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Musique

Lil Wayne poursuivi pour violation de droits d’auteurs

Quand la destinée d’une personne célèbre semble être reliée avec la justice, elle n’y échappe pas.

C’est le cas de Lil Wayne, qui après un séjour de près de 8 mois en prison, en 2010, retournera devant la justice au mois d’octobre prochain. Cette fois-ci, il répondra à des accusations de violation de droits d’auteurs.

Young Money Entertainment, dont Wayne est le fondateur, est un label consacré à sa musique et celle des artistes qu’il découvre. Il se retrouve actuellement poursuivi pour un montant de 9,3 millions de livres anglaises. 

Le plaignant, Done Deal Enterprises, prétend être le détenteur des droits d’auteurs de la chanson Bedrock, que Young Money Entertainment aurait prétendument subtilisée.

La chanson lancée par Lil Wayne était une collaboration avec d’autres artistes de son étiquette de disques, soit Drake, Nicki Minaj et Lloyd, en 2010. Bedrock avait alors atteint la première position du Billboard Rap Charts et la 2e position du Hot 100.

C’est le 12 octobre prochain que le rappeur devra se présenter au tribunal pour se défendre contre cette accusation.

La chanson Bedrock a été publiée sur l’album We Are Young Money (2010), une compilation de chansons de la part des artistes du label, et les crédits d’auteurs de la pièce incluent Lil Wayne, Gudda Gudda, Nicki Minaj,Drake, Tyga et Jae Millz.

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Potins

Timbaland et Nelly Furtado, lavés de tout soupçon

Selon Female First, il s’agit de démarches judiciaires qui remontent à deux ans. Le verdict est néanmoins tombé : Nelly Furtado et Timbaland ont été libérés de tout acte répréhensible relativement aux droits d’auteur dont il était question.

À l’origine, les dirigeants de la maison de disques finlandaise Kernal Records avaient intenté une poursuite contre Timbaland et Nelly Furtado, alléguant le vol d’éléments compris dans une chanson de l’un de ses artistes.

Désormais, le succès Do It, dans lequel les deux artistes ont collaboré, est libéré de tout soupçon. Le juge responsable du dossier, en Floride, prive donc les demandeurs de la somme réclamée de 12,5 millions de dollars.

La représentante de Timbaland, Karen Stetson, a déclaré aux médias : « Nous sommes très heureux du verdict. Nous étions conscients de l’ampleur de cette poursuite et avons fait nos devoirs en apportant les preuves nécessaires et en étudiant la moindre parcelle du document fédéral sur les droits d’auteur ».

Du côté de Nelly Furtado, les fans sont toujours dans l’attente du lancement de son 5e opus, LifeStyle, qui avait été reporté en 2010. La nouvelle date prévue de la sortie était le 1er juin dernier, mais il semble que l’artiste se fasse discrète malgré l’impatience grandissante de ses adeptes.

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Potins

Poursuite pour utilisation illégale de l’image de Michael Jackson

Julian Rouas Paris est une compagnie avec laquelle Joe Jackson transige. L’entreprise fait la promotion des parfums baptisés Jackson Tribute et Legend and Legacy, en hommage à Michael Jackson. 

Néanmoins, Joe Jackson affirme que Rouas n’a pas obtenu les droits d’utilisation de l’image de son fils et profite de la notoriété de ce dernier pour faire du profit. Un représentant de Bravado International, responsable des ventes de produits dérivés de Michael Jackson, confiait la situation à TMZ.
 
« Le talent de Michael Jackson en fait l’un des noms les plus recherchés de l’histoire de l’industrie. Dans le cas présent, aucun individu lié à la succession de Michael n’a donné l’autorisation à Julian Rouas, que ce soit de façon orale ou écrite, d’exploiter l’image de l’artiste », affirme le représentant.

Bravado International a entrepris des démarches auprès de la cour fédérale de Los Angeles afin de retirer le nom et l’image de Michael Jackson associés aux parfums de Julian Rouas Paris. La requête comprend un montant de 750 $ pour chaque utilisation illégale, trois fois le montant du profit déjà généré ainsi que 150 000 $ en dommages et intérêts.

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Musique

Tim McGraw, en rupture de contrat selon Curb Records

Billboard rapporte que Curb Records a entamé une poursuite vendredi dernier (13 mai) contre Tim McGraw pour non-respect des clauses du contrat qui les lie. L’argument juridique concerne le lancement du dernier album de McGraw, Emotional Traffic, paru en octobre 2010.

En effet, il semblerait que les termes de l’entente entre la maison de disques et Tim McGraw stipulent que l’artiste doit respecter les délais de livraison d’un nouveau produit, soit au plus tôt 12 mois avant le précédent album et au plus tard 18 mois suivant le dernier lancement.

Ainsi, les allégations de Curb Records s’appuient sur le fait que McGraw a entamé l’enregistrement de l’album Emotional Traffic trop tôt.
 
Un représentant du chanteur a confié : « Il est malheureux de gâcher une relation d’affaires de 20 ans qui a été grandement profitable pour les deux parties. Corb a bêtement choisi de mettre un terme à l’entente en intentant une poursuite contre Tim McGraw ».
 
De son côté, McGraw a été questionné à propos du délai non respecté, ce à quoi l’artiste a répondu : « Vous êtes de Nashville, vous connaissez la réputation de Curb Records. Je croyais que mes albums allaient sortir plus rapidement, mais ils continuaient de faire paraître des Greatest Hits. Il me restait un disque à faire avec eux et je ne peux m’empêcher de penser que c’était une tactique pour ajouter une autre année à mon contrat ». 

Évidemment, la compagnie de disques passe sous silence les 6 compilations qu’elle a mises sur le marché entre les lancements d’albums, profitant ainsi largement de la popularité de McGraw.

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Musique

Guns N’ Roses entame les poursuites contre Guitar Hero

Les producteurs de la populaire série de jeux vidéo Guitar Hero regrettent sans doute aujourd’hui de ne pas avoir respecté les termes de l’entente avec Guns N’ Roses. Starpulse relate que Axl Rose, chanteur du groupe, avait entamé la poursuite l’an dernier.

Les dirigeant d’Activision Blizzard, responsables de la mise en marché de Guitar Hero III: Legends of Rock, nient le fondement des procédures juridiques. Néanmoins, Axl Rose est catégorique. Le contrat stipulait l’inclusion de la chanson Welcome To The Jungle, à condition de n’inclure aucune photo de Slash, ancien guitariste ayant quitté la formation en 1995.
 
Or, Activision Blizzard a contourné cette clause du contrat en développant une version de personnage animé représentant Slash. Ce dernier se retrouve même sur la couverture de la pochette du jeu.
 
Considérant ces allégations, Charles Palmer, juge de la Cour Supérieure de Los Angeles, a accordé au chanteur de Guns N’ Roses le droit de poursuivre les procédures. Le procès est fixé au 23 janvier 2012.

Guns N’ Roses, formé dans le milieu des années 1980, est rapidement devenu une icône du hard rock. Le premier album du groupe, Appetite for Destruction paru en 1987, fut certifié 18 fois platine aux États-Unis.

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50 Cent au centre d’une poursuite

Le rappeur 50 Cent est au centre d’une poursuite après avoir utilisé la rythmique instrumentale que possédait un aspirant artiste d’Atlanta, qui l’avait acheté auparavant de son créateur, le producteur William « Apex » Stanberry.

Tyrone Simmons, qui utilise le nom de rappeur Caliber, avait payé les droits auprès de Stanberry pour obtenir l’exclusivité de cette rythmique qu’il comptait utiliser pour se faire un nom. Quelle ne fut pas sa surprise de l’entendre dans la chanson I Get Money de 50 Cent en 2007!

Même si Tyrone Simmons n’a pas composé de chanson en utilisant la rythmique en question, il allègue dans sa poursuite que 50 Cent, William « Apex » Stanberry et plusieurs compagnies de musique ayant participé à la sortie d’I Get Money ont violé ses droits.

Aucun montant de dédommagement n’a encore été avancé.

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Une poursuite contre Tyra Banks

Une femme de la Géorgie vient de déposer une poursuite de 3 millions de dollars contre Tyra Banks, nous apprend Access Hollywood.

Sa fille, une adolescente de 15 ans, a participé en 2009 à l’enregistrement d’une émission de Banks qui avait pour thème la dépendance au sexe.

Beverly McClendon a indiqué, dans sa requête datant du 8 octobre, que sa fille avait participé à cet épisode sans son consentement.

Ladite poursuite fait état de violation de la vie privée et de négligence. Elle inclut les dommages cités et l’interdiction de rediffuser l’émission concernée.

Madame McClendon affirme que cette diffusion a grandement nui à sa fille, parce que ce passage a été regardé par des pervers et des pédophiles.

Les défendeurs dans cette cause sont Tyra Banks, les producteurs de l’émission ainsi que Warner Bros. Entertainment, qui a d’ailleurs précisé qu’elle n’avait aucun commentaire à émettre sur le sujet.

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John Travolta abandonne la poursuite pour extorsion

Après la mort de leur fils Jett, 16 ans, John Travolta et Kelly Preston poursuivaient Tarino Lightbourne et Pleasant Bridgewater pour extorsion. Bien que l’affaire avait été déclarée nulle en octobre 2009, le couple continuait d’accuser les deux personnes. Aujourd’hui, TMZ rapporte que l’acteur a demandé à un juge de classer l’affaire.
 
« Je suis reconnaissant et j’apprécie le dévouement, le travail acharné et le soutien fourni par le Bureau du directeur des poursuites pénales et la Police royale des Bahamas dans la tentative d’extorsion qui visait ma famille en janvier 2009. Malheureusement, au début d’octobre 2009, le premier procès a entraîné l’annulation de l’affaire. Presque un an plus tard, le statut de longue attente continue de causer une lourde charge émotionnelle sur ma famille, ce qui nous pousse à penser qu’il est temps de laisser l’affaire derrière nous », indique John Travolta dans un communiqué.
 
En ce moment, le couple souhaite se concentrer sur l’arrivée prochaine d’un nouveau petit garçon qui devrait naître en novembre prochain.
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Leonardo DiCaprio a gain de cause

En 2005, lors d’une soirée, le célèbre acteur avait été agressé par une femme, Aretha Wilson, qui l’avait coupé au visage avec un verre.

Cinq ans plus tard, cette affaire est enfin résolue. En effet, cette semaine à Los Angeles, un juge a affirmé qu’il existait suffisamment de preuves pour que cette plainte ait une suite, rapporte Access Hollywood.

Ainsi, lors d’une audience préliminaire, il a été confirmé que la femme de 40 ans devra faire face à des accusations d’assaut avec arme contondante.

Elle a plaidé non coupable et a choisi l’emprisonnement au lieu d’une libération sous caution d’un montant de 150 000 $. L’avocat de Wilson, Freddy Sayegh, n’a pas encore fait de commentaires.

Leonardo DiCaprio, 35 ans, n’était pas présent lors de cette audience.

En ce moment, l’acteur tient la vedette du film Inception de Christopher Nolan.

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Potins

Poursuite de 35 millions contre Paris Hilton

En 2007, Paris Hilton avait signé une entente de 3,5 millions avec la société Hairtech International, pour promouvoir leur gamme de rallonges capillaires Dream Catcher.

Les patrons de la compagnie ont constaté avec colère que la riche héritière était apparue dans des magazines et à la télévision avec des extensions d’une compagnie concurrente, rapporte FemaleFirst.

La poursuite déposée à la Cour supérieure de Los Angeles par Hairtech International réclame 35 millions à Hilton pour dommages et intérêts et violation de son contrat.

De plus, dans son contrat, il y avait une clause disant qu’elle devait respecter la loi. Or, elle a manqué une soirée de lancement, car elle était en prison. Rappelons qu’en 2007, Hilton a fait 23 jours de prison pour avoir conduit à deux reprises avec un permis suspendu durant sa probation pour conduite dangereuse.

Ce n’est pas la première fois que Paris Hilton est poursuivie dans une histoire de promotion. En 2008, les producteurs du film Pledge This! lui ont réclamé 8, 3 millions, car ils disaient que le film a été un flop en raison du fait que la principale intéressée a refusé d’en faire la promotion. Une décision doit être prise sous peu dans cette affaire, à savoir si Hilton devra payer ou non.