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Demi Lovato transportée d’urgence à l’hôpital

On croyait pourtant que les ennuis de santé de Demi Lovato étaient choses du passé.

La chanteuse a cependant été transportée d’urgence à l’hôpital au cours des dernières heures, rapporte TMZ.

On parle de « problèmes respiratoires significatifs », selon une source.

Demi Lovato a donc été emmenée au Providence Tarzana Medical Center, en Californie, pour y être soignée.

Ces problèmes respiratoires seraient dus à la une grippe, et la chanteuse de 22 ans souffrirait d’une infection des poumons.

Sous traitement et en observation, Demi Lovato a dû annuler une séance d’enregistrement prévu hier après-midi (24 février).

On ne craindra pas pour sa vie, et son état s’améliorerait grandement à la suite du traitement administré par l’équipe de médecins californienne.

Ces problèmes s’ajoutent à plusieurs visites en centre et à l’hôpital au cours des dernières années pour Demi Lovato, qui semblaient pourtant de retour sur la voie de la santé.

La chanteuse doit par ailleurs proposer un nouvel album en 2015.

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Cancer du poumon : il est souvent trop tard

Encore aujourd’hui, rapporte Top Santé, le tiers des patients meurent 3 mois après le diagnostic du cancer. C’est le son de cloche donné par les chercheurs de l’Université de Nottingham en Grande-Bretagne.

L’étude, publiée dans la revue Thorax, a été menée sur un échantillon de 20 000 patients souffrant du cancer du poumon. Or, parmi eux, il y en a même 5 % dont le cancer a été détecté uniquement après le décès.

Le taux de survie à ce cancer est très mince. Selon les données, 1 patient sur 10 décède à l’intérieur de 30 jours, alors que 15 % survivent au-delà, mais sans dépasser 3 mois. La majeure partie des patients, bien que se situant dans la dernière tranche, dépassent les 3 mois (70 %), sans pour autant survivre.

Il appert que ce ne sont pas nécessairement de mauvais diagnostics, mais des occasions manquées pour la détection lorsque le décès est rapide.

Les chercheurs expliquent : « Il ne s’agit pas d’élargir simplement le recours à la radio des poumons, mais de mieux cibler cet examen après une évaluation clinique plus systématique et plus poussée ».

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La température de notre haleine pour détecter le cancer du poumon

Ce sont les chercheurs de l’Université de Foggia en Italie qui ont présenté cette découverte lors de l’European Respiratory Society (ERS) International Congress à Munich.

La mesure de la température de l’air que nous expirons est une technique simple et non invasive qui, à elle seule, pourrait déterminer si quelqu’un est atteint du cancer du poumon. Cette méthode a déjà été étudiée dans le cadre d’autres cancers, mais il s’agissait d’une première pour les poumons.

Lors de l’étude, 82 participants avaient été dirigés vers d’autres tests de dépistage du cancer du poumon après un rayon X qui laissait place au doute.

Les chercheurs ont ensuite utilisé le X-Halo, un dispositif mesurant la température de l’haleine, tant sur le groupe atteint du cancer que sur ceux dont la réponse avait été négative. Il s’est avéré que l’haleine du premier groupe était à une température plus élevée.

Un degré cible a été établi, et il a été possible de déterminer avec précision si un patient était atteint ou non du cancer du poumon. Plus le stade était avancé, plus la température était élevée, rapporte Science World Report.

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Certaines huiles végétales liées à de possibles troubles pulmonaires

Si les huiles végétales ont bonne presse depuis un moment déjà, il ne faut pas oublier qu’elles possèdent toutes des caractéristiques différentes et ne proposent pas toutes les mêmes possibilités.

De plus, certaines huiles végétales semblent être davantage des alliées de la bonne santé que d’autres, par exemple l’huile d’olive qui continue d’être vantée à travers différentes études en alimentation.

Ce n’est pas nécessairement le cas des huiles végétales riches en vitamine E, alors que MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui met en garde les consommateurs contre de possibles troubles pulmonaires pouvant découler de la consommation de ces huiles végétales.

Se retrouvent dans ce groupe les huiles de canola, de fèves de soya et de maïs, notamment. L’étude exhaustive proposée par Northwestern Medicine s’appuie sur des données en provenance de la Coronary Artery Risk Development in Young Adults Study (CARDIA) et trace un lien entre la consommation des huiles à fortes teneurs en vitamine E et une moins grande capacité pulmonaire.

Les huiles d’olive, d’amandes, d’avoine et de tournesol seraient quant à elles bénéfiques pour la santé pulmonaire. Comme quoi les huiles végétales et leurs effets sur la santé ne sont pas connus à 100 %. Il est important de bien comprendre les différences entre les options proposées sur le marché.

Les résultats de l’étude sont proposés et analysés par MedicalNewsToday.

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L’Ontario aussi aux prises avec une pénurie de donneurs d’organes

C’est maintenant au tour de l’Ontario de se joindre au Québec dans un nouvel effort de sensibilisation aux dons d’organes, rapporte Radio-Canada.

Le dossier des donneurs d’organes, ou plutôt de la pénurie de donneurs, est un dossier chaud au Québec. Il appert que la province ontarienne voisine est aux prises avec le même problème, des situations qui sont inacceptables pour plusieurs spécialistes et observateurs.

On estime à 1500 le nombre de patients ontariens qui sont en attente d’une transplantation et qui regardent la mort bien en face à cause de la pénurie d’organes créée par le manque de donneurs.

La directrice de l’agence Trillium pour le don de la vie, Mme Ronnie Gavsie, rappelle qu’il est important pour les donneurs de prévenir leur famille de leur choix et d’officialiser le tout sur papier, afin que les proches ne changent pas la décision le moment venu.

La moitié des familles seulement donnerait son accord pour le don d’organes à la suite d’un décès. Une décision que l’on peut facilement comprendre en période de deuil et de drame, mais qui s’explique mal lorsqu’on sait (selon Triilium) qu’un seul donneur peut sauver jusqu’à huit vies.

Le Québec recensait 1047 patients en attente d’un organe en date du 31 décembre 2013.

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Des données encourageantes en matière de dons d’organes au Québec

La situation semble s’améliorer dans le dossier des dons d’organes au Québec, si l’on se fie à des données et statistiques rapportées par Radio-Canada.

La liste d’attente pour une greffe d’organe au Québec aurait raccourci pour la première fois au cours des huit dernières années, selon cette même source, ce qui s’expliquerait en partie par l’effort de sensibilisation effectué par Transplant Québec.

Cette diminution de 15 % encourage les autorités de la santé, qui voient une meilleure compréhension de l’importance du don d’organes de la part des citoyens québécois.

Si la hausse de 45 donneurs en 2013 peut sembler faible, il faut se rappeler que seulement 1 % des patients décédés en milieu hospitalier peut actuellement devenir un donneur d’organes.

Voilà pourquoi il est important que de plus en plus de citoyens signent leur carte à cet effet, et qu’un plus grand effort de sensibilisation se fasse auprès de la population.

Du nombre des organes transplantés avec succès en 2013, le rein arrive en première position. Près de 300 Québécois auraient subi une greffe du rien avec succès. D’autres greffes du cœur, du poumon, du foie et du pancréas ont également été effectuées avec réussite.

Une pétition est en ligne via le site de l’Assemblée nationale afin de changer les règles en matière de don d’organes et ainsi faciliter le phénomène. Pour en savoir davantage, visitez le www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-4577/index.html.

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Les suppléments d’antioxydants pourraient favoriser le développement du cancer du poumon

Une étude proposée par une équipe de chercheurs suédois a de quoi inquiéter les amateurs et consommateurs d’antioxydants et de suppléments de vitamines antioxydantes, rapporte Top Santé.

Selon les chercheurs du Centre du cancer à l’Institut de médecine de Göteborg, menés par le Dr Martin Bergö, les suppléments d’antioxydants pourraient contribuer à un facteur de risque aggravé de cancer du poumon, notamment en accélérant certains processus qui mènent à la maladie.

Pour l’instant limitées aux suppléments, ces observations contredisent plusieurs idéologies véhiculées par de nombreux spécialistes de la santé au cours des dernières années. Pourtant, les chercheurs suédois semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

« Nous avons constaté que ces antioxydants ont triplé le nombre de tumeurs et aussi fortement accéléré leur agressivité. Quand nous avons éliminé cette protéine chez les souris et dans les lignées cellulaires de cancer du poumon humain, les antioxydants n’ont plus eu d’effet », explique le Dr Bergö.

Ce dernier recommande donc, et particulièrement aux fumeurs, d’éviter la prise de ce type de suppléments et de s’en tenir à une alimentation saine et équilibrée.

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L’air officiellement cancérigène, selon l’OMS

C’est une véritable bombe que ce rapport de l’OMS, alors que l’Organisation mondiale de la santé classe officiellement l’air ambiant comme une substance cancérigène, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

Alors que les cas de cancer semblent augmenter de façon constante, et ce, malgré les progrès stupéfiants de la médecine moderne et des sciences, on cherche à déterminer depuis longtemps les causes qui peuvent expliquer le phénomène.

L’une des théories persistantes est celle de l’air ambiant, respiré par tous, qui serait teinté de substances cancérigènes. Une théorie qui serait maintenant vérifiée et vérifiable, selon l’OMS.

« Notre tâche était d’évaluer l’air ambiant que tout le monde respire, plutôt que de mettre l’accent sur des polluants spécifiques. Les résultats de nos études pointent dans la même direction : le risque de développer un cancer du poumon est dramatiquement plus élevé chez les personnes soumises à la pollution de l’air », explique Dana Loomis dans un communiqué.

Bien entendu, cette notion est variable selon les régions du monde et la location géographique d’un individu, mais ces révélations ont de quoi décevoir et rendre pessimiste.

La Chine serait l’une des régions du monde les plus touchées par la pollution de l’air, à cause de son industrialisation effrénée, conclut aussi l’étude.

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Certains aliments pourraient protéger du cancer du poumon

On le sait, la nutrition joue un rôle de premier plan en santé et en prévention de plusieurs maladies, qu’elles soient graves ou bénignes.

Il est cependant plus rare de voir des aliments associés de façon claire à la réduction de risques d’une maladie bien précise, la plupart des études se contentant de mentionner ce qui est « bon pour la santé ».

Un nouveau lien plus direct vient d’être établi entre certains aliments et le cancer du poumon, alors qu’ils pourraient faire baisser les risques de développer cette maladie, même chez les fumeurs!

C’est ce que rapporte Top Santé en dévoilant des données qui vantent les mérites de certains aliments en prévention du cancer du poumon. On mentionne notamment la quercétine, retrouvée dans les petits fruits, les oignons, les pommes et la laitue, entre autres.

Vient ensuite le soja ainsi que tous les produits faits à base de soja, bien entendu, qui permettraient une réduction des risques de cancer du poumon de 40 %!

Les légumes verts et les choux (chou-fleur, chou de Bruxelles, brocoli, etc.) seraient aussi de féroces défenseurs contre ce type de cancer, tout comme le thé vert et les aliments riches en vitamine B6.

Malgré tout, manger tous ces produits n’empêche pas qu’il est tout aussi bénéfique de cesser de fumer!

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Percée technologique majeure en matière de dépistage du cancer du poumon

Excellente nouvelle que celle rapportée par Radio-Canada voulant que des chercheurs canadiens soient parvenus à mettre au point un logiciel capable d’aider les spécialistes à détecter le cancer du poumon plus tôt chez les patients qui en sont atteints.

Analysant chaque situation et permettant un diagnostic plus rapide, basé notamment sur les caractéristiques physiques de chaque patient, le logiciel permet également de définir la meilleure option de traitement possible.

Moins de risque d’erreurs médicales, moins de douleurs inutiles, moins de chances de voir un patient être pris en charge trop tard, voilà autant de bonnes nouvelles qui accompagnent la création de ce système informatique.

Les spécialistes derrière le projet espèrent voir cette nouvelle façon de faire s’implanter rapidement en oncologie un peu partout à travers le pays, et ainsi améliorer les traitements, mais aussi la prévention.

Cette dernière n’est pas excellente, selon les informations obtenues, et les Canadiens ne subissent pas de dépistage systématique de la maladie.

Il est donc d’autant plus important de voir apparaître de nouvelles méthodes comme celle-ci, afin d’enrayer au maximum ce type de cancer, qui représente une forte portion, en moyenne, des décès au Canada.