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Un bébé né plus tard risque aussi l’hospitalisation

L’hospitalisation future d’un bébé né vers la 36e semaine de gestation semble tout aussi fréquente que s’il est prématuré.

C’est ce que nous apprend une analyse de données de l’Hôpital universitaire de Loyola ayant porté sur les bébés nés à cet endroit.

Ainsi, un enfant qui naît entre la 34 et la 37e semaine de grossesse reçoit les mêmes soins qu’un autre né complètement à terme. Mentionnons que ce fait touche les bébés ayant une taille et un poids dans la moyenne.

Ce même traitement ferait en sorte que les bébés de la 36e semaine ont près de 2 fois plus de risques de vivre une hospitalisation durant leur 1er mois de vie que ceux nés à la 34e ou 35e semaine.

Les dirigeants de l’étude soulignent donc l’importance de traiter les bébés nés près de la maturité de la même manière que ceux nés prématurément.

La raison est que ces petits ne sont pas réellement à terme. Cela augmente les risques de complications, comme la jaunisse, les problèmes respiratoires et l’hypothermie.

Le communiqué de l’Université Loyola mentionne finalement que les naissances entre la 34e et la 37e semaine représentent aujourd’hui 70 % des naissances dites prématurées.

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De nouvelles données sur la FIV

Des chercheurs de l’Université de Göteborg, en Suède, ont fourni récemment quelques nouveaux chiffres comparant les grossesses in vitro et spontanées, lisons-nous dans Le Figaro.

S’étant étalée de 2002 à 2006, leur étude portait sur 13 544 naissances provenant d’une FIV et 587 009 autres dues à une grossesse spontanée.

On a relevé que les grossesses créées par fécondation in vitro avaient 67 % plus de risques de se solder par une naissance prématurée avant la 28e semaine. Elles étaient aussi plus enclines à se terminer avant la 37e semaine, soit à 15 %.

Le poids des bébés à la naissance semblait aussi affecté par la méthode de FIV. En effet, les nouveau-nés risquaient à 13 % de plus que les autres de peser moins de 2,5 kilogrammes. De plus, ils avaient 25 % plus de risques de peser moins de 1,5 kilogramme.

Or, ces données pourraient basculer durant les prochaines années, puisque la recherche réduit de plus en plus ces risques en établissant des méthodes plus sûres afin de réussir une fécondation in vitro.

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Les femmes enceintes qui vivent près de routes achalandées ont plus de risques d’accoucher prématurément

Des chercheurs japonais ont établi un lien possible entre l’accouchement prématuré et la pollution ainsi que le bruit provenant des routes où il y a beaucoup de circulation.

L’équipe de l’École de médecine d’Okayama a donc suivi 14 000 bébés nés de 1997 à 2008 à Shizuoka, une ville située à environ 150 kilomètres de Tokyo.

Ils ont remarqué que les femmes enceintes qui vivent à moins de 200 mètres d’une route achalandée accouchent avant la 37e semaine dans 15 % des cas. Celles qui vivent plus loin d’une forte circulation automobile ont tendance à accoucher aussi tôt dans 10 % des cas.

D’autres facteurs ont été reconnus comme des influences du moment de la naissance, par exemple le tabagisme, la nature du travail de la future mère et son âge.

Malgré tout, les chercheurs ont statué sur ce 50 % d’augmentation des naissances prématurées chez les femmes enceintes vivant près d’un achalandage routier. La raison principale en est que la pollution de l’air augmenterait les risques d’hypertension artérielle et de rupture précoce des membranes entourant le foetus, deux causes possibles de la prématurité.

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Les bébés tardivement prématurés et les problèmes durant l’enfance

Une naissance survenant avant la 37e semaine augmente le risque de problèmes émotifs et cognitifs, selon Pediatrics.

Une étude de l’Université de l’État du Michigan a ciblé la période entre la 34e et la 36e semaine de grossesse comme celle présentant les plus fortes proportions de troubles futurs.

Ainsi, les bébés tardivement prématurés courraient de deux à trois fois plus de risques d’avoir un quotient intellectuel plus faible vers l’âge de six ans.

De plus, ces enfants seraient plus sujets à démontrer des signes d’anxiété et présenter certains troubles d’inattention.

Ces résultats ont été obtenus d’après la comparaison entre des enfants nés au Michigan entre 1983 et 1985, une fois leurs 6 ans atteints, sans regard au QI de la mère ni au contexte démographique.

Les chercheurs devront maintenant trouver les véritables raisons se cachant derrière ces premiers résultats.

Pour l’instant, on se doute qu’ils proviennent de problèmes obstétriques, de complications néonatales ou d’autres problèmes postnataux. Une combinaison de ces trois facteurs est bien sûr envisageable.

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Une nouvelle percée dans les naissances prématurées

Des chercheurs de l’Université du Texas ont trouvé une nouvelle piste de solution pour empêcher les naissances prématurées.

Nous pouvons lire sur Futura-Sciences que les gènes seraient en cause. En effet, les chercheurs en question, dirigés par Carole Mendelson, ont tout d’abord observé l’expression des gènes durant les contractions.

Les gènes miR-200, une famille de microARN, seraient en cause. Durant la grossesse et lors de l’accouchement, ces gènes feraient croître les cellules utérines. Bien que ces dernières soient présentes dans le corps de la future maman depuis le début de la grossesse, elles avaient jusque-là été inhibées par d’autres gènes, les ZEB1 et ZEB2.

C’est lorsque la proportion de ces gènes s’inverse que l’accouchement survient. Les miR-200 se multiplient, contractant ainsi le muscle utérin.

Il s’agit maintenant de poursuivre les recherches sur les gènes miR-200 afin de trouver de nouvelles solutions pour réussir à retarder l’accouchement.

Rappelons que les naissances prématurées sont la cause de nombreux cas de mortalité et de handicaps.

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Prendre des décongestionnants durant la grossesse

Comme le rapporte Science Daily, une étude portant sur les femmes enceintes et les médicaments a pu faire ce lien surprenant.

Des épidémiologistes de la Boston University School of Public Health (BUSPH) ont analysé 3 271 naissances au Massachusetts, de septembre 1998 à janvier 2008. Au départ, cela faisait partie d’une recherche du Boston University’s Slone Epidemiology Center portant sur les problèmes liés à la naissance.

Ils ont découvert que les femmes qui avaient eu recours aux décongestionnants durant leur grossesse avaient ainsi diminué de 58 % leurs chances d’accoucher avant 37 semaines.

Au total, 6 % des participantes ont accouché prématurément. Sur ce nombre, 4,2 % avaient pris le médicament cité, contre 6,7 % qui s’en étaient abstenus.

Ces résultats corroborent ceux d’une précédente étude suisse de 2006 qui avait aussi vu le lien entre l’accouchement et les décongestionnants sous ordonnance.

Il reste maintenant à prouver ce lien hors de tout doute. Ensuite, il sera possible de cibler lequel des constituants du médicament est en cause.

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Un bébé réanimé après deux heures de câlins

Le petit Jamie Ogg ne montrait aucun signe de vie à sa naissance à seulement 27 semaines de grossesse. Sa sœur jumelle, Emily, avait survécu et se portait bien, mais les parents, Kate et David, étaient dévastés par la perte de leur fils.
 
Kate a alors décidé de le prendre, de le déballer des couvertures et de le placer sur sa poitrine délicatement afin de lui faire ses adieux. Après deux heures de câlins et de paroles de ses parents, le petit s’est mis à respirer et il a ouvert les yeux. Les médecins en ont été déconcertés, rapporte le Telegraph.
 
« J’ai dit à ma mère, qui était présente, qu’il était encore en vie. Il a tendu sa main pour saisir mon doigt, il a ouvert les yeux et a tourné sa tête de droite à gauche », raconte la maman à la télévision australienne.
 
Le couple préconise le contact peau à peau pour les bébés, car il croit que cela a aidé à sauver leur fils. Aujourd’hui, le petit Jamie a cinq mois et ne démontre aucune trace de son difficile début de vie.
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Bientôt un soulagement des troubles digestifs des petits prématurés

C’est bien connu, les bébés prématurés ont des poumons et un système digestif qui ne sont pas encore complétés. Ils ont donc plusieurs désagréments dès leur naissance, comme un ralentissement du transit et des ballonnements. Une étude rapportée par l’American Journal of Physiology donne toutefois un espoir pour soulager leur état.
 
Des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) viennent de mettre en lumière le rôle primordial que jouent les neurones cholinergiques dans la motricité intestinale.
 
C’est en observant des ratons que les scientifiques ont pu découvrir le rôle de ces neurones et comment fonctionnait la motricité. On constate que le fait d’augmenter les neurones cholinergiques provoque une libération accrue d’acétylcholine, le neurotransmetteur qui favorise l’activité de l’intestin.
 
Cette découverte pourrait donc mener à des traitements efficaces pour le bien-être des petits patients.
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Bientôt un soulagement des troubles digestifs des petits prématurés

C’est bien connu, les bébés prématurés ont des poumons et un système digestif qui ne sont pas encore complétés. Ils ont donc plusieurs désagréments dès leur naissance, comme un ralentissement du transit et des ballonnements. Une étude rapportée par l’American Journal of Physiology donne toutefois un espoir pour soulager leur état.
 
Des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) viennent de mettre en lumière le rôle primordial que jouent les neurones cholinergiques dans la motricité intestinale.
 
C’est en observant des ratons que les scientifiques ont pu découvrir le rôle de ces neurones et comment fonctionnait la motricité. On constate que le fait d’augmenter les neurones cholinergiques provoque une libération accrue d’acétylcholine, le neurotransmetteur qui favorise l’activité de l’intestin.
 
Cette découverte pourrait donc mener à des traitements efficaces pour le bien-être des petits patients.
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Les sodas diètes augmentent les risques de naissances prématurées

Durant leur grossesse, les femmes devraient éviter de consommer beaucoup de boissons diètes, selon le Dr I. Thorhallur Halldorsson et son équipe de l’Institut Statens Serum à Copenhague, au Danemark.
 
Une nouvelle étude publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition suggère que les sodas diètes augmentent les risques de naissances prématurées.
 
Les boissons diètes sont largement rependues et promues comme étant l’alternative santé des boissons ordinaires, mais ce n’est pas le cas pour les femmes enceintes.
 
Après avoir suivi 60 000 Danoises à 25 semaines de grossesse, le taux moyen des naissances prématurées était de 5 % en général. Pour les femmes ayant consommé des sodas diètes, le taux grimpait à 38 % et si elles buvaient au moins quatre de ces boissons quotidiennement, elles avaient 80 % plus de chances d’accoucher avant terme.
 
De toute façon, peu importe le type de boissons gazeuses, des études précédentes ont démontré qu’elles faisaient augmenter l’hypertension artérielle, ce qui est l’une des causes des naissances prématurées.
 
Les autres boissons diètes auxquelles on ajoute des sucres artificiels ne sont donc pas idéales non plus.