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L’eau du robinet comporte aussi des risques

Le Centre d’information sur l’eau (Cleau), en France, propose quelques informations et recommandations en ce qui concerne l’eau potable offerte par le robinet de nos maisons, rapporte Top Santé.

C’est que ce geste pourtant simple et banal pourrait aussi comporter certains risques pour la santé, selon les spécialistes du Cleau.

Il faut notamment se soucier des règles d’hygiène, par exemple éviter de boire de l’eau qui repose à l’air libre depuis plus de 24 heures, même en ce qui concerne l’eau en bouteille. L’eau chaude, contrairement aux croyances, est propice à la prolifération des germes.

Par ailleurs, un nouveau phénomène observable, à tout le moins en Europe, serait le ramassage de l’eau de pluie pour des fins de lavage (vaisselle, vêtement, etc.). Il s’agit d’une pratique vivement déconseillée par le Cleau, à moins que cette eau soit préalablement traitée. L’eau de pluie n’est pas de l’eau potable, rappelle aussi le Centre. 

Un conseille pour finir l’utilisation d’un filtre, communément retrouvé en magasin, même pour l’eau du robinet, et de s’informer vivement sur les pratiques de votre région en matière d’eau potable.

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L’arsenic dans l’eau potable pourrait nuire aux performances du cerveau

La présence d’arsenic dans l’eau potable inquiète un grand nombre de citoyens et de spécialistes, même si celui-ci se retrouve souvent en faibles quantités.

Il n’en demeure pas moins que le fait d’associer l’arsenic à l’eau potable semble terrifiant, et une nouvelle étude en provenance de l’État du Maine donne des munitions à cette peur, selon The National Library of Medicine.

La présence de traces d’arsenic dans l’eau potable du Maine n’étant pas un secret pour ses citoyens, des chercheurs ont décidé de faire passer des tests d’intelligence et de performance mentale à des groupes de jeunes étudiants, dont certains sont davantage exposés à la présence d’arsenic.

Les craintes des chercheurs américains se sont avérées fondées, alors que ces derniers ont observé des résultats plus faibles chez les groupes exposés à l’arsenic.

« Même si le fait d’acheter un filtre standard à la quincaillerie est inadéquat pour traiter l’eau potable des puits, la bonne nouvelle est qu’il existe des étapes pour améliorer la situation », explique l’auteur des travaux, Joseph Graziano.

Ce dernier fait référence à un système appelé « inversement de l’osmose », malheureusement coûteux. Des programmes éducatifs sont également offerts aux familles du Maine pour en apprendre davantage sur le phénomène et les méthodes de prévention possible.

Les conclusions et observations de l’étude menée par M. Graziano ont été publiées dans le journal Environmental Health.

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Trois-Rivières approuve la fluoration de son eau

Trois-Rivières a tranché dans le débat concernant l’ajout de fluor dans les eaux potables du Québec, et décide de passer dans le camp du « oui », rapporte Radio-Canada.

La ville de Trois-Rivières a en effet accepté de donner son accord au projet de fluoration de l’eau potable, à la suite d’un vote qui s’est terminé de façon serrée. Neuf conseillers municipaux sur seize sondés ont voté en faveur du projet, ce qui a soulevé des réactions mixtes de la part du public présent lors de l’assemblée.

Pour les conseillers Marie-Claude Camirand et André Noël, qui ont voté contre, il semble que le feu vert accordé dans ces circonstances soit une erreur. « Je n’ai pas constaté d’acceptabilité sociale. Je ne veux pas imposer cette mesure-là à ma population », lance Marie-Claude Camirand.

André Noël, pour sa part, affirme : « Cette mesure-là doit être évaluée sur une base provinciale. Je vais voter contre, car je n’ai pas l’intention de me substituer au gouvernement ».

Certains conseillers qui ont voté en faveur du fluor dans l’eau ont aussi émis des réserves, un bon indicateur du vif débat qui règne au Québec en la matière depuis quelque temps.

La qualité du fluor utilisé dans l’eau et ses impacts sur la santé sont au cœur du débat, et la décision reviendra maintenant à chaque municipalité, comme le désirait le gouvernement provincial.

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Fluor dans l’eau potable : une polémique mondiale

Ce n’est pas qu’au Québec que le dossier du fluor dans l’eau potable fait jaser, mais bien partout dans le monde.

C’est ce qu’on comprend de cet article publié par le Daily Mail (UK), qui révèle certaines données inquiétantes en lien avec ce dossier chaud. Les résultats et inquiétudes subséquentes de la part d’experts et d’observateurs découlent d’une récente étude sur le sujet, qui fait état d’une possible hausse des risques de démence chez les consommateurs d’eau potable dont on aurait manipulé les taux de fluor.

Des observations qui s’appliquent donc tout à fait chez nous, puisque les raisons avancées en territoire européen pour expliquer l’affaire sont sensiblement les mêmes que chez nous.

Dont la principale, soit celle qui vante les mérites du fluor dans l’eau pour contrer les caries dentaires, notamment chez les tout-petits. Moins de caries, mais aussi plus de chances de voir se développer des maladies cérébrales et neurologiques comme la démence, voilà une transaction qui n’est pas équitable, croient plusieurs chercheurs.

C’est l’opinion de Doug Cross, qui lance en conclusion : « Le problème va au-delà d’une histoire de plombages, car une exposition massive au fluor peut entraîner des problèmes dentaires. De plus, comme il est avancé qu’un tiers de nos personnes âgées de plus de 65 ans mourront d’Alzheimer, ajouter un risque supplémentaire est simplement fou ».

Pendant ce temps, au Québec, le dossier a littéralement sombré dans l’oubli.

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Fluor dans l’eau potable au Québec : le dossier crée la polémique

Radio-Canada rapporte que la Direction de la santé publique du Québec entend fluorer l’eau des Québécois (à tout le moins de la moitié) d’ici quelques années, et ainsi faire passer le taux de fluor dans l’eau courante de 3 % à plus de 10 %!

50 % dans certains endroits, même, peut-on lire dans le reportage, ce qui en fait sourciller plus d’un.

Et pour cause, croient les gens de chez Eau Secours, qui appellent la population à se mobiliser face à cette décision controversée.

On explique d’abord que Québec va tenter de convaincre la population d’appuyer la mesure, cette dernière ayant donc vraisemblablement un droit de parole sur le sujet. Les élections municipales du 3 novembre prochain semblent également un point pivot afin de trancher la question.

Une question d’ailleurs soulevée par des prétextes qui peuvent semer la consternation, à commencer par les notions de « santé dentaire » et de « rentabilité » avancée par le gouvernement.

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Des craintes majeures concernant l’accès à l’eau dans le monde d’ici deux ans

2015, une année pas si lointaine, pourrait marquer le début de ce qu’on appelle la « crise de l’eau », un problème déjà existant et qui ne pourrait faire qu’empirer si aucun effort international n’est mis de l’avant.

C’est un peu ce qui ressort des conclusions publiées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui presse les gouvernements du monde entier d’agir en la matière avant qu’il soit trop tard, rapporte Santé Log.

Le rapport, intitulé Progress on sanitation and drinking-water 2013 update, parle de près de 2,5 milliards de personnes qui n’auront pas accès à de l’eau potable traitée d’ici 2015, des chiffres qui font mal.

« Chaque jour, des centaines d’enfants meurent, des milliers de parents pleurent leurs enfants », s’indigne Sanjay Wijesekera de l’UNICEF.

Un sentiment légitime, alors que seulement 64 % de la population mondiale aurait accès à des installations sanitaires et d’eau potable. À peine la note de passage, dans un examen où la seule réussite se situe au seuil du 100 %.

Il ne faut pas être de gauche ou de droite pour comprendre l’importance et la capacité des gouvernements et des richissimes compagnies à y faire quelque chose, mais les priorités sont souvent celles dictées par le symbole $.

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Quand l’eau du robinet pose un danger

L’eau potable retrouvée dans toutes les chaumières fait souvent l’objet d’études ou de controverse, mais une nouvelle recherche s’attarde cette fois à la température de celle-ci.

Selon l’étude rapportée par The National Library of Medicine, plusieurs régions contrôlent mal les écarts de température entre l’eau froide et l’eau chaude, ce qui pourrait mettre en danger la sécurité des jeunes enfants et des personnes âgées, plus sensibles à ces écarts de température.

Aux États-Unis seulement, on rapporte 1500 cas d’hospitalisation pour des brûlures dues à l’eau du robinet! Pire encore, on rapporte une moyenne de 100 décès pour les mêmes raisons, annuellement…

Des révélations étonnantes de la part des chercheurs de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, qui suggèrent certaines solutions au problème.

Du nombre, on croit qu’il serait possible d’installer des systèmes de prévention des brûlures à même le robinet dans les endroits qui abritent de jeunes enfants ou des aînés.

Les conclusions ont été publiées dans l’édition du mois de mars du Journal of Burn Care Research.

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L’eau potable est toujours une source d’inquiétude pour les spécialistes

À la suite de la Journée internationale de l’eau, qui se déroulait le 22 mars dernier, plusieurs publications sont apparues concernant le liquide et les façons de le consommer.

Alors que plusieurs font encore confiance à leur bon vieux robinet, d’autres privilégient les bouteilles d’eau de source vendues en magasin.

Mais sont-elles toutes propres à la consommation? Selon Santé Log, on croit qu’une bouteille sur dix vendue en magasin renfermerait des traces d’éléments chimiques ou de médicaments, ce qui n’est guère rassurant…

Même en se tournant vers l’eau potable du robinet, on ne pourrait échapper à d’autres problèmes, comme la présence de plomb, de chlore ou de fluor, dans certains cas.

Tout cela varie bien sûr selon votre zone géographique, mais il est vivement conseillé de faire des recherches et de s’informer sur l’eau potable de sa région avant de la consommer quotidiennement.

Même chose pour les eaux embouteillées. Ne faites confiance à aucune publicité et faites preuve de rigueur dans votre quête d’informations. Il en va de votre santé.

Manifestement, on est encore loin d’un consensus en ce qui concerne l’eau à boire, et ces récents résultats placent les spécialistes dans un état de pessimisme franchement inquiétant.

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L’eau du robinet jouerait-elle un rôle dans le développement des allergies?

Une étude rapportée par www.nlm.nih.gov propose un lien possible entre l’eau du robinet et le développement de certaines allergies alimentaires.

Si la nouvelle peut faire peur, on ne peut s’empêcher de constater qu’une telle cause à effet serait tout à fait logique, bien que les spécialistes se gardent d’employer une telle expression.

Plus concrètement, les chercheurs de l’American College of Allergy, Asthma and Immunology (ACAAI) ont étudié les composantes chimiques retrouvées dans l’eau « plate » du robinet, dont les dichlorophénols.

Ces derniers sont des composantes utilisées, entre autres, pour la création de pesticides. On pourrait retrouver ces pesticides dans le traitement de plusieurs fruits et légumes sur le marché.

L’étude suggère que « les hauts niveaux de pesticides à base de dichlorophénols peuvent possiblement affaiblir la tolérance à la nourriture chez certaines personnes ».

La Dre Elina Jerschow explique plus en détail le phénomène : « Ces composantes chimiques sont retrouvées fréquemment dans les pesticides utilisés par les fermiers, ainsi que dans les produits contre les insectes (moustiques, par exemple) et les produits contre les mauvaises herbes. Même chose pour l’eau du robinet ».

À la suite d’une étude plus approfondie qui impliquait plus de 2200 participants, les chercheurs ont constaté qu’un lien pouvait être établi entre l’eau du robinet et la montée en flèche des cas d’allergies alimentaires, notamment chez les enfants.

D’autres études sont attendues sur le sujet.