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Une flûte pulmonaire pour la bronchopneumopathie chronique obstructive

C’est Science World Report qui mentionne l’existence de cet instrument. Aux États-Unis, la bronchopneumopathie chronique obstructive représente la 3e cause de décès en termes d’importance. Habituellement, c’est une cause directe du tabac.

La Lung Flute a été mise en marché par Medical Acoustics et utilise des vagues sonores pour déloger le mucus (sécrétions) présent dans les poumons.

Les patients souffrants de BPCO qui ont utilisé l’instrument pulmonaire pendant 6 mois ont vu leur état de santé ainsi que leurs symptômes s’améliorer.

Le rapport émis par les chercheurs de l’Université de Buffalo a été publié dans la revue Clinical and Translational Medicine. Grâce aux efforts du Dr Sanjay Sethi, l’un des meilleurs chercheurs du domaine aux États-Unis, la Lung Flute est désormais approuvée par la Food and Drug Administration (FDA).

Désormais, les scientifiques espèrent tester l’instrument sur des patients atteints d’asthme, afin de confirmer si la qualité de vie de ces derniers pourrait également être améliorée.

Vous pouvez visionner le fonctionnement de la flûte sur lungflute.com.

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Des données à la naissance qui prédiraient la santé pulmonaire future

Une nouvelle étude, présentée lors de l’European Respiratory Society (ERS) International Congress a démontré qu’il est possible de tirer beaucoup d’informations à partir des mesures prises à la naissance de l’enfant.

Le poids, la grandeur, le temps de gestation, la capacité pulmonaire et d’autres mesures prises aussi à l’âge de 8 ans représentent des indicateurs puissants de la santé future des gens.  Ceux-ci peuvent prédire la fonction pulmonaire à l’adolescence, et même plus tard.

L’objectif de cette recherche, laquelle a demandé le suivi de la santé de plus de 3000 enfants, était de déterminer s’il est possible d’éviter certaines maladies durant la vie adulte, rapporte Medical News Today.

Notamment, un enfant qui a une faible capacité pulmonaire sera plus à risque toute sa vie. En connaissant cette information, il sera possible de lui éviter l’exposition aux facteurs environnants susceptibles de lui être nuisibles.

Selon le Dr W. John Watkins, responsable de l’étude déployée par l’Université Cardiff au Royaume-Uni, « cela représente une intervention cruciale pour les cliniciens ».

On peut cependant se demander s’il n’est pas risqué de vouloir surprotéger les jeunes en vue d’un risque potentiel, et non d’une certitude.

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Asthme juvénile accru par la pollution intra-utérine

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le cadre de l’American Thoracic Society International Conference, édition 2014.

Yueh-Hsiu Mathilda Chiu explique : « Nous savons que l’exposition à la pollution de l’air pendant la grossesse peut avoir des conséquences directes sur les difficultés respiratoires de l’enfant, incluant l’asthme ». Le chercheur travaille au Department of Pediatrics de l’Icahn School of Medicine du Mont Sinaï à New York.

L’étude s’est penchée sur le cas de 430 enfants nés à terme pendant les 7 premières années de vie. Leurs mères faisaient également l’objet d’une évaluation régulière.

Les particules fines de pollution auxquelles sont exposées les futures mères sont dangereuses, particulièrement pendant le second trimestre, parce qu’elles sont inhalées jusqu’au plus profond des poumons, rapporte la recherche.  C’est pendant cette période que les poumons du fœtus sont les plus vulnérables.

« Nous devons poursuivre l’amélioration de la qualité de l’air et minimiser l’exposition des femmes enceintes pour plusieurs raisons au niveau de la santé », a affirmé Dre Rosalind Wright.

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La pollution et la maladie

Plus l’environnement où vous vivez est pollué, plus grands sont vos risques de souffrir de certains troubles de santé. N’étant pas encore officiellement considérée comme un facteur de risque du cancer des poumons, certains spécialistes jugent que la pollution devrait y figurer.

C’est ce qu’on peut lire dans un article publié sur le site de NBC News. Suivant plusieurs récentes recherches, le Dr Ole Raaschou-Nielsen du Danish Cancer Society Research Center dit qu’ils ne sont pas arrivés à déterminer un niveau de pollution relativement sain. Plus c’est pollué, plus c’est risqué pour votre santé.

Nicholas Mills de l’Université d’Édimbourg en Grande-Bretagne et ses collègues ont combiné les données provenant de 35 études qui ont évalué le monoxyde de carbone, le dioxyde de soufre, le dioxyde d’azote et la pollution à l’ozone, ainsi que les matières particulaires (suie).

« Bien que le rôle de la pollution de l’air est bien reconnu comme un facteur de risque pour les crises cardiaques, il était moins clair que l’exposition augmentait le risque d’événements indésirables chez les patients atteints d’autres affections cardiovasculaires comme l’insuffisance cardiaque », a déclaré Mills dans un communiqué.

« Depuis que toute la population est exposée à la pollution de l’air, même de modestes réductions de la pollution atmosphérique pourraient avoir des bienfaits pour la santé cardiovasculaire ainsi que des économies substantielles sur le plan de la santé », conclut-il.

 

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Lindsay Lohan se remet d’une infection aux poumons

En fait, la jeune actrice a été traitée le 23 septembre après s’être rendue à l’hôpital Mt Sinai pour des douleurs aux poumons.

La vedette de Liz & Dick souffrait d’une pneumonie depuis déjà quelques semaines. Cela aurait même nui à son travail d’actrice, puisqu’elle aurait manqué plusieurs réunions importantes pour le tournage du film Scary Movie 5, dans lequel elle tient un rôle aux côtés de Charlie Sheen.

Toutefois, elle insiste et dit bien aller depuis cet épisode. « J’ai encore été malade, mais je vais bien », a-t-elle dit au New York Post.

Malgré son état de santé, elle prétend s’être bien amusée sur le plateau de Scary Movie 5.

« J’ai été vraiment malade de la pneumonie, mais j’ai quand même travaillé. J’ai tourné Scary Movie avec Charlie Sheen. C’était génial de travailler avec lui, et il m’a donné quelques bons conseils pour survivre dans le milieu », a-t-elle révélé à la fête de Size Matters à Central Park la fin de semaine dernière.

Rappelons que l’actrice a été arrêtée après avoir fui les lieux d’un accident le 19 septembre dernier. Elle aurait accroché un piéton au centre-ville de Manhattan.

Des sources policières ont confié que l’actrice se rangeait pour stationner sa Porsche Cayenne près de l’hôtel Dream, au centre-ville de New York, lorsqu’elle aurait heurté, à une très basse vitesse, le genou d’un homme dans la trentaine.

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Les cigarettes électroniques causent aussi des dommages aux poumons

Vendues comme une alternative moins dommageable pour la santé que les vraies cigarettes, les cigarettes électroniques causent pourtant des dommages aux poumons, selon une étude présentée au congrès de l’European Respiratory Society.
 
L’équipe de l’Université d’Athènes rapporte que l’usage de la cigarette électronique cause une augmentation immédiate de la résistance des voies aériennes.
 
Dans le cas des cigarettes électroniques, les effets à court terme sont indiscutables, indiquent les chercheurs.
 
Chez les 32 participants à l’étude, 8 étaient non-fumeurs et 24 étaient fumeurs. Après 10 minutes d’utilisation, tous ont démontré une augmentation de la résistance des voies aériennes, allant jusqu’à 206 % chez les non-fumeurs et jusqu’à 220 % chez les fumeurs habituels.
 
« Nous ne savons pas encore si les cigarettes électroniques sont plus sécuritaires que les cigarettes normales, malgré les allégations de moindre nuisibilité. Mais ces résultats suggèrent que ces dispositifs pourraient être dangereux. L’augmentation immédiate de la résistance des voies aériennes suggère un préjudice immédiat après utilisation », précise la professeure Christina Gratziou, coauteure de l’étude.
 
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50 % des particules de diesel restent dans nos poumons

En fait, les particules de diesel contenues dans l’air sont nuisibles pour l’environnement, mais aussi pour la santé.

Plus de particules de diesel restent dans notre organisme que celles des autres produits nocifs contenus dans l’air ambiant. Par exemple, seulement 20 % des particules de la fumée de bois restent en nous.

C’est que les particules de diesel, plus fines, pénètrent plus profondément dans les poumons, où elles se déposent et restent coincées.

Ce qui inquiète également les scientifiques, c’est que ces particules, tout comme notre corps, absorbent la lumière. Ce phénomène a pour effet de créer dans nos poumons un réchauffement semblable à l’effet de serre.

Les chercheurs tentent donc en ce moment de déterminer les doses déposées en fonction de l’exposition au diesel, ce qui permettra aux autorités d’imposer des limites d’exposition.

D’autres experts ont aussi démontré que cette exposition pouvait entraîner des maladies respiratoires et cardiovasculaires.

Rappelons que les gaz d’échappement des moteurs diesel sont officiellement considérés comme cancérigènes.

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Des risques très sous-estimés concernant le cannabis

La majorité des gens croient que fumer du cannabis est moins dommageable pour les poumons que fumer la cigarette. Pourtant, ce serait plutôt le contraire, selon un rapport de la British Lung Foundation.
 
En fait, le cannabis est 20 fois plus susceptible de causer le cancer que le tabac.
 
Des composés cancérigènes de la cigarette se retrouvent aussi dans le cannabis, et même jusqu’à 50 % plus. Un seul joint par jour équivaudrait à fumer 20 cigarettes en terme de dommages pour les poumons.
 
Ces nouvelles données remettent en cause de récentes études qui disaient qu’une consommation occasionnelle de cannabis n’avait pas d’effets néfastes sur la fonction pulmonaire.
 
Par contre, les chercheurs ne remettent pas en question l’usage de la marijuana à des fins thérapeutiques, notamment pour soulager les douleurs. Cette pratique est généralement encadrée par un suivi médical approprié.
 
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Tabagisme maternel : la vitamine C à la rescousse des poumons de bébé

« Fumer pendant la grossesse est connu pour affecter le développement pulmonaire du bébé. Cependant, nous avons trouvé que l’utilisation quotidienne de vitamine C (500 mg/jour) par une femme enceinte fumeuse améliore significativement les fonctions pulmonaires du nourrisson, d’après les résultats de tests effectués sur les bébés 48 h après leur naissance », a affirmé au site News Medical Cindy McEvoy, professeure associée à la pédiatrie de l’Oregon Health & Science University Doernbecher Children’s Hospital.

Ainsi, la vitamine C, qui représente un traitement simple, sûr et peu dispendieux, pourrait devenir une solution fort intéressante pour les 12 % des futures mères qui ne réussissent pas à cesser leur consommation de tabac durant la grossesse, pense la spécialiste.

Lors d’examens effectués 48 heures après la naissance de 159 poupons, il a été démontré que ceux dont les mères fumeuses avaient consommé de la vitamine C durant la grossesse avaient une respiration moins sifflante et une fonction pulmonaire plus efficace que ceux dont les mères avaient reçu le placebo.

Ce sont 500 mg de vitamine C administrés quotidiennement à la mère fumeuse qui pourraient être bénéfiques pour le bébé, avance l’étude qui sera présentée à l’ATS 2012 International Conference à San Francisco.

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Fumée secondaire : les enfants peuvent développer des problèmes à vie

Une nouvelle étude de l’Université de l’Arizona démontre que la fumée secondaire n’a pas seulement un effet néfaste direct sur le bambin durant son enfance, mais peut aussi s’étirer à long terme et même parfois sur toute une vie.

Les auteurs de l’étude vont jusqu’à dire que l’exposition à la fumée secondaire durant la petite enfance est associée à un risque accru de maladies respiratoires chroniques et de déficits de la fonction pulmonaire en fin de vie, et ce, indépendamment du fait que l’enfant devenu grand ait fumé ou non lui-même.

C’est ce que révèlent les conclusions présentées au Congrès international de l’American Thoracic Society à San Francisco.

Parmi les problèmes de santé que peuvent avoir les adultes qui ont grandi dans un environnement fumeur, on compte l’asthme, la respiration sifflante et la toux chronique notamment, indiquent des données de la cohorte Tucson Epidemiological Study of Airway Obstructive Disease.

Parmi les 3805 personnes participantes, 371 étaient des enfants et 52,3 % avaient vécu avec des parents fumeurs. Pour l’étude, les jeunes ont été suivis pendant environ 19 ans.

Mentionnons que la fumée secondaire est responsable de 600 000 décès par an, selon les données de l’Organisation mondiale de la santé.