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Les futures mères qui dorment peu ont un accouchement plus difficile?

Selon une étude publiée dans le journal Sleep, les futures mamans dormant moins de cinq heures par nuit ont plus de chances d’avoir un accouchement difficile.

Elles sont 10 fois plus à risque d’être aux prises avec la prééclampsie, une maladie qui cause la haute pression sanguine, ce qui peut mener à un endommagement des organes et même à la mort du bébé qui n’est pas encore né. Cela peut aussi être fatal pour la mère qui, une fois diagnostiquée, a une césarienne ou se fait donner des médicaments afin de provoquer l’accouchement.

Les femmes enceintes dormant cinq heures par nuit ou moins lors des 14 premières semaines de leur grossesse sont ainsi 14 fois plus à risque, car la pression sanguine chute de 10 à 20 % lors du sommeil.

Les scientifiques de l’Université de Washington croient que le manque de sommeil fait augmenter la pression sanguine, mais qu’il affecte de surcroît les fonctions du cœur durant la grossesse.

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Un test sanguin pour dépister les risques de prééclampsie

Des chercheurs de l’Université de l’Alberta font des progrès pour sauver la vie des femmes enceintes et de leur nouveau-né. Ils sont sur le point de créer un test sanguin qui permettra de savoir quelles femmes sont à risque de développer une prééclampsie.
 
De 5 à 8 % des femmes enceintes reçoivent ce diagnostic qui met en danger leur vie et qui cause bien souvent la mort de leur bébé, selon le site ParentCentral.
 
Cheryl Walker, de la Preeclampsia Foundation, a vécu cette terrible situation qui a causé la mort de son petit Gabriel, trente minutes seulement après l’accouchement.
 
« Lorsque vous pouvez identifier les femmes qui courent le plus de risques, vous pouvez les suivre de près. Même si elles peuvent développer une prééclampsie, vous savez ce que vous devez surveiller et moins de femmes en meurent », dit-elle.
 
Walker rappelle que toutes les cinq minutes, quelque part dans le monde, une femme meurt en raison d’une prééclampsie.
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L’Aspirine durant une grossesse peut prévenir une prééclampsie

Une prééclampsie durant une grossesse augmente la pression artérielle de la future maman, mettant ainsi en danger la vie de la mère et celle de son enfant. Elle peut aussi causer des naissances prématurées, un bébé mort-né ou un bébé plus petit que la moyenne.
 
Le Daily Mail rapporte toutefois qu’il existerait un moyen simple de diminuer les risques de prééclampsie. Il suffirait de prendre une faible dose quotidienne (75 mg) d’Aspirine, et ce, dès la douzième semaine de grossesse.
 
Par contre, les femmes enceintes devraient toujours consulter leur médecin au préalable et ne pas opter pour l’automédication, car elles s’exposeraient à des risques importants.
 
Une femme sur vingt en moyenne développe une prééclampsie, surtout lors d’une première grossesse. On estime que cela cause 20 décès de mères par année et 600 mortalités de bébés également.
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Les conséquences permanentes de la prééclampsie

Diabète, hypertension artérielle et caillots sanguins, tels sont les problèmes de santé dont risquent de souffrir les femmes enceintes qui ont fait de la prééclampsie lors de leur grossesse.

Pour en arriver à ces conclusions, des chercheurs de l’Université Yale ont analysé les dossiers médicaux de plus de 11 000 Danoises ayant accouché entre 1978 et 2007.

« Le seul traitement pour venir à bout de la prééclampsie est d’accoucher. Mais nous avons observé que les femmes sont alors plus à risque de souffrir d’hypertension artérielle, de diabète de type 2 et de caillots sanguins pour le reste de leur vie », a affirmé l’auteur principal, le Dr Michael J. Paidas.

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La détection de la prééclampsie plus facile

Des chercheurs de l’Université Harvard ont trouvé une protéine dans le sang de la future mère, le methoxyoestradiol, qui pourrait faciliter la détection de la prééclampsie.

Lorsque le methoxyoestradiol est associé à de faibles taux d’oxygène dans le sang, l’indice de prééclampsie est élevé.

Ce trouble, qui se caractérise par de l’hypertension artérielle, de l’oedème et de l’albuminurie, est la deuxième cause de décès des femmes enceintes en Amérique du Nord. Pour le moment, la prééclampsie est difficile à détecter, car l’hypertension artérielle n’est pas un signe automatique de ce trouble.

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La protéine C réactive augmente le risque de prééclampsie

Selon le Dr Michael S. Ruma, de l’Université de la Caroline du Nord, aux États-Unis, la parodontopathie, une maladie qui s’attaque aux gencives, et un haut taux de protéine C réactive dans le corps de la femme enceinte la rendent plus vulnérable à la prééclampsie.

« La parodontopathie augmente significativement le risque de souffrir de prééclampsie chez la femme enceinte, particulièrement lorsqu’il y a beaucoup d’inflammation dans les gencives », a observé le Dr Ruma.

775 futures mères ont participé à cette étude. 31 d’entre elles, soit 4 %, ont été touchées par la prééclampsie, une condition qui se caractérise par de l’oedème, la présence de protéines dans l’urine, l’hypertension artérielle et une circulation sanguine irrégulière.

Selon le chercheur, d’autres recherches devront être menées afin de vérifier si le simple traitement de la parodontopathie peut réduire le risque de prééclampsie.

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Les femmes enceintes peuvent craquer pour le chocolat

Une recherche américaine, qui va paraître dans la revue médicale Epidemiology, dévoile que le chocolat noir protège les femmes enceintes de la prééclampsie, un syndrome associé à l’hypertension artérielle qui provoque des convulsions et de l’oedème chez la femme enceinte.

Selon la Dre Elizabeth Triche de l’université Yale, le risque de prééclampsie chute de 69 % grâce à cet aliment.

Entre 1996 et 2000, 2 291 futures mamans ont participé à une étude où l’on évaluait la consommation de chocolat pour ensuite mesurer la densité de théobromine à l’intérieur du cordon ombilical.

La théobromine, une composante du chocolat, a des propriétés diurétiques, stimulantes pour le coeur et vasodilatatrices.

« Nous avons observé que la consommation de chocolat, mesurée par le niveau du biomarqueur théobromine dans le cordon, était associée à des risques moindres de préeclampsie », a noté la Dre Triche.

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Le mystère entoure la prééclampsie

Une nouvelle recherche démontre que les femmes qui risquent de développer une prééclampsie ne seront pas nécessairement protégées si elles ont consommé beaucoup de vitamines E et C pendant leur grossesse.

707 femmes enceintes, chez qui des cas de prééclampsie ont été signalés dans leur famille, ont été observées. Parmi celles-ci, la moitié a consommé quotidiennement 1 000 mg de vitamine C et de la vitamine E. Le taux de prééclampsie est sensiblement demeuré le même, ce qui prouve que la consommation des deux vitamines ne prévient en rien cette complication.

Selon le docteur Joseph A. Spinnato II, professeur en gynécologie à l’Université de Cincinnati, l’efficacité de ce régime chez les femmes enceintes est loin d’être prouvée.

L’an dernier, une étude australienne avait également prouvé l’inefficacité des vitamines C et E chez les femmes susceptibles de développer la prééclampsie.

Celle-ci, qui survient dans 5 % des cas chez les Américaines, se caractérise par de l’oedème, la présence de protéines dans l’urine, l’hypertension artérielle et une circulation sanguine irrégulière.

Si les chercheurs sont en mesure de définir les facteurs prédisposant comme l’historique familial, le surplus de poids ou encore une maladie aux reins, ils ne peuvent toutefois pas prévenir cette complication hypertensive.