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Une carence en vitamine D reliée au risque de prééclampsie sévère

Ce sont les chercheurs de l’Université Pittsburgh Graduate School of Public Health qui font état de cette découverte.

La prééclampsie, rappelle Medical News Today, peut apparaître après la 20e semaine de grossesse ou peu de temps après la naissance. Selon la Preeclampsia Foundation, 5 à 8 % des grossesses sont marquées par cette complication, qui peut mener à la mort dans les cas les plus graves.

Il a déjà été déterminé dans de précédentes recherches qu’une carence en vitamine D pendant la grossesse était souvent garante du diabète de grossesse, de diverses infections, d’accouchement par césarienne et d’un poids sous la moyenne des nouveau-nés.

Lors de cette recherche, les scientifiques ont analysé des échantillons de sang de 700 femmes qui avaient développé ce problème, puis 3000 autres échantillons de femmes qui n’avaient pas subi cette complication.

L’analyse a révélé d’une part que la carence en vitamine D dans les 26 premières semaines de grossesse augmentait de 40 % les risques de prééclampsie. D’autre part, ils ont conclu, comme tous les cas étaient sévères, que la vitamine D n’aurait aucun lien avec la prééclampsie légère.

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Nouveauté dans la prédiction de prééclampsie maternelle

Lue sur le site medicalxpress.com, la nouvelle nous arrive de Londres, là où s’est tenue la recherche sur le sujet.

La Dre Lucy Chappell, du département d’obstétrique au King’s College explique : « Les tests actuels permettent de détecter le problème plutôt que de le prédire. Ce qui veut dire qu’au moment de le voir, les dommages aux organes sont généralement déjà faits. »

La prééclampsie est une sorte de haute pression qui peut mener à de très graves problèmes en endommageant les reins, le foie et le cerveau. Conséquemment, elle peut entraîner des complications pour la grossesse.On note des naissances prématurées, poids inférieur du bébé ou encore des bébés mort-nés.

L’étude a été menée auprès de 625 patientes situées dans diverses régions du Royaume-Uni. C’est 61 % d’entre elles qui ont développé de la prééclampsie et ce sont celles démontrant un taux peu élevé de protéine du facteur de croissance placentaire qui souffraient de cette affection.

Ainsi, le nouveau test de vérification de la protéine du facteur de croissance placentaire aiderait les médecins à identifier quelles futures mères sont à risque et ainsi mieux surveiller leur état de santé.

De plus, il serait possible d’éviter une hospitalisation inutile pour les femmes qui n’en souffrent pas.

Crédit Photo : Freedigitalphotos.net

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Prééclampsie – cause de maladies cardiaques chez les femmes

Selon medpagetoday, il s’agit d’une étude qui a été réalisée en Norvège par le physicien Roly Skjaerven et ses collègues de l’Université de Bergen.

Les résultats démontrent clairement que les femmes ayant été aux prises avec la prééclampsie prénatale (et non postnatale) et n’ayant eu aucun autre enfant sont des sujets fréquents d’AVC. Elles sont également plus à risque de décès.

La recherche a été menée de longue haleine, soumettant les registres de naissance de 836 147 femmes de la Norvège ayant donné naissance à leur premier enfant entre 1967 et 2002. Lors du dernier suivi, en 2009, il s’est avéré que 4,2 % de ces femmes avaient souffert de prééclampsie prénatale.

En plus, parmi ces femmes, 3891 sont décédées de troubles cardiaques, incluant une défaillance du système circulatoire, une crise ischémique ou une maladie cardiovasculaire. Évidemment, il s’agissait principalement de femmes n’ayant eu qu’un seul enfant et ayant eu des troubles prénataux de prééclampsie.

Les mères ayant eu d’autres grossesses par la suite, bizarrement, avaient un taux pratiquement nul de développer des maladies cardiaques plus tard dans leur vie.

Le Dr Skjaerven, à la suite des résultats, affirme que cela aidera grandement à axer les suivis médicaux. « Plutôt que de revoir systématiquement toutes les femmes ayant souffert de prééclampsie et d’effectuer des suivis réguliers, nous devrions considérer celles n’ayant eu qu’une seule grossesse, surtout celles avec prééclampsie prénatale. »

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Ronfler durant la grossesse mènerait à la prééclampsie

Les chercheurs de l’Université du Michigan ont découvert que plus du quart de 1700 femmes se mettait à ronfler durant leur grossesse.

Elles doublaient ainsi leur risque d’avoir une pression sanguine élevée par rapport aux femmes qui ne ronflaient pas.

Si la haute pression sanguine n’est pas traitée, les femmes peuvent développer de l’éclampsie qui peut menacer leur vie et celle de leur enfant.

« Nous savons déjà que la haute pression sanguine, particulièrement la prééclampsie, est associée à de plus petits bébés, à des risques plus élevés de naissances avant terme ou de bébés qui se retrouvent à l’unité de soins intensifs », explique l’auteure principale de la recherche, Louise O’Brien.

Rappelons qu’il serait également possible de détecter la prééclampsie chez la mère et de prendre des précautions plus tôt durant la grossesse, en observant la grosseur du thymus du fœtus.

Le thymus du fœtus chez les femmes atteintes de prééclampsie serait significativement plus petit que chez les bébés des femmes en bonne santé, selon une étude menée par des chercheurs australiens de la Sydney Medical School Nepean.

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La grosseur du thymus du foetus : un indice de prééclampsie?

Le thymus du fœtus chez les femmes atteintes de prééclampsie serait significativement plus petit que chez les bébés des femmes en bonne santé, révèle une étude menée par des chercheurs australiens de la Sydney Medical School Nepean.
 
Alors que la prééclampsie apparaît habituellement lors des trois derniers mois de la grossesse, il serait dorénavant possible, par un test qui analyse le thymus du fœtus, de prévoir quelles femmes pourraient en souffrir bien avant les premiers symptômes, soit environ à la 20e semaine de grossesse.
 
Mentionnons que ce dépistage permettrait à plus de femmes de poursuivre leur grossesse à terme, car le seul moyen connu de libérer la femme de cette maladie est de déclencher un accouchement prématurément.
 
Le professeur Ralph Nanan, auteur de l’étude, explique dans le Journal of Reproductive Immunology que « le thymus du fœtus est une structure qui se trouve derrière le sternum du bébé et qui est connue comme étant le “berceau” d’un important ensemble de globules blancs ».
 
En plus, du fait qu’il pourrait avoir un impact sur la santé de la mère, « le thymus joue un rôle central dans l’élaboration du système immunitaire de l’enfant et le protège contre le développement des allergies, des maladies auto-immunes et des cancers pour sa vie future », indique le professeur.
 
Dans le but de confirmer ces résultats, l’étude sur 1200 femmes enceintes se poursuit.
 
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La vie foetale et la dépression

La prééclampsie et le retard de la croissance fœtale ont été associés à de plus forts risques de dépression et de maladie cardiovasculaire. Cette corrélation s’est même avérée plus importante chez les femmes que les hommes, dans le cadre d’une étude présentée par le Brigham and Women’s Hospital et la Harvard Medical School.

Une exposition à ces problèmes de la vie fœtale pourrait même représenter un indice pour reconnaître les personnes plus à risque de dépression ou de maladie du cœur, lit-on sur Medical News Today.

Pour en venir à ces conclusions, on a suivi 295 personnes, qui ont subi des tests sanguins, cardiaques et psychiatriques. Des échantillons recueillis lorsque les mères des sujets étaient enceintes ont aussi fait partie de l’analyse.

Ainsi, certains indicateurs touchant le système immunitaire, endocrinien ou hormonal de la femme enceinte peuvent déterminer des facteurs indiquant la prévalence d’une future dépression ou maladie cardiovasculaire de l’enfant à naître.

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Une fausse couche influence les autres grossesses

Une récente étude parue dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology va à contre-courant de ce que l’on avait annoncé sur les fausses couches depuis quelques mois.

Si l’on considérait encore qu’une femme ayant vécu un avortement spontané n’était pas plus à risque que les autres quant à une nouvelle grossesse, cette nouvelle recherche donne une toute nouvelle perspective sur le sujet.

Ainsi, en regard des nouveaux résultats, une femme ayant fait une fausse couche courrait plus de risques, durant sa grossesse suivante, de souffrir de prééclampsie, de diabète ou d’hypertension.

De plus, pour tomber enceinte à nouveau, elle aurait plus souvent recours à un traitement de fertilité que les autres. Par la suite, son accouchement serait plus fréquemment prématuré, et la mortalité prénatale serait une plus grande réalité chez les femmes ayant vécu une fausse couche.

On soutient donc que les femmes qui subissent un avortement spontané devraient par la suite être suivies de près, afin que leur nouvelle grossesse se déroule bien.

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La médication pour les problèmes cardiaques, un traitement pour la prééclampsie chez la femme enceinte

La prééclampsie consiste en une hypertension et un taux élevé de protéines dans les urines. Ses conséquences, tant sur la femme enceinte que sur le bébé à naître, engendrent des problèmes de reins et de foie, ce qui peut mener au décès. 

Une étude récente affirme que le traitement par médication pour les problèmes cardiaques pourrait s’avérer efficace pour réduire la sévérité des symptômes chez la femme enceinte.

Le professeur Asif Ahmed, de l’Université d’Édimbourg, dirige les recherches. « Si nous obtenons le succès escompté, et je suis très optimiste, le traitement transformera complètement la prise en charge des femmes atteintes de prééclampsie ».

Il s’agira du premier test clinique du genre à être déployé mondialement. Dans l’éventualité d’une réussite, c’est 70 000 femmes enceintes affectées annuellement en Angleterre qui profiteraient de ce traitement préventif. Chaque année, 10 femmes et plus de 1000 fœtus meurent des causes de prééclampsie dans ce pays.

Selon les prévisions des scientifiques, ce type de médication pourrait être prescrit d’ici 5 à 7 ans. Une percée dans le giron médical qui sauverait de nombreuses femmes enceintes ainsi qu’un nombre incalculable de bébés à naître, et ce, mondialement.

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La prééclampsie serait génétique

Des chercheurs américains auraient établi un lien entre les gènes et la prééclampsie.

Mentionnons que ce type d’hypertension artérielle apparaît durant la grossesse et que cela peut entraîner une fausse couche, voire la mort de la femme.
 
On ne connaît que très peu ce problème de santé. Or, selon les résultats de l’étude en question parue dans PLoS One, un gène en serait la cause.
 
Pour arriver à ce constat, les chercheurs ont analysé l’ADN de 60 femmes enceintes qui avaient été hospitalisées en raison d’une prééclampsie sévère. Chez 40 d’entre elles, les mêmes erreurs génétiques ont été remarquées.

Bien que des recherches subséquentes soient nécessaires, on peut déjà prévoir une nouvelle façon de prédire la prééclampsie, pour ainsi mieux suivre les femmes qui seraient fortement exposées à ce risque.

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Prééclampsie : un gène serait en cause

Une nouvelle voie de recherche s’offre aux femmes qui souffrent de la prééclampsie durant la grossesse.

Des chercheurs de l’Université de l’État de la Caroline du Nord ont remarqué une surabondance d’un gène dans le placenta de femmes ayant souffert de ce type d’hypertension lorsqu’elles étaient enceintes. Les résultats complets sont parus dans Placenta.

En collaboration avec des collègues de l’Université Duke dans l’État de New York, les chercheurs ont étudié la structure génétique de placentas provenant de femmes ayant été atteintes de prééclampsie, puis les ont comparés avec d’autres provenant de grossesses normales.

L’association avec le gène cité était bien réelle, car on a prouvé l’irrégularité de l’enzyme SIAE, laquelle participe à la modification de l’acide sialique. Entre d’autres mots, c’est comme si le corps s’attaquait lui-même.

L’enzyme SIAE a aussi été reliée à des maladies auto-immunes comme l’arthrite rhumatoïde et le diabète de type 1.

Rappelons finalement que plus de 10 % des femmes enceintes souffrent de prééclampsie. Parmi elles, 15 % accoucheront prématurément. Cette nouvelle découverte offre donc de l’espoir à beaucoup de femmes et à leur futur enfant.