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Les bébés prématurés restent petits

Il semble qu’un bébé prématuré sera plus petit et plus léger qu’un autre né à terme, une fois qu’il aura quatre ans, selon MedPage Today. Ce sont là les résultats d’une étude néerlandaise.

Les bébés prématurés connaissent par ailleurs une croissance normale. Toutefois, ils n’atteignent pas les mêmes paliers dans les courbes que leurs pairs. Cela est apparu vrai pour les enfants modérément ou gravement prématurés.
 
Il faudrait donc revoir les courbes de croissance actuelles et les modifier en fonction des bébés prématurés. Ainsi, les parents ne vivraient plus la même pression et pourraient voir que leur enfant grandit aussi normalement.

Pour tirer ces conclusions, les chercheurs ont suivi 1 834 bébés prématurés et 674 bébés nés à terme. Lorsque les enfants sélectionnés pour la recherche ont eu quatre ans, on a comparé leurs résultats quant à leur taille et leur poids lors de leur dernière visite chez le pédiatre.

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L’aspartame augmente les risques de cancer et d’accouchement prématuré

Depuis le début de 2011, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) en Europe garde l’œil ouvert sur les effets néfastes de l’aspartame et les mesures à entreprendre pour diminuer sa consommation par les futures mamans. Une fois de plus, Magic maman nous met au parfum des derniers développements.

En janvier, on apprenait, à la suite des résultats de deux études menées sur les effets néfastes de l’aspartame, que la consommation de cet édulcorant artificiel favorisait la naissance prématurée des enfants et les risques de cancer.

Par la suite, en février dernier, une nouvelle étude renchérissait les conséquences négatives de l’aspartame en affirmant que la consommation régulière pouvait mener à des risques d’accident cardiovasculaire.

L’aspartame est l’édulcorant le plus utilisé mondialement (plus de 6000 produits). Il se retrouve entre autres dans les produits dits « légers », tels que les sodas et les yogourts. Ainsi, en Europe prochainement, la mention « Peut ne pas convenir aux femmes enceintes » devrait se retrouver sur tous les produits concernés.

Quant à savoir si cette étiquette sera apposée sur l’ensemble des produits mondialement, il en revient aux agences de santé d’y voir et d’encourager cette nouvelle norme, pour la santé des futures mamans et de leur progéniture.

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La dysplasie broncho-pulmonaire, une maladie affectant surtout les enfants prématurés

On apprend sur Medical News Today que des recherches sont en cours pour développer un traitement préventif contre la dysplasie broncho-pulmonaire chez l’enfant prématuré. Dans les dernières années, le nombre d’enfants prématurés a augmenté, constituant désormais plus de 12 % du taux global de natalité.

L’un des problèmes majeurs se situe au niveau des prématurés entre la 23e et la 29e semaine de grossesse. Dans l’édition de janvier du journal Pediatric and Developmental Pathology, il est question des complications qui surviennent au niveau du système pulmonaire lors de l’apparition des symptômes de la maladie. 
 
L’étude démontre que les cellules dendritiques sont habituellement présentes dans les voies respiratoires et les tissus pulmonaires périphériques lorsque les poumons sont à un stade plus développé. Cependant, les recherches ont relevé un taux anormalement élevé de ces cellules dans les cas d’infection pulmonaire prénatale combinée à l’aide respiratoire après la naissance.

Plus de 30 % des enfants prématurés nés entre la 24e et 28e semaine de grossesse sont affectés par la maladie et nécessitent des soins respiratoires de longue durée. Malheureusement, il s’agit d’une cause majeure de décès. En poursuivant leurs recherches, les spécialistes espèrent développer un nouveau traitement et ainsi diminuer le taux de développement de la maladie.

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Augmentation du risque de trouble de déficit d’attention chez les nouveau-nés prématurés

Une étude de longue haleine menée à l’Institut Karolinska en Suède, sous la tutelle du Dr Anders Hjern, rapporte de nouvelles informations quant à l’apparition du trouble de déficit d’attention (TDA).

Les nouveau-nés prématurés seraient plus à risque de développer les symptômes, et ce, dans une proportion significative.
 
Medical News Today rapporte que même à 36 ou 37 semaines de grossesse, les risques sont plus élevés de 20 % par rapport à une grossesse menée à terme. Les résultats les plus probants se situent néanmoins chez les nouveau-nés ayant vu le jour entre la 23e et 28e semaine de grossesse, dont 15 sur 1000 prennent de la médication dès l’âge scolaire. Les probabilités s’accroissent considérablement pour les bébés prématurés qui ont survécu à l’unité néonatale de soins intensifs.
 
Les variables considérées dans cette étude sont entre autres l’historique familial (génétique), le statut de fumeuse pendant la grossesse, les facteurs périnataux ainsi que les facteurs socioéconomiques.

Les données ont été relevées auprès de plus d’un million d’enfants âgés de 6 à 19 ans. Parmi eux, plus de 7 500 ont reçu de la médication reliée au trouble de déficit d’attention.

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Une analyse sanguine permet de détecter les femmes qui accoucheront prématurément

Selon un article publié dans l’édition de mai de l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, le mérite de cette découverte revient à Steven Graves, qui dirige la portion chimie de l’étude à l’Université Brigham Young dans l’Utah, ainsi qu’à Sean Esplin, professeur de l’Université et obstétricien. Le début de leurs recherches remonte à 2002.

L’analyse sanguine, effectuée durant le 2e trimestre de grossesse, identifie une différence significative des peptides, associés à certaines molécules de protéines. Ces informations permettent de déterminer si la femme enceinte est à risque ou non d’un accouchement prématuré.

L’étude a été menée auprès d’un groupe de 160 femmes, dont la moitié a mené la grossesse à terme et l’autre moitié a accouché prématurément.
 
La nouvelle crée des vagues auprès des médecins et chercheurs des autres universités. Le Dr Antonio Frias, de l’Université de la santé et des sciences de l’Oregon, commente : « Puisque cette méthode identifie les patientes à risque, cela nous permet déjà d’effectuer des recherches sur des interventions préventives. Jusqu’à présent, nous avancions à l’aveuglette. »

L’Université Brigham Young a légué le droit d’utilisation de cette découverte à la compagnie Sera Prognostic. L’entreprise espère tester cette nouvelle méthode de dépistage sur le marché dès le premier semestre de 2012.

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Des problèmes de santé plus fréquents chez les nouvelles mères âgées de 45 ans et plus

Selon une étude publiée dans le Reuters Health, de plus en plus de femmes souhaitent avoir un premier enfant après 45 ans. Une recherche a donc été menée en Israël, entre 2004 et 2008, auprès de 131 nouvelles mères âgées de 45 à 65 ans.

On apprend sur Babycenter que le nombre de femmes plus âgées et nouvellement maman a triplé dans la dernière décennie. Néanmoins, elles constituent une minorité dans le bassin général des naissances. Les résultats démontrent que la méthode de fécondation in vitro fait en sorte qu’un nombre grandissant de femmes de plus de 45 ans réalisent leur rêve de maternité, ce que les chercheurs désapprouvent.
 
Le Dr Richard Paulson, directeur du programme de fertilisation de l’Université de la Californie du Sud, affirme qu’il n’y a aucune politique selon laquelle une femme est trop âgée pour profiter de l’assistance médicale de fécondation. Cependant, les femmes ayant déjà des problèmes de santé ne peuvent entreprendre la procédure.

Considérant cette étude, 4 femmes sur 10 développent un diabète de grossesse et 20 % sont à risque de prééclampsie, une condition dangereuse pour la femme enceinte. De plus, le tiers des femmes de 45 à 65 ans donnent naissance à des enfants prématurés ou en deçà de 5 livres et demie et la majorité doit subir une césarienne. Ces risques sont d’autant plus significatifs pour les femmes dépassant 50 ans.

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Les jonctions routières provoquent la naissance?

Une étude ayant porté sur 970 mères et leur bébé prématuré a entraîné des résultats assez surprenants. Tous ces participants vivaient à Logan, une ville australienne.

On a remarqué que les bébés dont la mère habitait près d’une jonction routière ou d’une autoroute étaient nés plus tôt que les autres. La différence était de 2 semaines environ, soit 4,4 %.
 
Bien entendu, les facteurs socio-économiques et le degré de tabagisme de la mère ont été écartés.
 
Parue dans Environmental Health, cette étude suppose donc que plus une femme enceinte vit près d’une grande circulation automobile, plus l’enfant naîtra prématurément.
 
Afin de tirer ces conclusions, on a évalué le nombre de routes à proximité de la maison dans un rayon de 500 mètres. Il semble que l’effet était présent jusqu’à 400 mètres, mais que le plus important se remarquait à 200 mètres.

Le bruit et la pollution de l’air auraient donc un certain effet sur le moment de la naissance.

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Peu d’effets quant au lait maternel protéiné

L’allaitement est considéré comme la meilleure alimentation pour les bébés prématurés. Malgré cela, on apprend que l’ajout d’un fortifiant protéiné au lait maternel n’a pas d’effet sur la croissance de ces enfants durant leur première année de vie.

Une étude danoise parue dans Pediatrics a mené à ce constat. Les 320 bébés qui participaient à cette recherche étaient nés entre la 24e et la 32e semaine de grossesse. À leur venue au monde, ils pesaient moins de cinq livres.
 
Parmi eux, 207 ont été allaités à leur sortie de l’hôpital et leur mère devait ajouter un supplément protéiné à leur lait. D’autres bébés ont été allaités normalement, tandis que certains ont été nourris à la bouteille avec une formule spécialement conçue pour les poupons nés avant terme.
 
Ainsi, il n’a été relevé aucune différence quant à la taille et au poids des bébés allaités, quel que soit le groupe dont ils faisaient partie, une fois leurs 12 mois atteints.

D’autre part, ceux qui avaient été nourris avec une formule spéciale présentaient une légèrement augmentation de poids et de grandeur, mais de très faible façon. De plus, la taille et le poids étaient dans la moyenne pour la catégorie d’âge.

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La bactérie A causerait des naissances prématurées

Selon une étude parue dans mBio®, la bactérie colonisant le placenta durant la grossesse causerait des naissances prématurées et des problèmes de développement chez le nouveau-né.

Il semble en effet que la présence de certains groupes d’organismes en particulier pourrait être associée aux accouchements avant terme.

Rappelons que le plus grand risque de naissance prématurée est dû aux réponses inflammatoires inhabituelles du fœtus et du nouveau-né.

Or, dans cette recherche, on a démontré que le risque d’inflammation systématique apparaît en fonction des groupes d’organismes mentionnés.

À la suite d’analyses sanguines prélevées sur 527 nouveau-nés, on a décelé ceux qui présentaient la bactérie A. Ils avaient en effet de plus hauts taux de protéine inflammatoire.

Il semble donc que l’emploi d’antibiotiques et de médicaments pour protéger le placenta durant la grossesse aiderait grandement à prévenir non seulement les grossesses prématurées, mais aussi les problèmes inflammatoires vécus par les nouveau-nés par la suite.

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Guérir la malformation des poumons

Une récente étude de l’Université du Michigan offrirait une solution efficace à la malformation des poumons chez la plupart des bébés prématurés.

Les 18 bébés de cette recherche avaient tous reçu un diagnostic modéré à sévère de dysplasie broncho-pulmonaire (DBP).

À la suite d’évaluations, on a pu faire un lien entre la prise de poids des bébés et le développement de leurs poumons. Ceux qui avaient des gains de poids supérieurs à la moyenne présentaient une nette amélioration dans le développement de ces organes.

Cela revient à dire qu’il y aurait une association possible entre l’alimentation améliorée de ces bébés et l’amélioration du volume de leurs petits poumons.

Après un an, les neuf bébés qui avaient eu des gains de poids supérieurs à la moyenne présentaient de nettes améliorations aux poumons, tandis que les autres n’atteignaient pas de différence notable.

Ainsi, les enfants prématurés à l’alimentation améliorée se retrouvaient sensiblement au même degré de développement que ceux nés à terme.

Rappelons finalement que les bébés nés avant la 37e semaine sont considérés comme étant prématurés et qu’ils sont tous très à risque de développer la dysplasie broncho-pulmonaire.

Les résultats complets de la présente étude sont parus dernièrement dans le Pediatric Pulmonology.