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Des ultrasons qui détectent les désordres comportementaux des enfants prématurés

Les enfants prématurés sont plus à risque de développer des troubles tels que l’hyperactivité, les tics nerveux, le TDA, le désordre obsessif compulsif et la dépression majeure. Selon Science Daily, une étude récente affirme que des ultrasons peuvent désormais détecter les dommages précurseurs.

La recherche a été menée en collaboration avec divers spécialistes de l’Institut psychiatrique de l’Université Columbia, dans l’État de New York, en psychiatrie, embryologie, pédiatrie et néonatalogie. C’est la docteure Agnes Whitaker qui est l’instigatrice du rapport publié dans l’édition de juillet du Archives of General Psychiatry.
 
L’information mise en lumière rapporte que ce sont les dommages causés aux matières grise et blanche du cortex cérébral, avant la naissance, qui sont responsables du développement ultérieur de désordres psychologiques et comportementaux.
 
Depuis des décennies, les spécialistes spéculaient sur l’implication de ces dommages, surtout au niveau des bébés prématurés. Il s’agit de la première recherche apportant une causalité probante.
 
En parallèle, un système par ultrasons a été développé et permet la détection des dommages du cortex cérébral du nouveau-né. Ainsi, les prématurés qui présenteront le diagnostic pourront immédiatement être pris en charge et suivis par les services de pédiatrie et de psychiatrie.
 
Whitaker poursuit ses recherches pour développer le même système pour la schizophrénie, qui se développe principalement à l’âge adulte.
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L’asthme est relié à la naissance prématurée des bébés

On apprend sur bbc.co.uk qu’une étude effectuée entre 1975 et 2009, auprès de plus d’un million de femmes enceintes, révèle la corrélation entre l’asthme et la diminution du poids du bébé à la naissance ou encore à la naissance prématurée.
 
Des experts en Australie et aux États-Unis ont aussi conclu que l’asthme pouvait être responsable d’autres complications telles que la prééclampsie. Les bébés naissant d’une mère asthmatique pèsent en moyenne 0,2 livre de moins que ceux nés de celles non asthmatiques.
 
Néanmoins, selon Peter Gibson, du Centre pour l’asthme et les maladies respiratoires de l’Université de Newcastle en Australie, il est possible de réduire les risques : « Certaines des complications peuvent être minimisées par un suivi rigoureux de la part du médecin. Une fois par mois, la femme enceinte devrait être évaluée ».
 
Aux dires de Leanne Metcalf, du Centre pour asthmatiques au Royaume-Uni, « souffrir d’asthme augmente les risques de prééclampsie d’au moins 50 %, alors que les risques d’un bébé prématuré augmentent de 25 % ».
 
Sur une note plus positive, les spécialistes affirment que la médication reliée à l’asthme n’affecte en rien la femme enceinte ni le fœtus. Cette recherche vise surtout la sensibilisation des futures mères et de leur médecin quant à l’importance du suivi régulier.
 
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Votre naissance influe sur votre santé mentale

Les répercussions à long terme d’une naissance prématurée toucheraient tous les aspects de la santé. Des chercheurs de l’Université de Birmingham ont fait un lien entre l’accouchement avant terme (ou le faible poids de naissance) et certains problèmes de santé mentale à l’adolescence.

Ces enfants seraient plus enclins à souffrir alors de troubles de l’humeur et d’anxiété, lisons-nous dans Psychological Medicine. On savait déjà qu’un lien existait entre la naissance prématurée et le trouble déficitaire de l’attention.

Ainsi, les bébés qui naissent avant terme feraient plus souvent face à ces problèmes de santé, même après s’être remis des séquelles physiques dues à leur venue au monde.

Bien que l’on ne sache pour l’instant indiquer des causes précises, car elles seraient multifactorielles, on pense déjà aux répercussions traumatiques d’une telle naissance. Cela aurait un impact sur la manière dont le cerveau réagit par la suite au stress.

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Autre conséquence d’une naissance prématurée

Une naissance prématurée entraîne son lot de conséquences sur la santé du bébé. Des chercheurs de l’Université Monash en Australie viennent d’en découvrir une autre, selon Medical News Today.

Il semble que les bébés prématurés sont plus enclins à souffrir de maladies rénales. C’est que la prématurité aurait un impact sur le développement des reins. Un moins grand nombre de néphrons serait produit, car ceux-ci se multiplient durant les dernières semaines de la grossesse.

Les néphrons sont en fait ce qui constitue le rein. Leur développement assure la structure nécessaire au bon fonctionnement de cet organe; l’urine se forme à partir de ces unités. Un adulte en a environ 1 million.

Or, les bébés prématurés en présenteraient de 400 000 à 600 000 de moins, ce qui est énorme. Un lien entre le faible nombre de néphrons avait déjà été établi avec les maladies rénales.

Ces conclusions proviennent d’observations faites sur des reins d’enfants nés à terme et d’autre nés prématurément.

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Les marques de la prématurité

Parmi celles-ci, on retient la plus vaste menée jusqu’ici, ayant porté sur des enfants maintenant âgés de 23 ans.

Dirigée par l’Université du Rhodes Island, elle nous apprend que les bébés prématurés connaissent plus de problèmes que les autres, plus tard dans la vie.
 
Ces enfants ont tout d’abord tendance à connaître une moins bonne santé et accusent de plus grands risques de maladies cardiaques à l’âge adulte.
 
Ils sont aussi plus enclins à vivre des difficultés dans leur vie en général, notamment des problèmes scolaires et sociaux.

Toutefois, les effets de la prématurité peuvent être renversés par le soutien et l’amour des parents, de même que par un milieu scolaire enrichissant. Dans ce cas, le bébé prématuré devient une personne résiliente qui a fortement tendance à connaître le succès.

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Plus de 2 heures de télévision peuvent conduire à une mort prématurée

Regarder la télévision plus de deux heures par jour peut conduire à un décès précoce, selon une nouvelle étude dévoilée par le Journal of the American Medical Association.
 
Après avoir analysé huit études regroupant un total de 235 000 personnes, les chercheurs estiment que chaque tranche de deux heures passée devant la télévision quotidiennement augmente de 20 % les risques de diabète de type 2, de 15 % les risques de maladies cardiaques mortelles et de 13 % les décès, toutes causes confondues.
 
Ceci est notamment dû au mode sédentaire de la télévision, qui conduit à un manque d’exercice.
 
De plus, il est fréquent de manger en regardant son émission ou son film préféré et on consomme majoritairement de la malbouffe et des grignotines comme des croustilles, du maïs soufflé, des boissons sucrées et autres aliments mauvais pour la santé.

Il est donc préférable de limiter ses heures d’écoute de la télévision. Avec la belle saison, pourquoi ne pas profiter de l’extérieur au maximum!

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Surprise dans la prévention de la prématurité

Un lien insoupçonné entre la prévention de la grippe et l’accouchement vient d’être établi. Il semble que le vaccin contre l’influenza serait aussi efficace pour prévenir différents problèmes liés à la naissance.

Ainsi, ledit vaccin diminuerait les risques de prématurité et de petite taille du bébé. Des chercheurs de l’École de santé publique Rollins de l’Université Emory à Atlanta se sont basés sur 4 168 mères et leur bébé pour établir ces liens. Toutes les naissances ont eu lieu entre le 1er juin 2004 et le 30 septembre 2006.
 
Il semble donc que les bébés nés durant la saison de la grippe et dont la mère avait reçu le vaccin naissaient moins de façon prématurée que ceux dont la mère n’avait pas été vaccinée. Le ratio en a été de 0,60.
 
Toutefois, il s’agit ici d’une corrélation. On ne pourrait prétendre à une conséquence de la vaccination pour l’instant. D’autres études sur le même sujet devront suivre pour démystifier ces premières observations.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans PloS Medicine.

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Édulcorants et grossesse : un nouvel avis

On apprend dans Le Parisien que certaines instances s’inquiètent des risques nutritionnels des édulcorants durant la grossesse. Par exemple, le Réseau Environnement Santé (RES), en France, recommande aux futures mamans de ne pas consommer des édulcorants tous les jours.

La raison première en est que les aspects positifs de ces substances, d’un point de vue nutritionnel, n’ont pas encore été prouvés. On préconise donc la prudence jusqu’à preuve du contraire.
 
De plus, le RES s’est basé sur les résultats d’une étude danoise, selon lesquels les édulcorants augmenteraient le risque de naissance prématurée. Par prudence pour le bébé, on suggère donc fortement de ne pas ingérer de trop grandes quantités de ces substances.

Mentionnons au passage que cette étude avait porté sur près de 60 000 femmes enceintes. Des analyses suivront, en France, avant que d’autres recommandations soient annoncées. Ici, aucun avis officiel n’a été émis pour l’instant.

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Nouvel espoir pour les bébés prématurés

On apprend sur Action Medical Research que des travaux de recherche ont cours pour mettre au point un nouveau test de détection de l’entérocolite nécrosante.

Mentionnons que cette maladie est en fait une ulcération et une nécrose (mort de cellules) touchant le côlon et l’iléon (la partie finale de l’intestin grêle). On évalue, au Royaume-Uni seulement, que 3 000 bébés sont atteints chaque année de cette maladie de l’intestin.
 
Près de 35 % de ceux qui en souffrent en décéderont. Le test en question permettrait de détecter plus tôt cette maladie de l’intestin touchant principalement les bébés prématurés. On évalue à 8 % le nombre de ces enfants qui la développeront.
 
Les autres personnes qui souffrent habituellement de ce mal sont celles qui sont atteintes d’un cancer.

Ainsi, en ayant un diagnostic hâtif de la maladie, les chances de survie des enfants seraient grandement améliorées. En ce moment, lorsqu’on arrive à reconnaître hors de tout doute l’entérocolite nécrosante, les bébés sont déjà très malades.

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Moins d’embryons en FIV, de meilleurs résultats

Des chercheurs de l’Université de Montréal ont démontré que l’utilisation d’un seul embryon par tentative de grossesse en fécondation in vitro (FIV) serait préférable pour la vie et la survie des bébés.

On peut en effet lire dans le Journal of Pediatrics que selon Keith Barrington, la directrice de cette étude, on préviendrait des dommages au cerveau et aux yeux, de même que le temps passé à l’hôpital pour l’enfant.
 
De plus, on pourrait de cette façon empêcher plus de 40 morts à la naissance par année au Canada. Les jours passés aux soins intensifs par les poupons seraient quant à eux réduits de 42 000 jours par an.
 
En établissant la règle d’un embryon à la fois pour chaque tentative de FIV, on réduirait aussi le nombre de jumeaux et de triplets prématurés, lesquels sont très à risque de complications cardiaques.

Ainsi, les chercheurs demandent à ce que cette règle soit suivie rigoureusement, même si cela réduit les chances pour la femme de tomber enceinte. La méthode actuelle des embryons multiples serait trop dangereuse pour être encore employée chez toutes les femmes.