques, antipsychotiques, anti-ischémiques, anxiolytiques et antiépileptiques.»

Les effets sont plus ressentis dans le body, dirait-on.

Il existe 3 espèces de cannabis: l’Indica, le Sativa et le Hybride. Regardons-les de plus près.

Sur le site de la SQDC, les explications sont claires et simples:

  • L’Indica: «Ses effets sont généralement décrits comme pouvant être calmants, relaxants, ou pouvant créer de la somnolence.»
  • Le Sativa: «Ses effets sont généralement décrits comme pouvant être énergisants, euphorisants ou encore cérébralement stimulants.»
  • L’Hybride: «Ses effets sont généralement décrits comme pouvant être un mélange des effets de l’Indica et du Sativa.»

Il ne faut pas prendre ces informations à la légère. Chaque espèce n’est peut-être pas fait pour vous. Testez-les par petite dose avant d’en consommer en grande quantité. Même chose pour la quantité de CBD et de THC.

Pour les plus réticents qui pensent qu’il n’y a rien à vendre sur les tablettes de la SQDC, rassurez-vous, les stocks et les différentes strains ont nettement augmenté depuis l’ouverture en octobre dernier.

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Les vedettes réagissent à la légalisation du pot

C’est aujourd’hui le grand jour: la consommation de marijuana est maintenant légale au Canada! Si plusieurs s’enthousiasment, pour d’autres il s’agit d’une journée comme les autres.

Pour les premiers, il faut toutefois rappeler que ce n’est pas le moment de se construire une serre et de se lâcher lousse dans la production de cette herbe aux multiples vertus puisque cela n’est pas permis au Québec. Oups! En effet, ici, vous pouvez consommer à condition de vous procurer cette substance à l’un des lieux régulés par l’État et de ne jamais avoir plus de 30 grammes en votre possession.

Quoi qu’il en soit, il s’agit tout de même d’un moment historique et plusieurs vedettes et personnalités publiques du Québec avaient leur mot à dire sur la question!

Même Hydro-Québec s’est permis une petite blague bien loufoque!

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Jean Soulard : un livre de recettes de pot

À quelques mois de la légalisation de la marijuana au Canada, le chef Jean Soulard prépare un livre de recettes qui promet de réinventer le domaine, nous apprend La Presse.

Bien connu pour avoir été aux fourneaux du Château Frontenac à Québec durant 20 ans, Jean Soulard se lance dans la création de recettes à base de cannabis.

Le cuisinier de renommée internationale s’est entouré de chercheurs et toxicologues pour mener à bien cet ouvrage, le premier du genre au Québec.

Selon nos sources, les Éditions La Presse n’a pas voulu suivre le chef aventureux dans le lancement de ce nouveau livre de recettes, et ce, même s’ils ont publié plusieurs de ses livres dans le passé. C’est donc chez Flammarion que les recettes de cannabis de Jean Soulard seront publiées.

Bob le Chef s’est dit très heureux qu’un chef du niveau de Jean Soulard ait le courage de tracer la voie : « S’il y a une personne dont je suis content qu’elle le fasse, c’est lui. Peut-être que la crédibilité de M. Soulard va ouvrir les yeux aux gens », confiait le chef à La Presse.

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On ne connait pas encore la date de parution ni le titre du prochain livre de Jean Soulard. On sait seulement qu’il sera lancé après la légalisation du cannabis qui surviendra le 17 octobre prochain au Canada.

Photo : Capture d’écran

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Snoop Dog lance une ligne de produit de cannabis

Snoop Dogg vient de dévoiler Leafs, sa gamme de produits de cannabis. Le site web du rappeur, MerryJane, présente maintenant un outil cartographique afin de trouver les sites vendant les produits en question.  

Le Colorado ayant légalisé la consommation récréative de la marijuana en 2013, MerryJane l’endroit idéal où trouver la gamme de Snoop Dogg, vendue en dispensaires. 

Entre autres, on y trouve de la nourriture, des cocottes pesées à la main, des jujubes au THC et des huiles de hashish. Certains produits se nomment Purple Bush, Blueberry Dream ou encore Cali Kush.  

«C’est une vraie bénédiction que je puisse partager les produits que j’aime tant avec vous tous. Des cocottes aux concentrés, en passant par les items comestibles, tout a été personnellement choisi pour garantir qu’il s’agit de ce qu’il y a de meilleur», a déclaré le rappeur. 

Quant à son site MerryJane, l’homme d’affaire le définit comme étant une «encyclopédie du monde du cannabis». Deux amis et amateurs reconnus de marijuana, Miley Cyrus et Seth Rogen, ont aussi participé à la mise en place du nouveau site web.

Le 11 mai 2015, Snoop Dogg a lancé son treizième album, intitulé Bush, produit exclusivement par Pharrell Williams et qui reprenait les tonalités funk de ses débuts.

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Justin Bieber fume de la marijuana sur scène

Alors qu’il est en séjour en Nouvelle-Zélande, Justin Bieber en a profité pour se rendre à un spectacle du duo Rae Sremmurd, composé de Slim Jimmy et Swae Lee.

Plusieurs vidéos publiées sur YouTube le montre sur la scène avec les deux membres du duo en train de boire de bonnes gorgés de Hennessy avant de partager ce qui semble être un gros joint. Bieber aurait dit qu’il l’aurait fait à cause d’un pari, mais si on se fie au compte Twitter de Rae Sremmurd, l’invitation à la débauche avait été lancée. Justin Bieber lui-même a utilisé le hashtag #drunkjustin (Justin saoûl) pour qualifier une photo de lui pendant la soirée.

Alors qu’on lui connait bien ce genre de comportement, Justin Bieber semblait pourtant en avoir fini avec la vie de badboy en déclarant récemment, le plus sérieux du monde, vouloir vivre comme Jésus.

Sa déclaration, remplie de contradictions, en venait à expliquer qu’il n’était pas religieux, qu’il n’aimait pas ce qui se passait au sein des églises, mais qu’il voulait vivre comme le fils de Dieu, et que la foi l’avait sauvé. Bieber offrait même son opinion sur ce qu’était un vrai chrétien.

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La marijuana à la rescousse de Susan Sarandon

L’actrice Susan Sarandon ne fait pas de cachettes : elle a fumé et fume encore de la marijuana. Elle croit même que sa consommation l’a aidée dans sa carrière, notamment lors de la lecture de certains scénarios.

«Je n’ai jamais travaillé gelée, je n’ai jamais tourné gelée, mais j’ai lu des scénarios dans cet état pour obtenir une perspective différente», a-t-elle déclaré à High Times Magazine, une publication spécialisée portant sur la marijuana et ses dérivées.

Sarandon ajoute même que : «la chose plaisante à propos de fumer de la marijuana, c’est que si tu as une vie très remplie où tout va vite, ça ralentit les choses. Ça triple les weekends ! Si tu as seulement un court moment pour être gelé, ça te permet de ralentir et de réellement vivre le moment. Avec les technologies dans nos vies, tout le monde devient multitâche. Fumer permet de reconnecter, d’être présent et conscient.»

Sarandon y va tout de même de certaines réserves quant à la consommation de cannabis.

«J’ai expliqué à mes enfants (Eva, 30 ans, Jack, 25 ans, et Miles, 22 ans) que la marijuana aide à ralentir une vie trop chargée, mais que la vie ne serait jamais chargée si on fume constamment à un jeune âge.»

Susan Sarandon s’est évidemment prononcée pour la légalisation de la marijuana, disant même qu’il était «absurde que certains états ne l’aient pas encore fait.»

Photo : BANG/BIG

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D’autres évidences sur les séquelles laissées par la marijuana

Les scientifiques ont décidé de se pencher sur la dégradation cérébrale associée à la consommation de cannabis, d’autant plus qu’il est désormais souvent légalisé.

Les vertus médicales de la marijuana ont été démontrées au niveau de certaines maladies incurables, entre autres pour les tremblements associés au Parkinson. Toutefois, son utilisation à long terme n’est pas sans conséquence, d’autant plus que c’est le cerveau qui en souffre.

Francesca Fibey, l’une des chercheuses, a commenté dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences : « Nous voyons une croissance de la consommation de marijuana depuis 2007 ».

Pour comprendre l’influence de cette drogue sur le cerveau humain, 48 sujets adultes et consommateurs de la substance ont participé à l’étude, puis 62 autres qui ne consommaient aucune drogue. En moyenne, les 48 participants prenaient du cannabis trois fois par jour.

Si l’on comparait les tests pour évaluer les capacités cérébrales, tant au niveau cognitif que du QI, le groupe consommant régulièrement tirait visiblement de la patte. En comparaison avec des gens du même âge, genre et ethnicité, la différence était notable, informe Science World Report.

« Même si on notait une augmentation de la connectivité fonctionnelle et structurelle qui compensait la perte de matière grise, le “câblage” du cerveau finissait par se dégrader à long terme. »

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La marijuana utile pour les gens atteints de lésion traumatique cérébrale

Des chercheurs de l’Institut de recherche biomédicale de Los Angeles ont validé la présence ou l’absence de la molécule tétrahydrocannabinol (THC) dans l’urine de 446 patients ayant subi une lésion traumatique cérébrale (LTC).

Le THC est un ingrédient actif de la marijuana. Lors de tests effectués, dans le groupe dont le résultat était positif, le taux de mortalité était moins élevé (2,4 %) que chez ceux dont l’urine n’en contenait pas (11,5 %).

Le Dr David Plurad a expliqué : « Des études précédentes ont démontré que certaines composantes de la marijuana aidaient à protéger le cerveau des animaux après un trauma ».

La présente recherche est l’une des premières à associer le THC comme un facteur améliorant le taux de survie après des dommages cérébraux chez l’humain, indique Science World Report.

Jusqu’à présent, les recherches ont démontré que le THC stimule l’appétit, diminue la pression oculaire, réduit les spasmes musculaires, soulage la douleur ainsi que les symptômes du côlon irritable.

Le détail de l’étude a été publié dans The American Surgeon.

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Astuces pour se débarrasser des culottes d’entraînement pendant la nuit

Rester positif

Le rythme de chaque enfant étant différent, il faut d’abord demeurer positif, et ce, en tout temps. Inutile d’ajouter de la pression à votre enfant, cela lui causera un stress inutile et un sentiment d’échec et de déception. Le succès de l’opération repose sur la confiance que l’enfant a en lui.

Prendre le temps

Contrairement au retrait de la suce, éduquer son enfant à la propreté prend du temps. Ne sautez pas d’étapes, c’est-à-dire ne tentez pas de retirer la couche d’un seul coup. Passez de celle-ci à la culotte d’entrainement et aux sous-vêtements en vous assurant que votre enfant est au sec pendant de nombreuses nuits avant de passer au prochain stade.

Soyez bien préparé

Il existe de longs coussinets absorbants que vous pouvez disposer sous le drap pour éviter de mouiller le matelas. Ensuite, assurez-vous de ne pas vous fâcher contre votre enfant lorsqu’il demandera de l’aide pour le petit pot en pleine nuit.

Évidemment, il faut limiter les boissons avant l’heure du coucher et uriner avant d’aller au lit.