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Hausse des transplantations pulmonaires au pays

Un rapport, publié par l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), nous apprend que le nombre de transplantations pulmonaires au Canada n’a cessé de croître depuis les 25 dernières années, comparativement aux autres transplantations d’organes.

 

En 1997, 93 patients ont subi ce genre d’intervention chirurgicale et ce nombre est passé à 171 en 2006. Un total de 1 222 transplantations pulmonaires ont été pratiquées pendant cette période.

Cette hausse est attribuée au plus grand nombre de donneurs.

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La santé mentale et son effet sur l’asthme

Le Dr Thomas Chun et son équipe de l’Université Brown prétendent que les personnes plus fragiles sur le plan psychologique sont plus à risque de souffrir de maladies respiratoires, comme l’asthme.

Quelque 318 151 dossiers médicaux ont été analysés pour l’occasion. Les résultats, jugés préliminaires, ne permettent pas encore de conclure que les troubles mentaux sont des facteurs de risque pour l’asthme.

« Nous avons découvert que les jours où il y a eu détresse psychologique, l’asthme était au rendez-vous », a noté le Dr Chun, qui prétend que les sujets qui ont une moins bonne santé mentale sont 1,31 fois plus à risque de faire de l’asthme.

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Fumeurs, mangez du brocoli!

Selon le Dr Li Tang, du Roswell Park Cancer Institute, manger du brocoli cru et autres crucifères comme le chou pourrait diminuer de 20 à 55 % le risque de cancer du poumon chez les personnes qui fument la cigarette.

« Le brocoli n’est pas un médicament, mais est un facteur positif pour les fumeurs incapables de cesser de fumer ou ne faisant rien pour minimiser le risque. Les personnes arrêtant de fumer bénéficient encore plus de la consommation de crucifères », a mentionné l’auteur de cette étude lors d’un congrès organisé par l’American Association for Cancer Research.

Le Dr Tang se veut toutefois prudent quant à ces résultats. « Les résultats de cette étude ne sont pas suffisamment probants pour que des recommandations de santé publique puissent être faites. Cependant, les indications biologiques très fortes confirment cette observation et ces résultats, combinés à d’autres recherches, montrent que les légumes crucifères pourraient jouer un rôle de prévention important contre le cancer chez les fumeurs actifs et passifs », a-t-il conclu.

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Un mauvais diagnostic de l’asthme

Les travaux du Dr Shawn Aaron, de l’Hôpital d’Ottawa, permettent de conclure que le tiers des personnes déclarées asthmatiques ne le sont pas en réalité et que les professionnels de la santé ont de la difficulté à poser un véritable diagnostic en la matière.

La raison est que les médecins utilisent très peu le spiromètre, un appareil qui mesure la capacité respiratoire. « La plupart des médecins n’ont pas l’appareil. Leurs patients devraient aller passer le test à un laboratoire, mais les médecins ne le demandent pas », déplore le Dr Aaron.

Plutôt que l’asthme, les 496 sujets ayant participé à l’étude souffraient souvent d’autres types de troubles respiratoires, comme la grippe.

Au pays, un Canadien sur 20 est aux prises avec l’asthme, selon Statistique Canada.

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Les femmes et le risque d’hypertension artérielle pulmonaire

Des travaux, menés par le Dr Adaani E. Frost, du Collège de médecine Baylor de Houston, aux États-Unis, permettent de conclure que l’hypertension artérielle pulmonaire, une maladie chronique et potentiellement mortelle, a quatre fois plus de chance de toucher les femmes que les hommes, particulièrement celles âgées de 48 ans et plus.

Cette maladie se caractérise par de la fatigue extrême et un souffle court, causés par la mauvaise circulation sanguine dans les poumons.

Les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de 2 300 patients pour en arriver à ces conclusions.

Leurs découvertes leur ont aussi permis de constater qu’entre les premiers symptômes et un diagnostic de la maladie, il peut s’écouler 10 mois.

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26 gènes derrière le cancer du poumon

Une vaste étude, menée par des chercheurs américains et allemands, a permis d’identifier 26 gènes qui pourraient augmenter l’incidence du cancer du poumon lorsqu’ils présentent des mutations.

Pour arriver à ces conclusions, les scientifiques ont analysé 188 types de tumeurs et 623 gènes qui pouvaient être potentiellement liés au cancer du poumon.

Grâce à leurs découvertes, ils espèrent maintenant trouver un traitement pour les personnes qui présentent ces variations génétiques et qui sont touchées par ce type de cancer, le plus meurtrier à l’échelle mondiale.

Tous les détails de cette recherche sont publiés dans la revue scientifique Nature.

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Les fumeuses qui faussent la donne

Selon une étude de l’Institut national de santé publique (INSPQ), le taux de cancer serait en diminution au sein de la population si les Québécoises n’avaient pas autant fumé dans les années 1970.

En effet, entre 1981 et 2002, le taux de décès liés au cancer du poumon a enregistré une constante progression au Québec.

« C’est le résultat du taux de tabagisme chez la femme qui a atteint les plus hauts sommets dans les années 1970, alors qu’il y avait déjà à ce moment-là une baisse de la prévalence du tabagisme chez les hommes », indique le rapport de l’INSPQ.

Le taux de mortalité de ce type de cancer est toutefois stable, voire en baisse, chez l’homme

L’INSPQ avance que 40 500 nouveaux cas de cancer seront déclarés cette année et que 19 400 personnes succomberont à la maladie.

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Vaste étude canadienne sur le cancer du poumon

L’Institut de Recherche Terry Fox (IRTF) et le Partenariat Canadien contre le cancer lancent une étude qui sera effectuée auprès de 2 500 fumeurs et ex-fumeurs canadiens. L’objectif de cette recherche est de mieux détecter et traiter le cancer du poumon, qui est le type de cancer causant le plus de décès au pays.

Grâce aux questionnaires combinés à des tests sanguins et d’haleine, les chercheurs ont espoir de développer une technique de détection du cancer du poumon, moins coûteuse que le scanneur CT hélicoïdal et la bronchoscopie.

« La détection précoce et le traitement du cancer du poumon sont les moyens les plus prometteurs pour réduire la mortalité du cancer du poumon. On pourrait aboutir à un taux de survie, à 5 ans de plus, de 70% au lieu de 16% actuellement. Cela correspond à 4 fois le taux de succès sans intervention précoce », ont souligné les Dr Stephen Lam et Dr Ming Tsao.

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La fumée d’encens, cancérigène ?

Des chercheurs taïwanais croient que les composés chimiques dégagés par la fumée d’encens augmenteraient le risque de cancer du poumon.

Les chercheurs prétendent que le taux de substances nocives dans l’air est 40 fois plus élevé dans un temple mal ventilé que dans une maison où l’on fume la cigarette.

De plus, l’encens génèrerait plus de pollution que celle de la circulation routière à un carrefour urbain.

Pour en arriver à ces conclusions, les scientifiques ont analysé la qualité de l’air d’un temple de Taipei. Ils y ont trouvé des concentrations 19 fois plus élevées que la normale d’hydrocarbures aromatiques polycycliques, composants hautement cancérigènes.

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La césarienne, un facteur de risque de l’asthme

Des chercheurs norvégiens de l’Université de Bergen se sont penchés sur le lien potentiel entre l’asthme et l’accouchement par césarienne. Selon eux, cette incidence est 50 % plus élevée lorsque le poupon est né par césarienne plutôt que par accouchement naturel.

Le Dr Mette C. Tollanes et ses collègues ont analysé les registres de naissance de 1,7 million d’enfants nés entre 1967 et 1998 pour en arriver à ces conclusions.

Selon le chercheur, cette découverte pourrait s’expliquer par le fait que les bébés nés par césarienne ne sont pas exposés aux bactéries maternelles lors de la naissance, ce qui est essentiel pour favoriser le développement de leur système immunitaire.

Le Dr Tollanes avance aussi comme hypothèse que lors de l’accouchement naturel, la compression de la poitrine favorise le vidage du liquide amniotique des poumons, ce dont seraient privés les poupons nés par césarienne.