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Les bébés prématurés peuvent rattraper leur retard

Si les parents d’un bébé prématuré sont inquiets que leur petit ne soit jamais en mesure de faire comme les autres ou qu’il ait un certain retard mental, une étude de l’Université d’Adélaïde parue dans le Journal of Pediatrics vient les rassurer.

Au début de l’adolescence, un bébé qui est né prématurément et qui n’a pas eu de lésion cérébrale tôt durant l’enfance a autant de chance qu’un bébé né à terme de bien utiliser ses capacités cognitives, dont sa mémoire de travail, son raisonnement et sa capacité intellectuelle.

Cependant, si les parents veulent voir de tels résultats et observer une amélioration des déficits cognitifs et de la différence structurelle du cerveau présente durant l’enfance, mais qui rentre dans l’ordre au début de l’adolescence, ils doivent bien entourer leur poupon, et ce, dès sa naissance.

Pour la Dre Julia Pitcher, auteure principale de l’étude, « naître prématurément a un impact somme toute minime sur le développement cognitif ». C’est plutôt la manière dont les parents traiteront, encadreront et éduqueront leur enfant au cours des premières années de sa vie qui donnera le ton à la façon dont il se développera, explique Santé Log.

Lorsqu’ils ont examiné les capacités cognitives de 145 prématurés et d’enfants nés à terme âgés de 12 ans, les chercheurs ont également remarqué que l’allaitement maternel était un élément bénéfique qui augmentait les chances que le prématuré vive aussi normalement qu’un bébé né à terme.

 

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Naissances provoquées de moins en moins fréquentes

Les Centers for Disease Control and Prevention considèrent qu’il s’agit d’une excellente nouvelle, puisque les données sur ce qui est considéré comme une grossesse à terme ont changé dans les dernières années.

Désormais, un accouchement à 38 semaines de grossesse est considéré comme prématuré. Autrefois, on considérait que la grossesse était à terme à ce stade.

Le médecin en chef de March of Dimes, Dr Edward McCabe, renchérit l’avantage de poursuivre la grossesse jusqu’à 40 semaines. Plusieurs bébés qui naissent avant cette période peuvent souffrir de multiples complications, que ce soit à la naissance ou plus tard.

« Il y a ce sentiment qui fait en sorte qu’avec les avancées médicales, nous nous en tirons bien avec les bébés prématurés. Nous en sommes séduits et croyons qu’il n’y a pas de risque à forcer la naissance avant terme », indique McCabe.

Science World Report mentionne que depuis 2006, le taux de naissances provoquées a diminué de 16 % aux États-Unis.

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Naissance prématurée plus à risque lors de grossesses rapprochées

Les résultats d’une nouvelle étude ont été publiés dans la revue spécialisée BJOG: An Interantional Journal of Obstetrics and Gynaecology.

On considère une grossesse prématurée lorsque l’enfant a 37 semaines ou moins de gestation. Pendant les dernières semaines, des développements importants surviennent chez le fœtus. Lorsqu’il est prématuré, l’enfant fait face à de nombreux risques intellectuels, cérébraux, respiratoires, visuels et digestifs, entre autres.

Les chercheurs ont analysé 454 716 naissances de femmes ayant eu deux grossesses ou plus dans une période de 6 ans. Comme l’indique Medical News Today, ils mesuraient le facteur d’intervalle entre les grossesses et ses conséquences.

Les femmes ont été séparées en 2 groupes. Le premier comprenait celles ayant eu un intervalle de grossesse de moins de 12 mois et le second, celles avec un intervalle se situant entre 12 et 18 mois.

Les deux groupes ont par la suite été comparés avec les femmes ayant un temps d’intervalle minimal optimal, soit 18 mois ou plus.

Il a été confirmé que plus l’intervalle entre les grossesses est réduit, plus le taux de naissances avant 39 semaines est élevé, et ce, surtout chez les femmes noires.

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Découverte d’une cause majeure de naissances prématurées

L’oxydation excessive des tissus de la membrane foetale serait reliée à l’accouchement prématuré, selon Medical News Today.

Des chercheurs de l’University of Texas Medical Branche de Galveston sont les premiers à faire le constat des conséquences d’un placenta affecté par un surplus d’oxydation.

Les antioxydants de notre corps sont essentiels à la prévention du vieillissement des tissus et de diverses maladies. Or, même si la pollution et les toxines environnantes ne peuvent être évitées, d’autres facteurs tels que l’alcool, la cigarette, le surpoids, une mauvaise nutrition et l’infection peuvent être contrôlés, voire éliminés.

Les spécialistes ont validé leur théorie en exposant la membrane du placenta à un extrait de fumée de cigarette en laboratoire. Les résultats sont indéniables : l’oxydation a fait vieillir prématurément les tissus.

Par conséquent, une surexposition du placenta à l’oxydation peut causer un accouchement prématuré.

Malheureusement, la prise de suppléments d’antioxydants pendant la grossesse n’a pas permis de réduire les naissances avant terme. Le Dr Ramkumar Menon affirme que c’est parce que le processus est encore mal compris des chercheurs.

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Un mariage exigeant pourrait causer un décès prématuré

Se faire « écoeurer à mort » par son ou sa partenaire de vie prend tout son sens lorsqu’on prend connaissance d’une nouvelle étude sur les impacts d’un mariage exigeant.

Il appert, selon l’étude rapportée par le Daily Mail (UK), que les personnes qui se font constamment harceler, agacer ou exiger des choses de la part de leur partenaire voient leurs chances de mourir plus jeune monter en flèche.

Le stress d’une telle relation pourrait d’abord affecter le système immunitaire, selon les chercheurs de l’Université de Copenhague en tête de l’étude, et ainsi paver la voie au développement de certaines maladies.

Les risques de trouble cardiaque, de cancer, de dépendance à l’alcool et de suicide sont également largement influencés par le niveau de stress observable au sein d’un mariage ou d’une relation à long terme.

Après avoir étudié les relations de 9875 hommes et femmes, les chercheurs menés par le Dr Rikke Lund estiment que les hommes sont plus souvent touchés par le phénomène, puisque moins enclins à partager leurs émotions à l’extérieur du couple.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

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Combien de vies pourraient être sauvées avec un mode de vie plus sain?

37 millions. Voilà le nombre de vies qui pourraient être sauvées ou rallongées avec de simples changements de vie au quotidien, selon une nouvelle étude britannique rapportée par Top Santé.

37 millions de personnes dans le monde pourraient donc être sauvées si elles arrêtaient de fumer, mangeaient moins de sel, mangeaient plus de fruits et de légumes ou faisaient de l’exercice physique sur une base régulière.

De petits changements relativement simples, mais qui semblent souvent représenter un défi insurmontable pour un grand nombre de gens. Ceux-ci pourraient cependant se soustraire à une mort prématurée, selon les chercheurs de l’Imperial College de Londres qui publient l’étude.

Après avoir analysé plusieurs facteurs observables dans différents pays, les chercheurs britanniques concluent qu’une réduction de la consommation d’alcool de 10 % ainsi qu’une diminution de sel dans l’alimentation de 25 % pourraient représenter des baisses de 20 % des risques de mortalité chez les 30 à 70 ans.

« Atteindre ces objectifs de vie plus saine permettrait d’accentuer la baisse de la mortalité par maladies cardiovasculaires et par maladies respiratoires chroniques, de réduire le nombre de morts causé par les cancers du poumon et de l’estomac, et d’inverser la tendance en matière de mortalité liée au diabète », explique un des auteurs de l’étude.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine The Lancet.

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Information utile sur les bébés prématurés

Selon Top Santé, dans la dernière décennie, le nombre de naissances prématurées a augmenté de 15 %, ce qui est énorme. Néanmoins, il faut quand même tenir compte du taux de natalité, qui a grimpé lui aussi.

Les facteurs considérés pour la prématurité sont notamment les grossesses tardives et les grossesses multiples, qui semble-t-il sont très élevées. Sans compter que de plus en plus de mères doivent planifier leur accouchement avec le médecin, afin d’éliminer des risques pour elles-mêmes et le bébé.

Dès un accouchement avant la 37e semaine, on parle de bébé prématuré. Ceux qui sont de « grands prématurés » naissent entre la 22e et 32e semaine. Parmi ces derniers, plus de 2000 meurent à la naissance ou peu après en France. Il y a aussi de grands risques de séquelles physiques et mentales.

Il existe désormais une méthode pour diminuer le nombre d’accouchements prématurés, surtout auprès des femmes ayant un historique du genre ou ayant subi une ou plusieurs fausses-couches. On leur administre de la progestérone naturelle entre la 16e et la 34e semaine.

Ce traitement diminue les risques de moitié.

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Naissances prématurées et asthme liés à la cigarette en baisse

Le nombre de naissances prématurées tout comme le nombre d’enfants admis à l’hôpital pour de l’asthme relié à la fumée secondaire seraient en baisse.

Ce sont les résultats de la première méta-analyse réalisée depuis la mise en place de la législation contre le tabac dans plusieurs pays. Ils ont été publiés dans la revue The Lancet et regroupent les données de 11 études menées en Amérique du Nord et en Europe.

Comme l’indique Medical News Today, au total, cela représente plus de 2,5 millions de naissances et 250 000 cas d’enfants asthmatiques.

Les chercheurs ont remarqué une baisse de 10 % des naissances prématurées et d’admission à l’hôpital d’enfants asthmatiques de 12 ans et moins au terme d’une seule année après la nouvelle législation. Cette baisse se poursuivait, à moins grande échelle, les années subséquentes.

Le Dr Jasper Been voit là l’évidence que l’on doit poursuivre et étendre cette législation à travers le globe.

De par le monde, 40 % des enfants sont exposés régulièrement à la fumée secondaire. À l’heure actuelle, seulement 16 % de la population mondiale est concernée par les lois et campagnes anti-tabac.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.