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Musicothérapie pour bébés prématurés

C’est au centre médical Beth Israel, à New York, que Joanne Leowy et ses collègues ont mené leur étude. Les résultats ont démontré de nettes améliorations du rythme cardiaque des bébés prématurés lorsque la mère chantait une berceuse, ainsi que du sommeil, de ses signes vitaux en général et même pour aider l’enfant à se nourrir.

Les spécialistes étaient également surpris de constater que des sons imitant le bruit de l’eau, ou du moins quelque chose ressemblant à l’environnement du ventre de la mère, permettaient une fois de plus des changements significatifs chez le bébé. Les nouveau-nés à l’unité de soins intensifs retrouvaient un cycle de sommeil régulier lorsqu’ils entendaient un son similaire au frottement du placenta.

Quant au développement naturel du réflexe de succion, il était accéléré lorsque les nouveau-nés entendaient un bruit simulant le battement de cœur de la mère.

Selon Med Page Today, de nombreuses recherches ont été effectuées relativement à la musicothérapie et les prématurés. Cependant, aucune n’avait encore mis l’accent sur des bruits simulant l’environnement naturel de l’enfant, et la conclusion est très prometteuse.

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Les viandes transformées peuvent mener à la tombe de façon prématurée

Manger un bon hot-dog est toujours agréable, mais ce délicieux repas pourrait bien vous mener à votre tombe beaucoup plus tôt que prévu, rapporte The National Library of Medicine.

Bien entendu, vous aurez compris qu’une seule saucisse ne vous tuera pas sur-le-champ, mais la consommation excessive des viandes transformées et/ou séparées mécaniquement enlèverait bel et bien des années à l’espérance de vie.

L’étude proposée par l’Université de Zurich est exhaustive, compilant les données recueillies auprès de 450 000 personnes, rien de moins. Les conclusions rapportées sont terrifiantes : 40 % plus de risques de mourir jeune chez les gens qui consomment fréquemment ces viandes (comme les saucisses, entre autres).

« Notre recommandation est de limiter sa consommation de viandes transformées à moins d’une once par jour. Nous connaissons certains mécanismes potentiels qui contribuent probablement au phénomène », lance Sabine Rohrmann de l’Université de Zurich.

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Bonne nouvelle pour les bébés prématurés

En effet, santelog.com rapporte que les cliniciens croyaient depuis toujours que le sang frais apporterait de meilleurs résultats, en terme de guérison d’une lésion d’organe vital, de mortalité ou de risque d’infection. Si, de prime abord, la nouvelle peut sembler négative, il faut le percevoir autrement.

Si le sang frais avait amélioré le traitement des enfants prématurés, les coûts auraient été astronomiques, puisqu’il aurait fallu déployer d’énormes ressources pour alimenter les banques de sang.

C’est la Dre Dana Devine, vice-présidente de la Société canadienne du sang, qui explique la conséquence qu’une telle nouvelle aurait pu apporter. « Au fil des années, les études ont suggéré des dommages possibles à partir de sang plus ancien, entraînant des pressions pour modifier la gestion de l’approvisionnement en sang dans le but de pouvoir fournir des produits de transfusion plus frais. »

L’étude a été dirigée par le Dr Dean Fergusson, directeur du programme d’épidémiologie clinique de l’Hôpital d’Ottawa. Il explique que « jusqu’à maintenant, la littérature donnait plutôt la préférence à de nouveaux globules rouges ». Pourtant, la recherche, qui s’est étalée de 2006 à 2011 auprès de 377 bébés prématurés et gravement malades, prouve tout le contraire.

Ainsi, de façon aléatoire, les bébés recevaient des transfusions de sang frais ou, selon la méthode actuelle, des transfusions de sang datant de 2 semaines à 42 jours.

Les médecins qui ont procédé à cette recherche sont d’ailleurs très reconnaissants aux familles qui ont eu confiance et qui ont accepté de participer au programme.

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Un test pour déterminer le moment de l’accouchement

Cette découverte rassure les médecins, puisque les risques associés à un accouchement avant 37 semaines de grossesse peuvent apporter de sérieuses complications. Les enfants prématurés ont plus de chance d’être gravement malades, tant à la naissance que dans le futur.

Le problème actuel réside dans le fait que seulement 30 % des femmes enceintes qui se pointent à l’hôpital avec des contractions précoces ne rendent pas leur bébé à terme. Ainsi, 70 % s’y rendent inutilement.

Seulement en 2010, c’est plus de 15 millions de bébés prématurés qui ont vu le jour. Le test sanguin proposé détecte une protéine spécifique dans le sang. L’efficacité des résultats se situe autour de 80 %.

Selon medicalnewstoday.com, la recherche, dirigée par les experts de l’Académie Sahlgrenska à l’Université de Gothenburg, en Suisse, a été menée auprès de 142 femmes enceintes entre 1995 et 2005.

L’un des chercheurs, Panagiotis Tsiartas, explique : « Si l’on peut prédire que la femme qui se présente à l’hôpital accouchera réellement à l’intérieur d’une semaine, cela permettra de lui donner la cortisone nécessaire à l’accélération du développement des poumons de l’enfant. Il s’agit d’une avancée très importante ».

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Un traitement de progestérones pour éviter l’accouchement prématuré

Les progestrogènes sont des formes synthétiques ou naturelles des progestérones. Leur nom provient de leur capacité à maintenir la grossesse (progestation).

C’est une étude de Vanderbilb, publiée dans la revue Obstetrics & Gynecology, qui fait état des résultats. Or, les progestrogènes ne seraient pas efficaces dans le cas d’une grossesse multiple.

Cette recherche fait suite à une série de 34 études précédentes sur le sujet, menées entre janvier 1966 et octobre 2011. Bien que les résultats de cette dernière recherche représentent une importante découverte, medicalnewstoday.com rapporte les réticences de la Dre Frances E. Likis, également professeure de médecine.

« […] Nous ne comprenons toujours pas la raison exacte qui fait en sorte que l’administration de progestrogènes supplémentaires maintient la grossesse. Les effets pharmaceutiques ne sont pas encore bien analysés » soulève Likis.

« Afin de connaître les complications que pourraient entraîner les progestrogènes, une étude supplémentaire est requise. Nous avons très peu d’indices à propos de l’incidence sur la santé du nourrisson. Il y a encore beaucoup de travail à faire. »

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La consommation de marijuana : un risque de bébé prématuré

C’est ce que vient de révéler une vaste étude australienne et néozélandaise qui tentait d’établir les facteurs de risque impliqués dans la prématurité afin de développer un test, génétique ou autre, qui leur permettrait de prédire avec plus de précision le risque de naissance prématurée.

Mentionnons que la naissance prématurée, au moins trois semaines avant la date prévue, peut entraîner des problèmes de santé graves et parfois mortels pour le poupon, et un risque accru de problèmes de santé plus tard dans la vie, tels que les maladies cardiaques et le diabète.

L’étude parue dans la revue PLoS ONE, qui a évalué plus de 3000 femmes enceintes, a réussi à dresser une liste des éléments pouvant conduire à la prématurité.

Il est ressorti que les femmes qui avaient de forts antécédents familiaux où d’autres bébés étaient nés avec un petit poids couraient six fois plus de risques d’avoir un bébé dans les mêmes circonstances.

Être une mère atteinte de prééclampsie ou de diabète de type 1 ou 2, qui consomme de la marijuana trois mois et moins avant la conception ou qui a des pertes sanguines fréquentes double les risques également.

Finalement, certaines situations pèsent davantage dans la balance des risques, tels qu’une mère qui souffre d’hypertension légère ne nécessitant pas de traitement (10 fois plus élevé), qui a des antécédents familiaux de diabète gestationnel récurrent (huit fois plus de risques) ou qui a reçu une forme de traitement de fertilité hormonal (près de quatre fois plus de risques).

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Opération d’un bébé prématuré de trois livres

Il s’agit d’une première canadienne. Une équipe de chirurgie cardiaque du Centre mère-enfant (CME) a sauvé un bébé prématuré de 30 semaines. L’opération a été très délicate puisque le nouveau-né pesait à peine trois livres.

Le petit Mason Lapointe, qui a vu le jour le 4 mars dernier, est né avec une malformation cardiaque nommée transposition de gros vaisseaux. Il fallait absolument l’opérer pour le sauver.

Le 19 mars, l’enfant a été opéré avec succès, après 7 heures d’intervention réalisée par le chirurgien Jean Perron et son équipe. C’est un petit miracle, puisque la chirurgie a été réalisée à la loupe en raison des vaisseaux qui mesuraient moins d’un millimètre.

À Rimouski, les parents sont ravis, puisque Mason devrait mener une vie normale. Enfin de retour à la maison, le couple souhaite avoir d’autres enfants.

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Un bébé prématuré ne doit pas être confronté au stress

Si l’entourage et les parents de bébés prématurés se sentent angoissés, ce n’est rien de comparable à ce que vit le nouveau-né lorsqu’il arrive dans le monde, un environnement souvent « inadapté » pour lui.

Selon Olivier Baud, chef de service de réanimation et pédiatrie néonatales de l’hôpital Robert-Debré : « Si l’enfant prématuré est trop stressé, les connexions neuronales de son cerveau en sont altérées ». Une situation qui peut grandement affecter le développement de l’enfant à moyen terme.

Voilà pourquoi il est important de minimiser les stimulations auditives, olfactives, visuelles et tactiles environnantes au bébé, comme le bruit des machines, la lumière, les gens qui parlent.

D’ailleurs, de plus en plus d’infirmières sont formées pour procurer au bébé le confort dont ils ont besoin et éviter les sources de stress. Elles sont davantage portées à travailler dans le silence, à limiter les prises de sang et à poser des gestes lents et doux, car la douleur presque constante que ressent un bébé prématuré est très perturbante pour lui.

Parmi les autres facteurs qui peuvent provoquer du stress au nouveau venu, les professionnels parlent de la séparation physiologique très déroutante du placenta et des maladies souffrantes induites par la prématurité elle-même.

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Les femmes enceintes doivent avoir une bonne santé buccale

La santé buccale de la mère peut affecter la santé du fœtus, voilà ce que révèle une récente étude du quotidien Times of India.

En moyenne, 80 % des femmes enceintes se plaignent de complications buccales. La plus fréquente serait la gingivite durant la grossesse.

Lorsque les problèmes buccaux ressentis ne sont pas traités immédiatement, il peut y avoir des répercussions sur le fœtus. « Les maladies parodontales chez la mère peuvent avoir un effet négatif sur les gencives et les dents du bébé. Si la femme porte une attention particulière à sa santé buccale, plusieurs complications chez le bébé peuvent être évitées », affirme le Dr Gopalakrishnan.

Une visite chez le dentiste durant la grossesse devrait être faite et prise avec presque autant de sérieux que celle chez l’obstétricien.

En plus du dentiste, un autre spécialiste ajoute que pour donner un bon départ au bébé, les mères devraient se brosser les dents fréquemment avec une brosse au poil souple, se gargariser avec un rince-bouche recommandé par un spécialiste, avoir une diète riche en fibres, minéraux et vitamines, et ainsi éviter les aliments néfastes pour la santé dentaire et générale, de même que celle de son bébé.

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Un bébé en retard ou un bébé prématuré?

En fait, le risque est similaire pour le bébé né en retard et celui qui vient au monde prématurément. Ces derniers peuvent être connus pour des problèmes de santé physique et émotionnelle, quelque temps après leur naissance, mettent en garde des chercheurs des Pays-Bas dont les résultats sont parus dans le Journal of Epidemiology.

La durée normale d’une grossesse étant de 40 semaines, il aurait été démontré que les enfants nés après 42 semaines et plus de gestation étaient plus à risque de développer un déficit de l’attention avec hyperactivité ou d’autres problèmes de santé que les bébés nés à temps.

Les chercheurs expliquent qu’un « vieux » placenta ne réussit pas à fournir les nutriments et l’oxygène nécessaire au bébé après 40 semaines.

Les chercheurs suggèrent donc de déclencher un accouchement entre 40 et 41 semaines ou de faire une césarienne pour éviter des problèmes à l’enfant, mais aussi à la mère, qui risque d’avoir un enfant plus grand et plus gros après 40 semaines.

Pour arriver à ces conclusions, 5145 bébés de Rotterdam ont été suivis pendant trois ans pour étudier la relation entre la longueur du temps passé dans l’utérus et les comportements et problèmes affectifs à plus long terme.

Alors que les risques étaient connus pour les enfants prématurés, il s’agit de la première étude qui fait la lumière sur les risques d’une grossesse prolongée sur le comportement des bébés.