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On comprendrait mal l’obésité infantile

Selon une équipe de chercheurs de l’Université de l’Illinois, l’obésité infantile dépend de multiples facteurs, lesquels sont variés et parfois difficiles à cibler. La nouvelle approche qu’ils proposent pour ce problème a été publiée dans Child Development Perspectives.

En général, lorsqu’un enfant souffre d’obésité, on suggère plus d’exercices physiques et on leur demande de manger moins. Pourtant, quand on regarde plutôt pourquoi ces enfants mangent trop et ne bougent pas suffisamment, on réalise que les raisons sont nombreuses.
 
Les chercheurs ont relevé entre autres le temps d’écoute de la télévision, les effets de l’allaitement et même le quartier dans lequel vit l’enfant. Bien sûr, on a aussi pris en considération les prédispositions génétiques.
 
Ce dernier facteur, qui semblait pourtant être devenu un mythe au cours des dernières années, a encore toute son importance. On estime que 30 à 40 % de la population ont des marqueurs génétiques les prédisposant à de plus grands risques d’obésité.

On espère donc mieux comprendre ce problème de santé en l’abordant selon les aspects « cellule, enfant, clan (ou famille), communauté, pays et culture ».