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La première impression s’avère souvent la bonne

Le journal Personality and Social Psychology publiera en décembre une étude de deux psychologues américains qui affirment qu’un jugement basé sur l’apparence ou sur la première impression est souvent véridique.

Pour l’étude, on avait établi une liste de traits de personnalité comme le côté extraverti, être consciencieux ou non, la stabilité émotionnelle, l’ouverture, l’amabilité, l’estime de soi, etc.

En se basant sur le sourire, la stature générale et les vêtements, des volontaires ont regardé 123 photographies de personnes posant avec des expressions neutres ou naturelles. Les résultats ont ensuite été comparés aux avis de trois personnes qui connaissaient les gens photographiés.

Même avec des expressions neutres, on arrivait souvent à deviner le côté extraverti et l’estime de soi. Pour les personnes posant de façon naturelle, les observateurs ont deviné les bons traits de personnalité 9 fois sur 10.

Comme quoi on n’a jamais une deuxième chance de faire bonne impression, comme le dit l’expression. Notre apparence donnerait un indice assez solide sur notre véritable personnalité.

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L’influence de la pensée sur la perception

Une étude internationale, publiée dans le journal Psychological Science, conclut que notre pensée influence notre perception en démontrant que l’interprétation de l’émotion d’un visage influence le souvenir qu’on garde de lui.

Les chercheurs américains, néo-zélandais et français ont montré à leurs sujets des photos de visages modifiés par ordinateur pour leur donner des expressions ambigües. Ils leur ont demandé de penser à ces visages comme étant en colère ou heureux.

Les participants ont ensuite regardé un court film montrant les visages qui changeaient d’expression, passant de la colère à la joie. Puis, on leur a demandé de retrouver la photo qu’ils avaient vue en premier.

Les premières interprétations influençaient leurs souvenirs, alors que les visages initialement interprétés comme en colère étaient beaucoup plus colériques dans leur mémoire que les visages désignés à l’origine comme étant heureux.