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«Corona» parmi les prénoms favoris de 2020

BUM Interactif

Selon le site spécialisé The Bump, le prénom Corona se classe en 100e position des prénoms les plus populaires en 2020 pour une fille aux États-Unis.

Il est vrai que le terme «coronavirus» est sur toutes les lèvres depuis mars dernier. La pandémie a donc convaincu de nombreux parents qui ont décidé de s’en inspirer pour nommer leur petite fille.

Si Corona occupe le 100e rang des prénoms féminins populaires cette année, les Américains ont majoritairement choisi «Mila» pour nommer leur fille cette année.

Chez les garçons, le prénom favori de l’année est celui de «Braxton».

Les couples ne connaissant pas le sexe de leur futur bébé et désirant lui accorder un prénom unisexe se tournent le plus vers «Reese».

Pour les parents toujours à la recherche d’un prénom, sachez que 2020 est fortement inspirée par les prénoms astrologiques. On retrouve donc des prénoms tels que Aurora, Nova ou Luna.

Les États-Unis sont le pays le plus touché dans le monde par le coronavirus, alors que plus de 4,3 millions de personnes en sont infectées.

Photo : Cover Images

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Prénoms de bébé tendance 2014

Chaque année, L’officiel des prénoms est publié en Europe. Pour 2014, la nouvelle édition propose entre autres le top 20 des prénoms féminins et masculins qui ont ou auront la cote au cours des 12 prochains mois.

Tant chez les filles que les garçons, en Europe comme aux États-Unis, on remarque avant tout une tendance pour les prénoms très courts, de deux syllabes tout au plus. Ensuite, il y a une prédominance marquée pour les noms contenant la lettre « L ».

En 2014, on verra des Lina, Léa, Léna et Lola. Autres prénoms populaires, Chloé, Jade et Zoé, puis Inès, un dérivé d’Agnès.

Quant aux garçons, nouvelle entrée, le prénom Raphaël se taille une place dans le top 10. Il est côtoyé par Léo, Lucas et Louis, qui sont aussi parmi les plus populaires. Au palmarès figurent également les noms Timéo, Enzo, Arthur et Hugo.

Même phénomène aux États-Unis, où l’on recense déjà une préférence pour les noms courts, comprenant le « L » si prisé.

Selon SheKnows, les préférences chez les filles sont : Ella, Lily et Leila, mais on retrouve aussi beaucoup de Maya, Brooklyn et Victoria.

Pour les garçons, ce sont les Logan, Luke, Levi et Luis qui dominent, puis Mason, Anthony, Brandon, Easton et Evan.

Comment nommerez-vous votre enfant?

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Les nouveaux parents veulent nommer leur enfant comme celui du couple royal

Kate Middleton et le prince William sont sur le point de voir le visage de la succession royale. Selon Female First, nombreux sont les parents qui profitent des 6 semaines de délai allouées pour choisir le prénom de leur nouveau-né.

Il semblerait, rapporte Netvouchercodes.co.uk, que 42 % des mamans sont prêtes à attendre la naissance du petit prince ou de la petite princesse, et ce, jusqu’au dernier jour s’il le faut, afin de prendre le même prénom. Les sondages indiquent d’ailleurs que pour une fille, le nom en tête de liste pour le couple royal serait Alexandra, alors que pour un garçon, George serait le prénom le plus en vue.

Certaines futures mamans espèrent grandement que le couple, adoré du public, sorte un peu des sentiers battus. L’une d’entre elles a confié : « Ce serait amusant qu’ils soient créatifs et surprennent les gens avec quelque chose d’inattendu ».

Ce genre d’événement marquant fait toujours place à une nouvelle vague de popularité de prénoms chez les enfants. Les fervents souhaitent se rappeler à leur façon la venue de la prochaine génération royale d’Angleterre. Espérons un peu d’originalité, puisque des milliers de bébés partageront le prochain prénom!

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Jennifer Love Hewitt veut rendre hommage à sa défunte mère

Jennifer Love Hewitt, qui est enceinte de son premier enfant, souhaite rendre hommage à sa défunte mère en nommant son bébé Patricia si c’est une fille ou Patrick si c’est un garçon.

Sa mère, Patricia, est décédée d’un cancer en juin 2012, à l’âge de 67 ans. D’ailleurs, cette perte serait le seul regret de la star. « La perte de sa mère est la seule ombre sur les joies de sa grossesse », mentionne une source au National Enquirer.

Apparemment, l’actrice de 34 ans aurait promis à sa mère qu’elle trouverait un homme et fonderait une famille avant qu’elle meure. « Jennifer réalise le vœu le plus cher de sa mère. Elle voudrait que Patricia soit présente pour voir naître son enfant », ajoute la source.

Au début du mois, Jennifer Love Hewitt a annoncé qu’elle et son conjoint, Brian Hallisay, sa covedette de The Client List, attendaient la venu de leur premier enfant. Peu de temps après, on apprenait aussi leurs fiançailles.

Rappelons qu’en mars dernier, l’actrice, qui avait toujours été malchanceuse en amour jusqu’ici, envisageait même de faire congeler ses ovules, sachant que ses chances de devenir mère s’amenuisaient d’année en année. « Elle est inquiète de finir seule, puisqu’aucune de ses relations n’a été un succès », déclarait une source.

Elle avait donc étudié les différentes options qui s’offraient à elle. « Si ça ne marche pas avec Brian, elle pourra encore devenir mère un jour », ajoutait la source.

Par le passé, la star avait clairement mentionné vouloir des enfants à maintes reprises, se disant même obsédée par les bébés.

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Un plus petit nom pourrait signifier un plus gros salaire

C’est une étonnante étude que nous rapporte ici Top Santé, alors que des chercheurs américains ont tracé une corrélation entre la longueur des prénoms et le salaire annuel.

Ainsi, un prénom plus court aurait plus de chances de rapporter plus d’argent à son propriétaire, selon ce que l’on comprend des conclusions avancées et publiées dans The Ladders.

Pour en arriver à ce constat pour le moins farfelu, les chercheurs ont analysé les noms et les salaires de près de six millions d’Américains. Le calcul mathématique subséquent mène à une solution étonnante : chaque lettre en plus dans un prénom priverait le propriétaire de celui-ci d’une somme de 3600 dollars annuellement.

Donc, plus le prénom est court, plus on peut aspirer à de grandes choses sur le plan financier, comme les trois dirigeants d’entreprises les mieux payés aux États-Unis sont Tim (Cook), Larry (Ellison) et Ron (Johnson).

Pour ceux qui ont un nom assez long, les chercheurs n’hésitent pas à suggérer d’utiliser un surnom ou un diminutif de son vrai nom en affaires.

Croyez-vous à ces conclusions? 

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Quoi faire si votre famille n’aime pas le prénom de votre bébé

Il s’agit de votre décision, et vous voudriez que tout le monde l’accepte, mais malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. Que des étrangers ou des connaissances aient une drôle de réaction lorsque vous leur annoncez le prénom, c’est une chose, mais lorsqu’il s’agit de gens plus près de vous, c’est plus difficile.

En premier lieu, essayez de comprendre pourquoi. Est-ce qu’ils sont déçus? Est-ce qu’ils espéraient que vous choisissiez un nom en particulier, par exemple celui d’un ancêtre? Est-ce qu’ils ont peur que l’enfant soit l’objet de moqueries en portant ce prénom? Cette étape ne veut pas dire que vous devriez changer d’idée, mais simplement qu’un conflit pourra peut-être être évité si vous comprenez mieux les raisons.

La meilleure manière de faire est tout simplement de laisser à vos proches le temps de s’habituer à l’idée et de se faire au prénom, ce qui arrivera la plupart du temps.

Si toutefois vous souhaitez « régler » la situation, vous pouvez leur expliquer votre attachement à ce prénom et ce qui vous a poussé à le choisir. Soyez gentil, mais ferme en leur rappelant que c’est VOTRE choix.

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Quand le prénom influence l’adoption

Un article sur ce sujet dans le quotidien Daily Mail en surprend plus d’un et laisse croire que c’est peut-être le cas également dans d’autres pays.
 
Il semblerait que certains enfants ne bénéficieront jamais de l’amour d’une famille, car on leur a attribué le « mauvais » prénom à la naissance.
 
Les bébés les plus concernés en Angleterre seraient les fillettes qui portent des prénoms de boisson, comme Champagne et Chardonnay, et celles dont le prénom fait référence à un bijou, comme Rubie, Jayde ou Chrystal.
 
Alors que ces derniers ne sonnent pas si étranges à l’oreille, pourquoi les parents les fuient-ils comme la peste? Il semblerait que ce genre de prénom soit considéré et étiqueté de la « classe moyenne » pour les familles qui souhaitent adopter.
 
Même si les parents désireraient changer le prénom d’un enfant qui a suscité leur intérêt, une loi anglaise établie avec des travailleurs sociaux interdit de modifier le prénom, par peur d’une « perte d’identité » pour l’enfant, écrit le Daily Mail.
 
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Léa et William dominent toujours le Québec

Les Léa et William seront sans doute nombreux sur les bancs d’école au cours des prochaines années, et c’est d’ailleurs déjà commencé, car depuis 2004, Léa maintient toujours la première position des prénoms féminins les plus donnés.

Quant à William, il est en tête du palmarès masculin depuis 2006. Il a cédé sa place au prénom Thomas en 2008, mais est revenu en force en 2009.
 
Selon le bilan dressé par la Régie des rentes, qui se fie aux données du Directeur de l’État civil, les petites Emma, Florence, Zoé et Juliette suivent de près en obtenant les 2e, 3e, 4e et 5e positions. Chez les garçons, Thomas, Olivier, Alexis et Nathan ont également la cote dans le cœur des parents.
 
Il ne s’agit pas là d’une impression, la Régie des rentes du Québec le confirme : il y a réellement plus de choix pour les prénoms féminins que masculins.
 
En 2011, le Québec a ouvert ses bras à 88 500 nouveau-nés. Sur ce nombre, il y a eu plus de garçons (45 300) que de filles (43 200) qui sont venus au monde.
 
Rappelons qu’une récente étude anglaise révélait que 54 % des parents disent regretter le prénom choisi pour leur poupon.
 
Pour connaître la liste complète des prénoms les plus populaires, visitez le site internet de la Régie des rentes du Québec.
 
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Quand on regrette le prénom de son enfant…

Gurgle.com a mis en lumière ce à quoi bien des parents réfléchissent durant la grossesse : « Et si je ne choisis pas le bon prénom? Que je me lasse? Que je regrette ou que dans un an, j’en préfère un autre? »

Un sondage nouvellement réalisé auprès de 1000 parents a permis de dévoiler que plus de la moitié (54 %) des parents regrettent le prénom qu’ils ont choisi à la naissance de leur poupon.

Parmi eux, 26 % déclarent que le prénom qu’ils aiment est devenu trop populaire. Quant à presque la moitié (49 %), ils trouvent que le prénom de leur petit ne correspond finalement pas à sa personnalité.

Situation fréquente dans les couples durant la grossesse, un cinquième des parents a déclaré que leur conjoint avait rejeté le prénom qu’il souhaitait en premier choix pour leur enfant.

L’insatisfaction de certains parents les pousse même à faire modifier le prénom de leurs enfants. Certains iront même jusqu’à faire des changements alors que l’enfant a 5 ans et fréquente l’école.

Le site internet Nameberry.com propose de nombreux conseils aux parents qui doivent choisir un « prénom pour la vie ». Des erreurs et de bons coups sont énumérés sur ce site qui met en vedette tant les bons choix qui rendent les enfants heureux en grandissant que les mauvais reflétant les choix des adultes qui ont tenté d’être trop originaux.

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Quand on regrette le prénom de son enfant…

Gurgle.com a mis en lumière ce à quoi bien des parents réfléchissent durant la grossesse : « Et si je ne choisis pas le bon prénom? Que je me lasse? Que je regrette ou que dans un an, j’en préfère un autre? »

Un sondage nouvellement réalisé auprès de 1000 parents a permis de dévoiler que plus de la moitié (54 %) des parents regrettent le prénom qu’ils ont choisi à la naissance de leur poupon.

Parmi eux, 26 % déclarent que le prénom qu’ils aiment est devenu trop populaire. Quant à presque la moitié (49 %), ils trouvent que le prénom de leur petit ne correspond finalement pas à sa personnalité.

Situation fréquente dans les couples durant la grossesse, un cinquième des parents a déclaré que leur conjoint avait rejeté le prénom qu’il souhaitait en premier choix pour leur enfant.

L’insatisfaction de certains parents les pousse même à faire modifier le prénom de leurs enfants. Certains iront même jusqu’à faire des changements alors que l’enfant a 5 ans et fréquente l’école.

Le site internet Nameberry.com propose de nombreux conseils aux parents qui doivent choisir un « prénom pour la vie ». Des erreurs et de bons coups sont énumérés sur ce site qui met en vedette tant les bons choix qui rendent les enfants heureux en grandissant que les mauvais reflétant les choix des adultes qui ont tenté d’être trop originaux.