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5 façons de prévenir les crises d’asthme

Comme l’indique Parenting Squad, la crise d’asthme n’a rien d’une partie de plaisir. Les parents le savent. Les symptômes comprennent une respiration sifflante, de la toux, une respiration rapide et des douleurs thoraciques.

Attaquez-vous aux catalyseurs :

Éliminez la moisissure – Utilisez des produits pour la salle de bain qui éliminent la moisissure et assurez-vous, à priori, de toujours bien assécher la douche. Évitez aussi de mettre des plantes dans les chambres des enfants et utilisez un déshumidificateur dans la chambre.

Diminuez la poussière – Évitez, si possible, les tapis. Sinon, passez l’aspirateur régulièrement et utilisez des sacs hypoallergéniques.

Éloignez les animaux – Soit vous évitez d’avoir un animal de compagnie, soit vous recherchez un animal qui ne perd pas ses poils. Empêchez-le aussi d’aller dans les chambres et évitez la combinaison « animal et tapis ».

Évitez les irritants – En commençant par changer les filtres de ventilation régulièrement, en fermant les fenêtres pendant la période du rhume des foins et en évitant de faire sécher la lessive sur la corde à linge.

Ouste la fumée secondaire – Est-il vraiment nécessaire d’expliquer que la fumée de cigarette est le pire catalyseur pour l’asthme? Aucune fumée ne doit être tolérée à l’intérieur.

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Le niveau de pression artérielle des enfants fluctue avec le taux de poussière

Le journal Environmental Science & Technology publie les résultats d’une étude d’une durée de 9 ans, incluant plus de 367 000 enfants vivant dans la région de Detroit, aux États-Unis.

Les chercheurs ont constaté que la pression artérielle des enfants pouvait augmenter de plus de 10 % durant les mois de juillet, août et septembre.

L’explication? Les scientifiques lient cet effet physique à la présence dans l’air, de manière particulièrement accrue durant ces mois, de poussière contenant des résidus de plomb. Ceux-ci se retrouvent dans le sang, et causent des fluctuations saisonnières de la pression, auxquelles les enfants sont très vulnérables. Le niveau de pression artérielle redescend ensuite durant l’hiver et le printemps.

Les auteurs de l’étude ont noté que le niveau de plomb dans le sang de la population américaine, mais aussi mondiale, a diminué avec les années à la suite de l’abolition de ce contaminant dans certaines substances comme l’essence, la peinture, les tuyaux de plomberie et le matériel à souder.

Des particules de plomb sont toutefois toujours présentes dans l’air des grands centres urbains nord-américains, accumulées dans le sol depuis des décennies et libérées chaque année durant les mois d’été.

L’auteur, Shawn McElmurry, a réaffirmé l’importance pour le gouvernement de continuer et d’accroître ses efforts pour contrôler l’exposition au plomb chez les enfants, selon Medical News Today.

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Avoir un chien dans la maison serait bon contre l’asthme

Les chercheurs de l’Université de Californie à San Francisco croient que ces poussières protègent les voies respiratoires des enfants des agents infectieux comme le virus respiratoire synctical, ou VRS.

Le VRS est une infection commune chez les enfants qui est reliée à de sévères difficultés respiratoires. Il est associé à un plus haut risque de développer de l’asthme.

L’étude menée sur des souris a aussi permis de déterminer que celles ayant été exposées à ce type de poussières n’ont pas souffert des symptômes communs du VRS, comme l’infection des voies respiratoires, l’inflammation et la production de mucus. De plus, ces souris avaient une composition bactérienne gastro-intestinale distincte.

« Ça nous a menés à spéculer sur le fait que les microbes dans la poussière des maisons où vit un chien pouvaient coloniser le tube digestif, moduler des réponses immunitaires et protéger leur hôte contre les asthmogènes pathogènes du VRS », explique un des chercheurs ayant pris part à l’étude, Kei Fujimura.

Rappelons que vivre avec des chiens ou des chats pendant la grossesse pourrait être efficace pour prévenir les allergies chez bébé, selon une récente étude américaine. Une bonne nouvelle pour nos amis à quatre pattes.

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La poussière et l’asthme

Selon une étude de l’Université de Melbourne, les jeunes enfants qui souffrent déjà d’un râle et qui présentent une sensibilité à la poussière volatile sont plus à risque de souffrir d’asthme quelques années plus tard, soit à 12 ans.

Précisément, les enfants qui avaient eu un résultat positif à un test cutané portant sur la poussière volatile que l’on retrouve dans nos maisons étaient atteints de l’asthme dans 75 % des cas à l’âge cité.

En comparaison, seulement 36 % de ceux qui étaient arrivés à un résultat négatif pour le même test avaient développé l’asthme, toujours au même âge.

Il semble donc que la poussière volatile peut constituer un facteur prédictif de l’asthme chez les enfants plus à risque. Mentionnons que les 620 enfants de cette recherche longitudinale avaient tous un historique familial d’allergies.

Tous les sujets ont été suivis à partir de leur naissance. À l’âge d’un an, puis de deux ans, ils ont passé des tests d’allergies divers – aux noix, au lait, aux chats et à la poussière volatile, notamment.

Une fois l’âge de 12 ans atteint, les enfants de cette étude parue dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology ont alors été évalués quant à l’asthme.

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Se laver les mains réduit les polluants dans le sang

Une étude américaine révèle que non seulement se laver les mains réduit la propagation de maladies comme le rhume, mais cela permet de réduire les polluants dans notre sang.
 
Selon l’Environmental Health Perspectives, ces polluants sont les PBDE (polybromodiphényléther), des composants qui aident à prévenir les incendies. Ils ont longtemps été utilisés dans les textiles et les plastiques, mais on a réduit leur utilisation depuis.
 
Des études effectuées sur des animaux avaient démontré qu’une exposition aux PBDE affectait le système de reproduction et le cerveau. Ces polluants volatiles sont présents dans l’environnement et se retrouvent notamment dans la poussière.
 
Pour cette nouvelle recherche, on a examiné les bureaux afin de noter les PBDE qu’on y retrouve. Tous les bureaux en avaient, de même que les mains et le sang de tous les employés.
 
Par contre, ceux qui se lavaient les mains au moins quatre fois par jour avaient un niveau de PBDE dans le sang trois fois moins élevé que les autres.

Voilà donc une autre bonne raison de se laver les mains régulièrement.

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La poussière n’est pas nocive pour la santé

Habituellement, nous avons tendance à vouloir éliminer la poussière, mais une nouvelle étude démontre qu’elle ne serait pas aussi nocive qu’on le pense, au contraire.
 
La poussière purifierait l’air de l’ozone qui est nocif pour les voies respiratoires et les poumons.
 
Haut dans l’atmosphère, l’ozone nous protège des rayons ultraviolets, mais sur terre et dans l’air que nous respirons, il est un polluant qui peut nuire à une bonne respiration.
 
La poussière est composée surtout de peau humaine qui contient un hydrocarbure éliminant l’ozone. Ce dernier peut être réduit jusqu’à 15 %, selon la concentration d’hydrocarbure dans la poussière.
 
Attention toutefois, on ne recommande pas de ranger votre plumeau, surtout si vous êtes allergique à la poussière. Cette allergie ne va que s’amplifier en accumulant la poussière en trop grande quantité.
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La poussière du désert nocive pour les enfants à travers la planète

Nous le savons, lorsque la qualité de l’air est médiocre, cela affecte les symptômes de l’asthme et des maladies respiratoires, surtout chez les enfants, pour qui les voies respiratoires sont plus petites et le système immunitaire pas encore entièrement développé.

Une étude faite à Atlanta démontre que lors des journées où le niveau d’ozone et des polluants sont plus élevés, les hospitalisations d’urgences chez les enfants asthmatiques augmentent.

Selon l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, des chercheurs ont découvert que la poussière du désert est transportée à travers le monde, à partir du Sahara en Afrique, par exemple. Or, cette poussière aggrave le niveau de polluants dans l’air, donc les symptômes d’asthme, surtout chez les jeunes enfants.

Bien qu’il n’y ait pas encore de preuve comme quoi la poussière du désert est directement liée aux problèmes respiratoires, il est clair qu’elle n’aide pas en alourdissant les polluants, car elle contient des composants inflammatoires pour les voies respiratoires.

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Du bisphénol A, ailleurs que dans les plastiques

Selon le Dr Richard Stahlhut et ses collègues du centre médical de l’Université Rochester de New York, le bisphénol A (BPA), un produit chimique jugé dangereux, pourrait s’infiltrer dans le corps humain par la poussière ou par l’eau du robinet.

Le chercheur a analysé les dossiers médicaux de 1 469 adultes et a évalué l’hypothèse d’un lien entre la concentration de BPA dans l’urine des candidats et la durée durant laquelle une personne était restée sans consommer de nourriture.

Or, compte tenu de la métabolisation très lente du bisphénol A dans l’organisme, le temps de jeûne ne semble pas avoir diminué le taux de BPA dans le corps pour autant. « À titre d’exemple, les sujets qui avaient jeûné le plus longtemps, entre 15 et 24 heures, auraient dû avoir de nettement plus faibles concentrations de BPA dans leur urine que ceux venant de manger.  Or, leurs teneurs en BPA n’étaient que modérément plus faibles que celles des sujets qui venaient de consommer des aliments », a conclu M. Stahlhut.