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L’allaitement donne de meilleurs poumons

Une vaste étude anglaise parue dans l’American Journal of Respiratory Care et Critical Care Medicine révèle que les nourrissons allaités au sein sont touchés par des infections respiratoires moins sévères que ceux nourris au lait commercial.

Selon les chercheurs de l’Université de Berne, en Suisse, l’allaitement maternel pourrait avoir un effet direct sur la croissance du poumon. Ce constat devra toutefois être approfondi lors de futures études.

Il semblerait également que l’allaitement maternel peut demeurer fortement recommandé pour tous les nourrissons, y compris ceux dont les mères souffrent d’asthme. D’ailleurs, pour eux, il semble que les résultats bénéfiques soient encore plus frappants.

Les auteurs de l’étude ont même supposé que la durée de l’allaitement maternel influence la fonction pulmonaire. Plus de quatre mois d’allaitement seraient meilleurs pour le bon développement des poumons.

Selon les experts, les enfants avec moins de CVF (capacité vitale forcée) ou FEV1 (forced expiratory volume in 1 second)  que les jeunes adultes pourraient être plus à risque de développer une maladie pulmonaire obstructive chronique plus tard dans la vie.

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Les radiographies ne préviennent pas la mortalité due au cancer des poumons

Une étude américaine publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA),démontre que les radiographies annuelles de la cage thoracique ne permettent pas de réduire le nombre de décès reliés au cancer du poumon.
 
« Ces résultats constituent une solide preuve qu’il n’y a pas de gain substantiel de survie pour les personnes atteintes d’un cancer pulmonaire avec une radiographie annuelle de leurs poumons », mentionnent les auteurs.
 
154 901 personnes âgées de 55 à 74 ans ont participé à l’étude. On a sélectionné au hasard la moitié de ces personnes qui devaient avoir des radiographies annuelles, en prenant soin de séparer également le nombre de femmes et d’hommes dans chacun des groupes, de même que le nombre de personnes n’ayant jamais fumé, les ex-fumeurs et les fumeurs.
 
Au cours de l’étude de 13 ans, on a diagnostiqué 1696 cancers du poumon dans le groupe ayant eu des radiographies annuelles, et 1620 dans celui ayant reçu les soins de routine.
 
Le nombre de décès était similaire dans les deux groupes, soit 1213 dans le premier et 1230 dans le second, démontrant que les radiographies annuelles n’ont aucun impact.
 
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L’embolie pulmonaire : parlons-en

Selon la Dre Florence Parent, on ne parle pas assez des risques accrus d’embolie pulmonaire pour la femme enceinte. Pourtant, ils sont bien réels, car la grossesse en augmente les risques de cinq fois, comme nous le lisons dans Le Figaro.

On la décèle peu, car la méthode actuelle, laquelle s’avérerait des plus efficaces pour prévenir une embolie, est l’angioscanner pulmonaire. Ce type d’analyse comporte toutefois des risques de faibles radiations pour le fœtus.

Selon la Dre Parent, ces risques sont négligeables, car les poumons sont loin du fœtus. Toutefois, même lorsqu’on a recourt à cette méthode, peu de médecins agissent. Ils hésitent à prescrire un traitement, ou prescrivent une dose plus faible.

L’embolie pulmonaire serait la deuxième plus grande cause de décès chez les femmes enceintes, après l’hémorragie post-partum. Elle toucherait 1 cas sur 1500. Une embolie provient du fait que le corps transforme la coagulation pour améliorer la tolérance du placenta.

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Des poumons plus forts grâce à l’allaitement

Un autre bienfait de l’allaitement viendrait d’être démontré. Il semble que les bébés allaités auraient des poumons plus forts que les autres en grandissant. Selon une étude de l’University of South California, l’allaitement améliorerait les fonctions pulmonaires, et ce, durant toute l’enfance et même à l’adolescence.

Ces bienfaits avaient déjà été démontrés jusqu’à l’âge de 10 ans, mais cette fois, on aurait démontré qu’ils se poursuivent jusqu’à la majorité.

Pour tirer ces nouvelles conclusions, on a suivi 1456 duos mère-enfant. La grande partie des enfants de la cohorte ont passé des tests pulmonaires à l’âge de 10 ans, puis à 18 ans. Parmi les 808 enfants qui avaient été allaités, presque la moitié (49 %) l’avaient été durant au moins 4 mois.

L’allaitement contribuerait donc à la croissance des poumons durant toute l’enfance et l’adolescence. Toutefois, on note la possibilité que son effet sur le volume des poumons s’amenuise chez le jeune adulte.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans l’European Respiratory Journal.

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Les effets de la prématurité dans le temps

On lit sur Medical News Today les résultats d’une récente étude sur la prématurité ayant été présentée à l’European Respiratory Society Annual Congress d’Amsterdam. Il semble qu’une naissance prématurée aurait certains effets qui s’amenuiseraient dans le temps.

Il est ici question d’une naissance modérément prématurée. Or, une grossesse normale s’étendant sur 40 semaines, lorsqu’un bébé naît prématurément, il a des poumons immatures, n’ayant pas eu le temps nécessaire pour compléter son développement et sa croissance fœtale.

Des chercheurs affirment maintenant que cet effet négatif pourrait être renversé au tout début de l’adolescence. En effet, si des enfants qui étaient nés à la 33e semaine de grossesse présentaient des fonctions pulmonaires plus faibles que la normale à l’âge de 8 ans, une amélioration a été remarquée à 14 ans.

Ces résultats sont très encourageants, d’autant plus que la survie chez les bébés prématurés s’est incroyablement améliorée au cours des trois dernières décennies.

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Découverte importante pour le cancer du sein et les risques de métastases

Le Journal of National Cancer Institute nous apprend que des chercheurs français de l’Institut Pasteur ont découvert un marqueur qui pourrait déterminer les risques possibles de métastases aux poumons pour les femmes qui sont atteintes d’un cancer du sein.
 
Apparemment, l’expression du gène Kindlin-1 permettrait d’indiquer les risques que le cancer du sein se propage aux poumons. Ce gène pourrait également servir éventuellement comme cible thérapeutique.
 
Avec cette découverte, on espère que l’on pourra arrêter la prolifération des cellules cancéreuses.
 
Ces chercheurs ont également pu identifier six gènes, liés au cancer du sein, qui ont une forte tendance à développer des métastases aux poumons.
 
Au Canada, 23 400 femmes vont recevoir un diagnostic de cancer du sein cette année et 5 100 vont malheureusement en mourir.
 
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Soulager les petits poumons

Des chercheurs de la Georgia Health Sciences University s’emploient à abaisser la pression exercée sur les poumons des bébés qui naissent avec une malformation cardiaque.

C’est qu’en naissant avec ce problème de santé, un nouveau-né verra aussi ses poumons être en danger, car ledit problème cardiaque peut faire augmenter leur volume sanguin jusqu’à trois fois.

Ils mettent donc au point un système de recyclage naturel qui fait en sorte que les vaisseaux sanguins se trouvent libérés d’une telle surcharge. Cette situation peut alors être maintenue jusqu’à ce que le problème cardiaque soit résolu.

En fait, comme lu sur Medical News Today, un médicament, le PPAR, peut libérer les petits poumons fragilisés. Ce médicament est déjà employé chez les adultes lors de lésions pulmonaires ou pour abaisser les taux de lipides et de glycémie dans les cas de diabète.

Les bébés atteints d’une malformation cardiaque sont exposés à la fatalité d’une maladie pulmonaire, même si les soins médicaux ont énormément progressé au cours des dernières années. Le but des chercheurs est donc d’aider à protéger ces enfants.

À l’heure actuelle, environ 1 % des nouveau-nés sont atteints d’une malformation cardiaque. La moitié de ces derniers doivent subir une chirurgie.

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Une vie de famille plus polluante?

Il semble qu’un milieu familial stressant influencerait les effets néfastes de la pollution automobile sur la santé respiratoire des enfants. C’est ce que suggère une récente étude de l’Université de la Californie du Sud parue dans l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine.

Pour en arriver à cette corrélation, les parents de près de 1 400 enfants de 10 à 12 ans ont répondu à un questionnaire. Les enfants ont aussi été évalués quant à leur santé respiratoire ou des problèmes pulmonaires.

Les substances polluantes auxquelles ils auraient été exposés ont été reconnues comme étant l’oxyde nitrique, le dioxyde d’azote et les oxydes d’azote. Leur exposition totale comprenait celle à la maison et celle à l’école.

En comparant les résultats, on a donc remarqué que chez des enfants en santé, une vie familiale stressante était plus fortement associée à des problèmes pulmonaires dus à la pollution qu’un milieu familial calme.

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L’asthme infantile et ses conséquences futures

Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université d’Emory à Atlanta mettent en garde contre l’asthme infantile et suggèrent le traitement efficace de la maladie pour en diminuer les futures séquelles.

Selon les résultats de cette récente recherche, l’asthme sévère d’un enfant peut mener à une perte précoce des fonctions des poumons et à des maladies graves à l’âge adulte.

On considère le degré de sévérité de l’asthme en regard des complications respiratoires malgré de fortes doses de corticoïdes inhalés (médicaments anti-inflammatoires pour traiter la maladie).

Cette étude s’est étalée sur plusieurs années, ayant porté sur des enfants atteints d’un asthme modéré à sévère. Les participants ont été évalués entre l’âge de 8 à 11 ans, puis entre 11 et 14 ans.

Les changements dans la santé respiratoire des enfants ont ainsi été évalués en mesurant les doses de traitement, les symptômes et le fonctionnement des poumons, pour une moyenne sur trois ans.

Les détails de cette recherche sont parus dans l’édition de janvier du Journal of Allergy and Clinical Immunology.

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Des fruits pour protéger les poumons

Le site internet RealAge rapporte que des chercheurs de Singapour ont découvert que la consommation de fruits pouvait offrir une excellente protection aux poumons.
 
En fait, les amateurs de fruits seront heureux d’apprendre que ceux qui sont riches en bêta-cryptoxanthine, comme la papaye, l’orange, la mandarine et la mangue, protégeraient les poumons du cancer.
 
Pour ceux qui ne consomment pas beaucoup de fruits, on ne le dira jamais assez, il serait judicieux de leur faire une place dans votre alimentation.
 
Ces aliments freineraient en fait les radicaux libres qui détruisent les cellules et peut-être même ceux générés par la consommation de cigarettes.
 
De plus, consommer des fruits aide à la digestion, à la peau et aux articulations.
 
On rappelle également qu’il est fortement recommandé d’éviter le plus possible les graines raffinées, la viande rouge, les desserts trop riches et le gras si l’on veut conserver une bonne santé pulmonaire.