Ce sont les gros changements qui causent le choc de départ et qui se calculent… en perte. La perte de sommeil, la perte de vie sociale et d’indépendance, mais également d’intimité et de confiance en soi parce qu’on ne sait pas quoi faire avec cet enfant qui pleure.
La porte-parole de l’étude du Nurofen for Children explique que ce sont surtout les mères qui sont désillusionnées : « En pensant à la maternité, nous présumons que la grossesse est la partie difficile, et que lorsque le bébé naîtra, la bouffée d’amour qui s’ensuivra fera en sorte que tout se passera bien ».
52 % des répondantes sentaient qu’elles avaient perdu leur identité.
55 % avaient beaucoup de difficulté à concevoir qu’elles ne pouvaient plus sortir et faire ce qu’elles voulaient, quand elles le voulaient.
52 % ont senti qu’elles devaient changer de cercle d’amis parce que leurs intérêts n’étaient plus les mêmes.
Mais rassurons-nous. Female First rapporte qu’après les premiers mois de cette nouvelle réalité, 8 mères sur 10 ont admis qu’avoir un enfant était la plus belle chose qu’elles avaient faite. De plus, les aspects positifs dépassaient par la suite de beaucoup les aspects négatifs de la maternité.