Catégories
Uncategorized

La prise d’aspirine permettrait la réduction de certaines tumeurs

Plusieurs spécialistes ont déjà suggéré les bienfaits d’une prise régulière d’aspirine dans la lutte contre le cancer, mais voilà qu’une nouvelle étude vient étayer la théorie.

Selon The National Library of Medicine, une étude suédoise vient en effet de confirmer l’impact de la prise d’aspirine sur la réduction de certaines tumeurs, notamment celles observables dans des cas de cancer du côlon et des poumons.

« Nous avons fait la preuve qu’elle [l’aspirine] est aussi efficace contre le cancer du poumon et qu’elle a des effets préventifs autant aux stades précoces qu’avancés », lance l’auteur en chef de l’étude, Yudi Pawitan.

L’équipe de Pawitan a en effet remarqué, après avoir analysé les dossiers de plus de 80 000 patients, une incidence entre la grosseur des tumeurs et la prise d’aspirine de façon régulière, mais à petites doses.

Les chercheurs se demandent également pourquoi l’aspirine semble efficace dans la lutte à ces deux formes de cancer, et non contre d’autres, comme le cancer du sein, par exemple.

De plus, ces conclusions demeurent au stade de la théorie, puisque de futures recherches doivent analyser d’autres aspects de la question avant de pouvoir officiellement conseiller aux gens de se tourner vers l’aspirine.

« Le mécanisme n’est pas entièrement compris », lance Pawitan en conclusion.

Catégories
Uncategorized

Un mini-poumon créé artificiellement

Des chercheurs seraient parvenus à créer et implanter un mini-poumon créé artificiellement, rapportent plusieurs sources dont Santé Log, faisant avancer du même coup la recherche en greffe et transplantation d’organes de façon spectaculaire.

Les chercheurs japonais de l’Université de Yokohama City ont publié un rapport, sous la forme d’une étude complète, et l’ont présenté devant l’International Society for Stem Cells lors du 10e congrès annuel de l’association.

Les révélations faites par l’équipe de chercheurs sont stupéfiantes, alors qu’ils expliquent comment ils sont parvenus à créer ce qu’ils appellent des « bourgeons de foie », qui s’allient pour créer un véritable organe.

Ce dernier a alors été transplanté sur une souris, confirmant alors le succès de l’entreprise.

Il s’agit d’une percée marquante en ce qui concerne la greffe d’organes artificiels, puisque le procédé permettrait non seulement de créer des foies humains, mais aussi d’autres organes vitaux à la survie d’une quantité considérable de patients. 

Catégories
Uncategorized

Nouveau traitement prometteur contre le cancer du poumon

Radio-Canada rapporte une nouvelle intéressante et encourageante concernant la lutte au cancer, plus particulièrement celle au cancer du poumon, qui fait des ravages.

On explique qu’un traitement expérimental s’avère fort prometteur, alors qu’il semble que plusieurs patients ont vu leur espérance de vie être allongée à la suite des essais cliniques.

On parle même de personnes aux prises avec un cancer du poumon de stade très avancé, ce qui jette un vent d’optimisme chez les patients et spécialistes.

Ce sont des chercheurs de l’Université d’Emory, aux États-Unis, qui conduisent les tests et qui confirment maintenant l’efficacité du traitement.

« C’est la première étude clinique qui démontre l’efficacité d’un inhibiteur de la protéine Hsp90 chez des patients atteints d’un cancer avancé du poumon », révèle notamment Suresh Ramalingam, cancérologue et chercheur associé au développement de ce nouveau traitement, d’ailleurs appelé Ganetespid.

On attend maintenant avec impatience les résultats des essais cliniques de phase 3, qui pourraient confirmer que ce traitement est le plus performant et efficace à être développé depuis dix ans.

Catégories
Uncategorized

Les États-Unis proposent le dépistage systématique du cancer du poumon chez les fumeurs chroniques

Certains spécialistes américains croient qu’il serait bénéfique de faire du dépistage systématique au sein de la population qui affiche des antécédents de tabagisme chronique.

On désigne cette portion de gens, aussi appelés « gros fumeurs », par ceux qui ont fumé plus de 20 cigarettes par jour durant des décennies.

Ainsi, l’American College of Chest Physicians propose de faire un travail accru de prévention auprès des gens de 55 à 74 ans qui ont ce genre d’historique.

On croit du côté de ces chercheurs, comme décrit dans leur étude rapportée par Santé Log, qu’on pourrait faire baisser les décès dus au cancer du poumon de 20 % chez ce groupe cible.

On aimerait implanter de telles mesures pour tout le monde, mais les coûts astronomiques d’une telle manœuvre ne sont pas à négliger. En ciblant les personnes les plus à risque statistiquement, les spécialistes de l’American College of Chest Physicians croient qu’il s’agit d’un très bon début.

Les États-Unis mettront-ils sur pied un tel programme et, surtout, d’autres nations suivront-elles l’exemple?

Catégories
Uncategorized

La vitamine D aiderait aussi à la santé pulmonaire

Une récente étude propose de nouvelles vertus à la vitamine D, que l’on sait déjà bénéfique pour les os. Selon cette recherche rapportée par Medical News Today, la vitamine D pourrait aussi aider grandement à améliorer le système respiratoire et les poumons.

En plus de permettre une meilleure respiration, un apport respectable de vitamine D pourrait du même coup protéger contre la tuberculose. Cette maladie est d’ailleurs étrangement en hausse à travers la planète, un phénomène qui n’est pas sans inquiéter plusieurs spécialistes.

L’étude, qui a été publiée dans The Endocrine Society’s Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism (JCEM), explique que le meilleur moyen d’obtenir de bons apports en vitamine D est l’exposition aux rayons du soleil, ainsi qu’un régime alimentaire adéquat.

« La recherche montre clairement une connexion entre les fonctions des poumons et les niveaux de vitamine D dans le sang. Ce lien demeure intact malgré l’âge, le sexe, le poids ou le style de vie des individus », résume l’auteur en chef de l’étude, Chan-Jin Choi.

Catégories
Uncategorized

Le cancer du poumon en voie de dépasser le cancer du sein chez la femme

Le cancer du poumon pourrait dépasser bientôt les statistiques affichées par celles du cancer du sein chez la femme, apprend-on de plusieurs sources, dont Santé Log.

Ainsi, si la tendance se maintient, le cancer du sein ne serait plus le plus meurtrier chez la femme. On estime que le cancer du poumon pourrait voir sa croissance augmenter de 400 % au fil des prochaines décennies, un constat alarmant s’il en est un.

Ces statistiques proviennent d’une étude australienne parue dans la plus récente édition des Annals of Oncology, et ont de quoi faire peur.

L’étude se base notamment sur des statistiques solides fournies par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui parle d’une évolution presque incontournable dans le cas du cancer du poumon.

Cependant, plusieurs nouveaux types de traitement contre le cancer semblent vouloir faire leur apparition, et de nouvelles façons de faire laissent entrevoir un brin d’optimisme.

Il ne reste plus qu’à souhaiter que les chercheurs et spécialistes du monde entier battent de vitesse la croissance exponentielle de cette terrible maladie.

Catégories
Uncategorized

Une protéine qui augmente les risques de haute pression

Des chercheurs viennent de découvrir l’impact et l’importance insoupçonnés d’une protéine sur les risques de développer des problèmes de haute pression, rapporte les National Institutes of Health.

Cette protéine lrp1 était déjà bien connue des spécialistes, notamment pour son rôle dans la régulation du fer contenu dans l’organisme. Il appert maintenant qu’elle joue également un rôle important dans la prévention de la haute pression, plus précisément chez une forme qui affecterait les poumons.

Ce sont des tests effectués sur des souris qui ont permis d’en arriver à cette conclusion, et les chercheurs disent avoir bon espoir de pouvoir traduire ces recherches en percée médicale.

« Ces informations pourraient mener à des progrès concernant le traitement de la polycythémie et de l’hypertension pulmonaire qui surviennent sans cause apparente. Il est donc possible que ces désordres soient le résultat d’une dysfonction de la protéine lrp1 », déclare Tracey A. Rouault, auteure de l’étude.

Ces recherches ont également permis de mieux comprendre comment le corps dirige le fer dans l’organisme pour notamment prévenir l’anémie (déficience des globules rouges dans le sang).

Catégories
Uncategorized

Des poumons de fumeurs approuvés pour transplantation

Une étude incroyable affirme que certains fumeurs chroniques seraient tout de même éligibles comme donneurs, rapporte The National Library of Medicine.

On parle bien sûr ici des poumons, des organes que l’on aurait cru impossible de prélever sur des donneurs fumeurs. Encore moins sur des fumeurs chroniques depuis 20 ans (un paquet par jour), mais il semble que la réalité soit toute autre.

En fait, selon les chercheurs américains en tête de l’étude, plusieurs personnes en attente de greffe pulmonaire pourraient bénéficier de poumons de fumeurs, puisque ceux-ci ne seraient pas toujours nécessairement très endommagés, apprend-on.

Un fumeur peut très bien présenter des activités pulmonaires et respiratoires tout à fait normales, croit le Dr Sharven Taghavi, de l’hôpital universitaire Temple de Philadelphie.

Il explique : « Nos découvertes démontrent que les critères actuels concernant les transplantations pulmonaires pourraient être revus afin d’inclure les gens avec un passé de fumeur. Cela pourrait faire baisser les listes d’attente, ainsi que les taux de mortalité ».

« Par exemple, un chirurgien pourrait décider d’accepter des poumons sains d’un fumeur en bonne santé. D’autres poumons moins “bons” pourraient aussi permettre de sauver la vie de personnes en seuil critique, près de la mort. »

Voilà qui a de quoi surprendre, mais qui s’avère une excellente nouvelle.

Catégories
Uncategorized

Le tabagisme passif maintenant reconnu

Top Santé rapporte un jugement provenant d’une cour d’appel française qui valide le concept de « tabagisme passif » et tranche en faveur d’une enseignante qui décriait le phénomène.

Cette enseignante originaire de Toulouse a dû se faire enlever un poumon à la suite d’un cancer dont l’origine est suspecte, puisque la dame ne fume pas.

S’il est difficile de tracer un lien clair entre le tabagisme passif et ce genre de cas, la cour d’appel en question semble avoir été convaincue par la plaidoirie de la plaignante.

Il s’agit d’une grande première, car les tribunaux du monde entier sont souvent réticents à accepter une notion de causalité dans ce genre d’affaires.

Or, des statistiques tendent à démontrer que le phénomène du tabagisme passif est bien réel et qu’il pourrait même tuer 1 personne sur 100.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’était aussi penchée sur la question en 2004, avant de conclure : « Le tabagisme passif résulte de la fumée qui envahit restaurants, bureaux ou autres espaces clos lorsqu’il y a combustion de produits du tabac, comme des cigarettes. Ses effets nocifs concernent tout le monde. Et il n’existe pas de seuil au-dessous duquel l’exposition à la fumée du tabac serait sans danger ».

On peut s’attendre à ce que plusieurs tribunaux emboîtent le pas dans ce dossier, à la suite de cette affaire qui fait office de jurisprudence.

 

Catégories
Uncategorized

Un traitement pour le coeur pourrait avoir une double utilité

www.nlm.nih.gov rapporte des conclusions tirées par des chercheurs qui croient qu’un médicament couramment employé pour contrôler la haute pression et le rythme cardiaque pourrait avoir une deuxième utilité.

En effet, les spécialistes pensent que le traitement appelé « bêta bloquant » serait également fort utile dans le suivi des patients qui se remettent d’un cancer du poumon.

On observerait une hausse des taux de survie de 22 % chez les patients en rémission qui utilisent ce traitement.

« Ces découvertes étaient les premières, à notre connaissance, démontrant une hausse des taux de survie avec l’utilisation des bêta bloquants parallèlement à la radiothérapie dans les cas de cancer du poumon. Ces résultats laissent présager qu’il y a peut-être un autre mécanisme inexploré qui pourrait aider les patients aux prises avec cette maladie très agressive », déclare le Dr Daniel Gomez, de l’Université du Texas.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans la plus récente édition des Annals of Oncology et laissent présager de nouvelles façons de faire en oncologie dans les cas de cancer du poumon.

Les chercheurs tiennent à spécifier que les statistiques concernant les rémissions et les taux de survie peuvent aussi varier en fonction de l’âge et de la condition physique des patients.