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Dépistage prénatal de la trisomie 21 – le nouveau traitement est accepté en France

En fait, jusqu’à présent, ce sont les femmes à risque de fausse couche qui sont généralement traitées à l’aide de cette nouvelle méthode.

Celle-ci a été proposée pour la première fois en 2011, puis validée en septembre 2012 par le spécialiste londonien en médecine fœtale, le professeur Kypros Nicolaides.

Le test, à ce moment, se nommait Harmony prenatal. Les résultats de l’étude du professeur Nicolaides statuaient que l’analyse sanguine non invasive permettrait d’éviter plus de 300 fausses couche (de fœtus en santé) par année, seulement au Royaume-Uni.

La France s’est prononcée aujourd’hui, par le biais du Collège national des gynécologues et obstétriciens de France (CNGOF). Ils sont favorables à la généralisation de l’utilisation du dépistage de la trisomie 21 par analyse d’ADN.

Le procédé est appelé le DPNI ou diagnostic prénatal non invasif. Le seul hic pour l’instant, c’est que très peu de laboratoires sont en mesure d’interpréter les tests et de fournir l’analyse. La généralisation en est donc à un stade encore embryonnaire.

Cependant, Santé Log indique que d’autres pays comme la Suisse, l’Allemagne, l’Autriche, en plus de la Russie, la Turquie et la Bulgarie, pour ne nommer que ceux-là, ont donné leur accord au PraenaTest.

Il s’agit du tout premier test prénatal en circulation pour dépister la trisomie 21 sans prélèvement invasif. L’objectif : éliminer complètement l’amniocentèse.

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Dépistage de maladies cardiaques in utero – stress trop intense

Or, le dépistage in utero de ce genre de malformation cause du stress, de l’anxiété et même la dépression chez la future mère. C’est du moins ce que décrit une nouvelle étude dont la publication est prévue dans le Journal of Pediatrics.

Pourtant, le dépistage prénatal offre de nombreux avantages, tant pour l’enfant que pour la mère. Cela permet à la future maman, à priori, de se renseigner sur la maladie. De plus, elle a le temps d’évaluer les différentes options et de se préparer mentalement à la probabilité d’une intervention chirurgicale.

Malheureusement, le stress associé à l’annonce d’une malformation cardiaque congénitale surpasse les avantages, ce qui engendre également de nombreux risques pour le fœtus.

En effet, l’état dépressif de la mère se répercute sur le bébé et crée des déficiences au niveau hypothalamique, une croissance intra-utérine réduite, des naissances prématurées et un poids inférieur à la normale chez le nouveau-né.

Le Dr Jack Rychik, du Fetal Heart Program au Cardiac Center de l’Hôpital pour enfants de Philadelphie, constate l’importance du soutien de la mère. « Notre étude constate l’importance du soutien psychologique de la future mère. Ainsi, l’approche devrait désormais intégrer une thérapie d’accompagnement, par un spécialiste ou même le conjoint, lors des prochains diagnostics. »

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Grossesse : les suppléments sont-ils cruciaux?

Une étude menée par le UC Davis MIND Institute a établi un lien entre la prise de suppléments vitaminés durant la grossesse et la prévention de l’autisme.

Les chercheurs voient ainsi une nouvelle façon de prévenir ce syndrome chez les enfants, lit-on sur Medical News Today.
 
Selon les données recueillies auprès d’environ 700 familles, les femmes qui prennent des vitamines prénatales 3 mois avant et pendant leur premier mois de grossesse courent 2 fois moins de risques que leur enfant soit atteint d’autisme.
 
Les chercheurs croient que la forme synthétique de la vitamine B9 et les autres vitamines B protégeraient contre les défaillances lors du développement naissant du cerveau.
 
Ce n’est pas la première fois que les folates compris dans les suppléments de grossesse sont cités pour leurs possibles bienfaits. On savait déjà qu’ils jouent un rôle majeur dans le développement neurologique et l’acide folique a été reconnu pour prévenir jusqu’à 70 % des défectuosités des tubes neuraux.

Il s’agit toutefois de la première étude portant directement sur le lien entre les suppléments vitaminiques prénataux et le syndrome de l’autisme.

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Maman fumeuse, bébé fumeur

Une recherche finlandaise a démontré que le tabagisme de la femme enceinte peut grandement faire en sorte que l’enfant soit dépendant de la nicotine plus tard. De plus, ce dernier aurait tendance à commencer à fumer à un âge plus jeune.

Selon Medical News Today, cette étude faite sur des souris a prouvé que l’exposition prénatale à la nicotine rendait vulnérable à celle-ci.

Ainsi, l’enfant, une fois au stade de l’adolescence, aura plus tendance à subir les effets de la dépendance à cette substance.

Puisque l’on comprend mieux de quelle façon la nicotine bloque certains récepteurs, on peut considérer qu’il s’agit là d’une explication possible de l’usage courant de la nicotine.

Finalement, cette recherche ouvre la voie à de possibles médicaments pour traiter la dépendance aux drogues et à la cigarette.

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Un test sanguin prénatal pourrait prédire de nouveaux syndromes

On pourrait déchiffrer le code génétique de l’enfant à venir en utilisant un échantillon sanguin prélevé à aussi peu que 12 semaines, apprend-on dans Science Translational Medicine.

Ce nouveau test sanguin pourrait prévenir des syndromes et des maladies, et ce, en analysant l’ADN du foetus. On entend par là l’autisme, le syndrome de Down, voire les possibilités d’Alzheimer et de cancer.

Bien sûr, ce test éliminerait les risques actuels de fausse couche qu’entraîne par exemple l’amniocentèse, lorsqu’il faut pousser les analyses sur le fœtus. On sauverait ainsi une centaine de bébés par année.

Or, des scientifiques mettent en garde la venue d’un tel test. Les futurs parents pourraient tomber dans le piège de la recherche de l’enfant parfait en sachant tout sur sa santé future dès les premiers mois de grossesse.