Catégories
Musique

Safia Nolin à la conquête de l’Europe

En cette fin d’été, la jeune chanteuse québécoise Safia Nolin a pris le large vers le continent Européen.

Loin des controverses qu’elle a pu connaître au Québec ces derniers mois, Safia Nolin a trouvé un nouveau berceau d’inspiration auprès de sa petite amie, la chanteuse française Claire Pommet alias Pomme.

Alors que son album Limoilou vient de ressortir en France, Safia Nolin prépare une série de concert dans l’hexagone.

Pour couronner le tout, elle a offert aujourd’hui-même (21 septembre) sa propre version d’une chanson mythique de Julien Clerc, Ma préférence.

Seule face à sa guitare et son micro, Safia Nolin offre une jolie reprise de sa vox brisée dont elle seule a le secret.

D’ailleurs, la chanteuse québécoise devrait sortir un album de reprises d’ici à la fin de l’année.

Pour l’heure, c’est à Lyon, le 12 octobre et à Paris, 13 octobre prochain, que Safia Nolin offrira sur scène un peu de son talent québécois.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

Catégories
Uncategorized

Les enfants préfèrent-ils les animaux ou les jouets?

Les animaux piqueraient davantage la curiosité des petits, et c’est ce qui ferait en sorte que les jeunes les préfèrent aux jouets, a démontré une étude qui a réalisé trois expériences différentes auprès de jeunes enfants.

Les chercheurs de cette étude des universités de Virginie et de Rutgers, parue dans le British Journal of Developmental Psychology, concluent même que les animaux aident les enfants à apprendre, car ces derniers sont portés à poser plus de questions, s’informer et bouger davantage en leur compagnie.

Selon les chercheurs, un animal à la maison peut donc être très bénéfique pour la vie d’un enfant.

« L’utilisation généralisée de personnages animaliers dans les livres pour enfants et les émissions de télévision démontrent également la fascination que les petits peuvent avoir pour les animaux et à quel point cela peut être un outil d’apprentissage important », disent-ils.

Il semblerait que dès l’âge de 11 mois, les petits sont naturellement plus attirés vers les animaux, y compris ceux qui peuvent effrayer plusieurs adultes, comme les araignées et les serpents.

Catégories
Uncategorized

Obésité infantile : certains régimes fonctionnent mieux que d’autres

C’est en proposant trois sortes de régimes distincts à 85 enfants obèses âgés de 7 à 12 ans que des chercheurs de l’Université de Cincinnati se sont aperçus que les enfants préféraient le régime qui ne cause pas de déséquilibre de sucre dans le sang et qui est basé sur des aliments tels que les fruits, les légumes, les grains entiers, la volaille et le poisson.

Les deux autres régimes suggérés étaient un programme faible en glucides axé sur les protéines et un autre contrôlant les portions d’aliments et les calories, soit 55 à 60 % de glucides, 10 à 15 % de protéines et 30 % de gras. En plus d’être moins apprécié par les jeunes, ce dernier régime a été qualifié de compliqué pour les parents qui cuisinent.

L’étude parue dans la revue Pediatrics a indiqué qu’en montrant aux enfants à faire de l’exercice et en leur donnant des conseils d’une diététicienne durant trois mois, les enfants avaient, en moyenne, tous réussi à réduire leur indice de masse corporelle.

Ils avaient réussi à perdre du poids, même si leur tour de taille n’avait pas changé. Ceci pourrait aussi s’expliquer par une poussée de croissance, pensent les chercheurs.

Aux États-Unis, environ 20 % des enfants âgés de 6 à 11 ans sont obèses. Les spécialistes conseillent aux parents de ne pas pousser leur enfant vers n’importe quel régime, mais plutôt de faire appel à des programmes locaux pour trouver une diététiste professionnelle qui guidera la famille vers un mode de vie sain.

Catégories
Uncategorized

Plusieurs facteurs influencent notre préférence envers les aliments sucrés et gras

Plusieurs facteurs influenceraient notre préférence pour les aliments sucrés et gras, et ce, depuis la préhistoire.
 
Selon une étude parue dans le Daily Mail, il s’agissait à cette époque d’un mécanisme de survie. Le corps avait besoin de beaucoup de calories. Bien que les besoins aient changé depuis, le cerveau a encore ce même mécanisme, soit de rechercher le sucre et le gras.
 
Le niveau de stress peut faire en sorte que nous recherchons davantage le sucre et le gras également. Le stress hausse la production de cortisol, l’hormone qui augmente la glycémie utilisée comme source d’énergie. De plus, cela inhibe le système immunitaire et réprime le métabolisme des acides dans les graisses, protéines et glucides.
 
Finalement, notre humeur joue aussi un rôle. Rappelez-vous votre enfance, lorsqu’on vous donnait des friandises comme récompense ou comme subterfuge pour soulager la douleur. Ces aliments provoquent un sentiment d’euphorie dans le cerveau, ce qui explique pourquoi plusieurs personnes préfèrent cette nourriture sucrée et grasse.