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Le sport d’équipe supervisé : meilleur remède contre la cigarette pour les jeunes

« La façon dont les jeunes occupent leur temps libre est importante », rapporte l’auteure principale de la recherche effectuée à Dartmouth, Anna M. Adachi-Mejia.

Les résultats de l’étude, publiés dans la revue spécialisée Academic Pediactrics, démontrent que la discipline des entraîneurs de sports d’équipe évite justement que les jeunes soient laissés à eux-mêmes. En poursuivant un encadrement d’autorité, ces jeunes sont moins portés sur les distractions telles que l’alcool et la cigarette.

Medical News Today rapporte que les données ont été obtenues par l’entremise d’un sondage téléphonique mené auprès de 6522 étudiants américains âgés de 10 à 14 ans.

Ce ne sont pas tous les sports qui ont cette emprise positive, cependant. Seuls ceux pratiqués en présence d’un entraîneur jouent un rôle prédominant, et le sport en question doit être pratiqué plus d’une fois par semaine.

Comme le rapporte Adachi-Mejia, cette étude est la première à apporter l’encadrement de l’entraîneur comme un facteur important de la pratique d’un sport et de ses effets bénéfiques sur les jeunes.

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Plus de 30 % des préadolescents font du cholestérol

La recherche sera présentée ce weekend à la conférence de l’American College of Cardiology à Washington. Elle a été menée par Dr Thomas Seery et son équipe à l’Hôpital pour enfants du Texas et au Collège de médecine Baylor.

Un test de routine a été réalisé auprès de plus de 13 000 enfants âgés de 9 à 11 ans. Il s’est avéré que 34 % d’entre eux avaient un taux de cholestérol inapproprié, que ce soit un faible taux de bon cholestérol ou un taux trop élevé de mauvais cholestérol.

L’échantillon était composé d’un tiers d’enfants hispaniques, un tiers caucasien, et 18 % noirs. Les garçons étaient plus sujets que les filles à souffrir d’un taux élevé de mauvais cholestérol, tout comme les jeunes hispaniques.

Au terme de ces résultats, rapporte le Dr Seery, il est impératif désormais de faire passer un test de cholestérol aux enfants. Il prédit que d’ici peu, ce seront de 10 à 13 % des enfants qui souffriront du cholestérol dès leur 4e année scolaire, des résultats qui inquiètent grandement les spécialistes.

Vous pouvez consulter les détails de la recherche sur le Washington Post.

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Les émissions pour les 8 à 12 ans influencent fortement le développement de l’identité

« Les filles peuvent faire tout ce qu’un garçon peut faire, mais elles doivent demeurer séduisantes en pratiquant ces activités. » Ce stéréotype est l’un de ceux qui sont les plus véhiculés par les émissions diffusées pour les préadolescents, selon les chercheurs Ashton Lee Gerding de l’Université du Missouri et Nancy Signorielli de l’Univesité du Delaware.

Le résultat de leur étude portant sur l’influence télévisuelle et le rôle des stéréotypes masculins et féminins a été basé sur 49 épisodes de 40 différentes séries. Les émissions étaient diffusées sur les chaînes Disney Channel, Disney XD, Nickelodeon et Turner Cartoon Network.

Les facteurs évalués comprenaient l’intérêt, le comportement relié au sexe et les caractéristiques des personnages, comme la bravoure et la maniabilité de la technologie.

En résumé, encore de nos jours, les messages que l’on envoie aux jeunes sont encore très stéréotypés, notamment vis-à-vis l’apparence des filles et les notions de bravoure chez les garçons.

Selon ce que rapporte Medical News Today, « les émissions, qui sont visionnées à travers le monde, exposent les jeunes une influence encore trop stéréotypée qui limite leur exploration pour trouver une identité », explique Signorielli.