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L’hypertension chez les jeunes obèses

On lit dans Hypertension: Journal of the American Heart Association que les jeunes obèses sont réellement à risque de souffrir d’hypertension. Il avait déjà été démontré qu’ils pouvaient faire face à ce problème de santé.

Maintenant, on apprend qu’ils sont trois fois plus à risque d’avoir une haute pression sanguine que les enfants qui ont un poids normal. Cela annonce la pression sanguine qu’ils auront, une fois l’âge adulte atteint.

Selon les résultats de la présente étude, lorsque l’indice de masse corporelle (IMC) d’un enfant dépasse le 85e percentile, l’effet de la masse adipeuse (sous la peau et autour des organes vitaux) sur sa pression sanguine était 4 fois plus important que chez les enfants d’un poids normal.

Mentionnons qu’à partie du 85e percentile, un enfant est considéré en surpoids. On a fait ces constatations après avoir suivi 1111 enfants en bonne santé générale durant 4 ans et demi. Le percentile d’IMC a été choisi pour faire l’analyse, car l’indice comme tel doit changer et augmenter au fur et à mesure que l’enfant grandit.

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La musique contre le cancer

Dans le cadre d’une étude dirigée par la Drexel University (Philadelphie), on a remarqué l’effet considérable de la musique sur l’état de jeunes patients cancéreux. En faisant l’étude de 30 recherches précédentes, on a relevé des améliorations quant à la douleur, notamment.

On a aussi remarqué une amélioration des signes vitaux comme la pression sanguine et l’humeur. En effet, les enfants de l’étude – tout comme les adultes, d’ailleurs – ont vécu moins d’anxiété s’ils écoutaient de la musique dans le cadre d’un traitement, selon Medical News Today.

Mentionnons que dans certains cas, les patients étaient invités à jouer du piano, à chanter, ou encore à créer des mélodies à l’aide d’un thérapeute.

C’est donc avec raison que l’on envisage d’intégrer la musique non seulement dans les traitements habituels contre le cancer, mais aussi contre des maladies chroniques et d’autres maladies dégénératives qui affectent les émotions.

Il n’y a encore aucune évidence quant au type de musique, mais il semble que ce soit plus efficace si les airs choisis correspondent aux goûts du patient, entre autres.

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Le tabagisme passif chez les enfants

Environ le tiers des enfants du monde se retrouvent fumeurs passifs. Cela a des répercussions sur les maladies vasculaires. Des chercheurs de l’Université du Minnesota ont par ailleurs prouvé un autre effet du tabagisme passif chez les enfants.

Ainsi, comme vu dans Consumer Health Day, les enfants exposés à la fumée de cigarette auront une pression sanguine plus élevée durant leur croissance. Ces hauts taux sont évidemment reliés à l’hypertension.
 
C’est ce qui a été relevé après que l’on ait fait passer des tests de détection de nicotine et de cotinine à des enfants âgés de 8 à 17 ans entre 1999 et 2006. Des questions ont aussi été posées aux enfants quant à leur exposition au tabac.
 
D’autre part, ces observations ont pu être faites sur les garçons, mais non sur les filles. En fait, les filles qui étaient ou avaient été exposées à la fumée de la cigarette avaient, au contraire, une pression plus basse que les autres.

On croit que le corps féminin aurait une certaine protection des problèmes vasculaires en étant exposé au tabac. D’autres recherches seront nécessaires pour expliquer ce phénomène.

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Un deuxième café n’affectera pas votre pression sanguine

Une étude américaine dévoile que la consommation de café ne serait pas liée à un risque accru d’hypertension, en dépit des préoccupations antérieures.
 
L’hypertension est liée aux maladies cardiaques, aux accidents vasculaires cérébraux et à une espérance de vie plus courte. Les experts disaient que prendre plus d’une tasse de café par jour augmentait la pression sanguine.
 
Toutefois, après avoir analysé six études regroupant 170 000 personnes, on affirme que cela n’affecterait pas la pression sanguine. Pour l’étude, on a même affirmé que trois tasses par jour n’auraient pas d’effet.
 
Par contre, les spécialistes précisent qu’ils ont besoin de plus de données pour présenter une conclusion ferme quant aux effets du café sur l’hypertension.
 
Selon Lawrence Krakoff, qui étudie l’hypertension au Mount Sinai Medical Center de New York, le café n’aurait pas de lien avec l’hypertension, mais si une personne consomme 12 tasses quotidiennement, cela risque de l’empêcher de dormir, ce qui pourrait affecter sa pression sanguine, rapporte The American Journal of Clinical of Nutrition.
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L’exercice quotidien et la pression sanguine de l’enfant

Une étude étalée sur trois ans a prouvé l’effet positif de l’exercice en milieu scolaire sur la santé des enfants, nous apprend Medical News Today.

Il semble que les enfants qui faisaient de l’exercice quotidiennement avaient une plus basse pression sanguine et présentaient de meilleures capacités cardiovasculaires.

Pour tirer ces conclusions, on a comparé deux groupes d’élèves allemands de sixième année.

Le premier groupe faisait de l’exercice chaque jour, tandis que le second pratiquait des activités sportives habituelles en milieu scolaire, soit deux heures par semaine.

Les enfants des deux groupes ont aussi été évalués de façon globale, subissant une analyse sanguine et une étude de leur comportement, par exemple.

Tous les enfants étaient comparables quant à leur indice de masse corporelle, leur âge et leurs aptitudes motrices.

Les résultats de cette étude ouvrent donc la voie à une meilleure prévention des maladies cardiovasculaires en encourageant mieux l’activité physique durant l’enfance.

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Un lien entre la pression sanguine et les difficultés d’apprentissage

D’après Pediatrics, les enfants souffrant d’hypertension auraient quatre fois plus de risques d’avoir des difficultés à l’école.

C’est ce que révèle une étude du centre médical de l’Université de Rochester. On a suivi 201 patients, dont 101 faisaient de la haute pression. Les participants étaient âgés de 10 à 18 ans. Ce sont les parents qui mentionnaient si l’enfant avait des troubles d’apprentissage ou de l’attention.

Parmi tous les patients, 18 % avaient des difficultés d’apprentissage, alors que le taux dans la population en général est de 5 %.

De plus, parmi ceux qui avaient une haute pression sanguine, le taux était de 28 %, tandis qu’il était de 9 % chez ceux qui avaient une pression normale.

Ces observations ont été établies après avoir éliminé d’autres facteurs, comme la situation socio-économique par exemple.

La Dre Heather R. Adams, qui a mené cette étude, a donc établi un lien clair entre la pression sanguine et les problèmes cognitifs. Selon elle, cela devrait nous pousser à offrir un soutien accru à ces enfants.

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La pression sanguine des enfants obèses améliorée par une légère perte de poids

Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de l’Indiana viennent de démontrer que toute perte de poids fait baisser substantiellement la pression sanguine des enfants obèses.

Comme nous l’apprenons sur HealthDay News, cette équipe a recueilli des échantillons sanguins de 1 113 enfants pour arriver à cette conclusion.

Ils ont ensuite comparé l’indice de masse corporelle de ces enfants à des données de pression sanguine normale selon l’âge, le sexe et la taille.

Selon le chercheur en chef Wanzhu Tu, professeur de médecine, la variation de la pression est beaucoup plus marquée chez les enfants en surpoids que chez les autres enfants.

Pour les garçons en surpoids, l’indice de masse corporelle avait 4,6 fois plus d’impact sur leur pression sanguine que chez les garçons normaux. Les résultats étaient similaires chez les filles.

La haute pression observée chez les enfants peut se traduire à l’âge adulte par des maladies du coeur et du diabète, entre autres.

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Les habitudes de vie, plus fortes que les gènes

Une étude à long terme a démontré que de bonnes habitudes de vie peuvent diminuer le risque de haute pression, et ce, même si le patient a une prédisposition génétique.

« On sait depuis des années que les gènes jouent un rôle dans l’hypertension artérielle. Mais on sait aussi que les habitudes de vie influencent cette condition. Maintenant, nous sommes capables de prouver comment ces facteurs interagissent et que ces gènes varient selon les comportements qu’adopte un individu », a mentionné l’auteure de cette recherche, la Dre Franceschini, de l’Université de la Caroline du Nord.

La scientifique a découvert que l’effet des gènes liés à l’hypertension était multiplié lorsque le patient fumait, buvait ou était sédentaire.

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Lien entre le psoriasis et le diabète

Une recherche menée par le Dr Abrar Qureshi, de la Faculté de médecine de l’Université Harvard, l’amène à conclure que les femmes aux prises avec le psoriasis sont plus à risque d’être touchées par le diabète et l’hypertension artérielle.

Selon le chercheur, la maladie cutanée fait augmenter de 63 % le risque de diabète et de 17 % celui de la haute pression, comparativement aux participantes n’ayant jamais connu d’épisodes de psoriasis.

Ce phénomène pourrait être attribué à l’inflammation, souvent associée à l’hypertension et à la résistance à l’insuline.

« L’inflammation pourrait être une explication biologique plausible, car le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique et l’inflammation est un facteur de risque de l’hypertension », a mentionné le Dr Qureshi.

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La musique, bonne pour la santé

Des chercheurs de l’Université Temple à Philadelphie se sont penchés sur les effets bénéfiques de la musique sur le coeur et la pression sanguine.

Publiée dans The Cochrane Library, cette recherche va dans le même sens que 23 autres études antérieures et démontre que la musique, surtout celle que l’on apprécie, ralentit notre rythme cardiaque.

« On sait que lorsque les sujets choisissent eux-mêmes la musique qu’ils écoutent, celle-ci a des effets sédatifs grâce à un tempo lent, et les patients sont alors en mesure de relaxer », a souligné l’un des auteurs, le Dr Joke Bradt.