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Le bouillon de poulet, bon pour la pression

Des chercheurs japonais ont découvert que des protéines de collagène, que l’on retrouve en abondance dans le bouillon de poulet, pourraient diminuer la pression sanguine.

Plusieurs chercheurs, dont le Dr Byron Lee de l’Université de San Francisco, ont accueilli ces résultats avec un grain de sel, mentionnant que les cuisiniers en herbe salaient tellement leur soupe au poulet que cela pourrait justement inhiber complètement les effets des protéines de collagène.

L’auteur de cette recherche, le Dr Ai Saiga, espère donc isoler ces protéines afin de créer un nouveau médicament contre l’hypertension artérielle.

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L’irradiation pour contrer la listériose

Afin d’enrayer les bactéries dangereuses qui prolifèrent dans certains aliments, Santé Canada prévoit faire irradier le boeuf, le poulet, les crevettes et les mangues, selon ce rapporte le quotidien Le Devoir.

Cette opération consiste à exposer les aliments aux rayons gamma du cobalt 60.

En 2004, l’agence de santé fédérale souhaitait apporter une modification à la loi afin d’ajouter quelques aliments à la liste de ceux qui devaient être irradiés. Devant les nombreux cas de listériose, Santé Canada ressort ce projet, qui avait avorté en raison des craintes des consommateurs.

Des consultations publiques sur le sujet se tiendront dans quelques villes canadiennes, dont Montréal et Toronto.

Au pays, les fabricants peuvent déjà irradier les pommes de terre, les oignons, les farines, les épices et les aliments déshydratés.

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La viande au menu

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE), les personnes mangent de plus en plus de viande, ce qui pourrait présenter un risque pour la santé publique et l’environnement.

D’ici 2020, on prévoit une hausse de 50 % de la consommation de viande à l’échelle planétaire. L’organisation pointe du doigt l’Inde et la Chine, dont l’économie est en plein essor.
 
Jean-Luc Angot, de l’OIE, mentionne : « Il y a des risques sanitaires supplémentaires, car les produits vont circuler plus vite que le temps d’incubation des maladies. »
 
En plus du risque de maladies, comme la grippe aviaire et la fièvre catarrhale ovine, l’OIE précise que ce phénomène aura pour conséquence de contribuer au réchauffement climatique et à la modification des écosystèmes.
 
En 2006, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture a estimé que la production bovine produisait plus de gaz à effet de serre que la flotte automobile.