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Des différences dans les gènes de non-fumeuses atteintes du cancer

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait des percées importantes en matière de génétique et de cancer, alors que ceux-ci auraient trouvé des variantes dans les gènes de patientes atteintes du cancer du poumon.

Plus précisément, ces récentes découvertes ont été remarquées chez des patientes non-fumeuses atteintes de ce type de cancer.

On parle donc de différences génétiques observées dans trois régions, spécialement chez les femmes asiatiques, qui s’appliqueraient dans plusieurs cas de cancers du côté des non-fumeurs.

Ainsi, les chercheurs sont en train de confirmer la « provenance » du cancer du poumon chez ces femmes, un mystère pour celles qui n’ont jamais touché une cigarette de leur vie.

Après avoir compilé les données de 14 études sur le sujet, incluant les dossiers de pas moins de 14 000 patientes asiatiques (6600 atteintes du cancer du poumon, et 7500 en santé), l’équipe de chercheurs a constaté les variations dont il est question dans l’étude au niveau des chromosomes 6 et 10.

Bien entendu, les auteurs de la super-étude rappellent l’importance d’éviter la fumée secondaire dans votre environnement immédiat, ce qui pourrait accélérer le processus du cancer du poumon chez les non-fumeurs aux prises avec ce type de variation génétique.

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Des poumons en santé seraient bénéfiques pour le cerveau

Outre les raisons et bénéfices connus de s’occuper de sa santé pulmonaire, il appert que des poumons sains seraient aussi bénéfiques pour le cerveau, selon une étude.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend des propos contenus dans une étude produite par des chercheurs suédois. Ceux-ci auraient réussi à tracer un lien entre la santé pulmonaire et la capacité du cerveau à résoudre des problèmes.

Si cela s’avère exact, on peut donc penser qu’il serait possible pour la population de prévenir les problèmes cognitifs et le « ralentissement » du cerveau dû à l’âge.

Les chercheurs suédois ont analysé les cas de 832 patients âgés de 50 à 85 ans, suivis depuis plusieurs années. Les résultats ont été publiés dans le journal Psychology Science.

Voici un extrait des commentaires exprimés par l’équipe, professeur Charles Emery en tête : « La conclusion logique de nos recherches et qu’il est assurément bénéfique pour les performances cognitives et cérébrales de maintenir une bonne santé pulmonaire ».

Il ajoute que, bien sûr, cesser de fumer et faire de l’exercice physique sont les deux premières clés.

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Plus de cancers en 2030

Les principaux cancers à être dans la mire des experts sont ceux du côlon, du rectum, du sein, de la prostate, que l’on associe au développement économique et au mode de vie occidental, selon une étude publiée dans la revue The Lancet Oncology.

En fait, 40 % des cas de cancer colorectal sont répertoriés dans les pays développés, tandis que ces pays ne constituent que 15 % de tous les pays.

L’inquiétude vient surtout du fait que le nombre de cancers diagnostiqués augmentera plus vite que l’accroissement naturel de la population.

En 2008, on comptait plus de 12,7 millions de gens atteints d’un cancer. En 2030, on prévoit en compter plus de 20,3 millions.

Toutefois, chez les femmes, le nombre de cancers de l’estomac et du col de l’utérus diminuera de par le monde, tandis que dans les pays riches, ce sera le cas du cancer du poumon chez les hommes.

Rappelons que les femmes qui travaillent au moins deux nuits par semaine ont 50 % plus de risque de développer un cancer du sein.

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La marijuana ne causerait pas de dommages aux poumons?

Des chercheurs des universités de la Californie à San Francisco et de l’Alabama à Birmingham ont démontré que de fumer du cannabis de façon modérée ne causerait pas de dommage à la fonction pulmonaire.
 
L’étude réalisée auprès de 5115 personnes de 18 à 30 ans a été publiée dans le Journal of the American Medical Association.
 
Pendant vingt ans, on a suivi ce groupe de personnes en les interrogeant sur leur consommation de marijuana et en leur faisant passer des tests pulmonaires.
 
Il faut tout de même demeurer prudent avec ces résultats, car peu de personnes de ce groupe étaient de grands utilisateurs de cannabis.
 
37 % ont déclaré fumer un joint par semaine, et la plupart fumait la cigarette également, à raison d’environ 9 par jour. 17 % ne fumait que du cannabis.
 
La marijuana n’a pas semblé affecter la fonction pulmonaire, contrairement au tabac. Les personnes qui fumaient aussi la cigarette ont démontré une dégradation graduelle de la santé de leurs poumons au cours des vingt ans.
 
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Le fluor pour protéger les organes après un arrêt cardiaque

Une équipe de l’Inserm vient de mettre au point une technique pour refroidir le corps après un arrêt cardiaque.
 
La méthode consiste à injecter des liquides riches en fluor dans les poumons. Ceci cause une respiration basée sur les liquides au lieu des gaz et permet de réduire considérablement la température corporelle afin de protéger les organes vitaux.
 
Selon le journal Circulation, la circulation sanguine est interrompue lors d’un arrêt cardiaque. Si elle n’est pas rétablie dans les 3 à 4 minutes suivant l’incident, les organes commencent à manquer d’oxygène et cela entraîne de graves séquelles.
Les liquides riches en fluor pourraient prévenir le tout. Cependant, la méthode a seulement été testée sur des animaux jusqu’ici. Des recherches supplémentaires doivent être faites pour les essais humains.
 
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Découverte majeure pour d’éventuels traitements de maladies pulmonaires

Le New England Journal of Medicine rapporte que des chercheurs de l’Université Harvard ont trouvé des cellules souches pulmonaires capables de se régénérer en nouveaux tissus.
 
Cette découverte ouvre donc la voie à de futurs traitements pour des maladies chroniques dont plusieurs n’ont aucun traitement possible en ce moment.
 
Le Dr Piero Anversa et ses collègues ont prélevé des tissus lors de chirurgies. Ils sont parvenus à identifier et isoler les cellules souches.
 
On a ensuite analysé leur fonction en éprouvette avant des les implanter dans des souris qui avaient des dommages aux poumons. Les résultats ont été des plus surprenants et prometteurs. Les cellules souches ont réussi à se reproduire et à s’intégrer aux tissus existants, permettant donc une régénération.
 
Des recherches approfondies seront effectuées, mais ce premier pas vers des traitements potentiels est très encourageant.
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L’exercice, la solution des petits poumons

Une équipe de chercheurs offre un nouvel espoir aux enfants atteints de fibrose kystique. Il semble que pratiquer un exercice léger est suffisant pour diminuer fortement les infections pulmonaires, les problèmes respiratoires et la baisse des fonctions pulmonaires de ces enfants.

Selon Medical News Today, les chercheurs du Johns Hopkins Children’s Center ont pu arriver à ces conclusions après avoir suivi 58 enfants âgés de 6 à 16 ans. Ils étaient tous atteints de fibrose kystique. Après que l’on ait questionné les enfants sur leur style de vie, on leur proposait une activité sportive modérée.
 
Par exemple, les enfants pouvaient faire des exercices individuels, jouer au basketball dans l’entrée de la maison, participer à un cours de danse ou encore jouer à la Wii. Les fonctions pulmonaires des enfants ont été évaluées avant et après ce programme de deux mois.

Ainsi, les enfants qui avaient réussi à augmenter leur capacité d’exercice de 10 fois, en pratiquant la marche, avaient présenté une amélioration marquée de leur capacité pulmonaire, soit de 5 % ou plus.

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La dysplasie broncho-pulmonaire, une maladie affectant surtout les enfants prématurés

On apprend sur Medical News Today que des recherches sont en cours pour développer un traitement préventif contre la dysplasie broncho-pulmonaire chez l’enfant prématuré. Dans les dernières années, le nombre d’enfants prématurés a augmenté, constituant désormais plus de 12 % du taux global de natalité.

L’un des problèmes majeurs se situe au niveau des prématurés entre la 23e et la 29e semaine de grossesse. Dans l’édition de janvier du journal Pediatric and Developmental Pathology, il est question des complications qui surviennent au niveau du système pulmonaire lors de l’apparition des symptômes de la maladie. 
 
L’étude démontre que les cellules dendritiques sont habituellement présentes dans les voies respiratoires et les tissus pulmonaires périphériques lorsque les poumons sont à un stade plus développé. Cependant, les recherches ont relevé un taux anormalement élevé de ces cellules dans les cas d’infection pulmonaire prénatale combinée à l’aide respiratoire après la naissance.

Plus de 30 % des enfants prématurés nés entre la 24e et 28e semaine de grossesse sont affectés par la maladie et nécessitent des soins respiratoires de longue durée. Malheureusement, il s’agit d’une cause majeure de décès. En poursuivant leurs recherches, les spécialistes espèrent développer un nouveau traitement et ainsi diminuer le taux de développement de la maladie.

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Les bébés prématurés auront plus de problèmes respiratoires

Des chercheurs ont étudié des bébés nés entre la 36e et la 38e semaine avec des malformations congénitales majeures. Ils ont comparé leur maturité pulmonaire fœtale à celle de bébés nés entre la 39e et la 41e semaine.

 Selon les résultats présentés lors de la rencontre annuelle de la Society for Maternal-Fetal Medicine, les bébés nés entre la 36e et la 38e semaine sont plus à risque d’avoir des problèmes respiratoires plus tard, et ce, malgré le complet développement de leurs petits poumons.

Parmi les problèmes rencontrés, on note le syndrome de détresse respiratoire et l’hypoglycémie. Cela peut même mener à un décès.

Toutefois, des experts tiennent à préciser que les résultats présentés lors du congrès sont préliminaires et doivent être soumis à des recherches plus approfondies pour confirmer les résultats. Les naissances avant la 39e semaine comportent tout de même certains risques à considérer.

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Guérir la malformation des poumons

Une récente étude de l’Université du Michigan offrirait une solution efficace à la malformation des poumons chez la plupart des bébés prématurés.

Les 18 bébés de cette recherche avaient tous reçu un diagnostic modéré à sévère de dysplasie broncho-pulmonaire (DBP).

À la suite d’évaluations, on a pu faire un lien entre la prise de poids des bébés et le développement de leurs poumons. Ceux qui avaient des gains de poids supérieurs à la moyenne présentaient une nette amélioration dans le développement de ces organes.

Cela revient à dire qu’il y aurait une association possible entre l’alimentation améliorée de ces bébés et l’amélioration du volume de leurs petits poumons.

Après un an, les neuf bébés qui avaient eu des gains de poids supérieurs à la moyenne présentaient de nettes améliorations aux poumons, tandis que les autres n’atteignaient pas de différence notable.

Ainsi, les enfants prématurés à l’alimentation améliorée se retrouvaient sensiblement au même degré de développement que ceux nés à terme.

Rappelons finalement que les bébés nés avant la 37e semaine sont considérés comme étant prématurés et qu’ils sont tous très à risque de développer la dysplasie broncho-pulmonaire.

Les résultats complets de la présente étude sont parus dernièrement dans le Pediatric Pulmonology.