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Le poisson et la tension artérielle

Le poisson pourrait bien se découvrir une nouvelle vertu, rapporte Top Santé.

Le site partage une étude allemande qui laisse présager les bienfaits du poisson, plus particulièrement du DHA (présent dans les oméga-3) sur la tension artérielle.

Ce sont des tests concluants sur des souris qui permettent aux chercheurs allemands d’être optimistes et de confirmer les effets du DHA sur la pression artérielle.

Cependant, on tient à préciser que ce ne sont pas tous les oméga-3 qui offrent cet effet, notamment en ce qui concerne les suppléments.

Plusieurs types de DHA n’auraient aucun effet, et certains contrecarreraient même les effets bénéfiques du poisson sur l’organisme. Il est donc préférable de bien s’informer auprès d’un spécialiste ou d’un praticien.

« L’apport non naturel d’oméga-3 peut donc aussi avoir des effets contre-productifs. Chez les sujets en bonne santé, l’apport de ces acides gras comme l’acide docosahexaeonic (DHA) par la consommation de poissons gras comme le hareng, le saumon et le maquereau doit donc être privilégié », concluent les auteurs de l’étude.

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Un produit dangereux utilisé en centre hospitalier

C’est toute une histoire que celle rapportée par Radio-Canada. Elle traite d’une étude nouvellement publiée qui cible un produit potentiellement dangereux utilisé dans les hôpitaux.

L’étude parle en fait de l’hydroxyéthylamidon, un produit notamment utilisé en soins intensifs pour gonfler le volume sanguin. Cette pratique est utilisée entre autres pour réanimer des patients qui affichent une pression sanguine faible.

Or, on apprend via cette étude que l’hydroxyéthylamidon pourrait bien faire basculer plus de patients vers la mort que vers le réveil…

Ce sont les conclusions obtenues par les chercheurs de l’Université Laval et de l’Université du Manitoba, qui joignent leurs efforts et qui partagent le même avis sur le dossier.

Cette super-étude analysait les données de 38 essais cliniques du produit et de la méthode, ce qui représente à peu près 11 000 patients, si on fait une moyenne.

Après ces analyses et des tests qui ont convaincu les chercheurs canadiens de leur présomption, ces derniers n’y vont pas de main morte dans leurs recommandations.

Pour eux, il faut carrément cesser l’utilisation de l’hydroxyéthylamidon dans nos hôpitaux. Et le plus rapidement possible.

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Une protéine qui augmente les risques de haute pression

Des chercheurs viennent de découvrir l’impact et l’importance insoupçonnés d’une protéine sur les risques de développer des problèmes de haute pression, rapporte les National Institutes of Health.

Cette protéine lrp1 était déjà bien connue des spécialistes, notamment pour son rôle dans la régulation du fer contenu dans l’organisme. Il appert maintenant qu’elle joue également un rôle important dans la prévention de la haute pression, plus précisément chez une forme qui affecterait les poumons.

Ce sont des tests effectués sur des souris qui ont permis d’en arriver à cette conclusion, et les chercheurs disent avoir bon espoir de pouvoir traduire ces recherches en percée médicale.

« Ces informations pourraient mener à des progrès concernant le traitement de la polycythémie et de l’hypertension pulmonaire qui surviennent sans cause apparente. Il est donc possible que ces désordres soient le résultat d’une dysfonction de la protéine lrp1 », déclare Tracey A. Rouault, auteure de l’étude.

Ces recherches ont également permis de mieux comprendre comment le corps dirige le fer dans l’organisme pour notamment prévenir l’anémie (déficience des globules rouges dans le sang).

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Réduire le sel dans l’alimentation collective pourrait sauver 500 000 vies

Si l’on réduisait l’apport en sel dans le régime alimentaire collectif des citoyens, on pourrait sauver jusqu’à 500 000 vies sur une période de dix ans, rapporte The National Library of Medicine.

Comme ces chiffres sont basés sur la population des États-Unis, on pourrait même s’attendre à ce qu’il soit sérieusement bonifié si on incluait le Canada à ces prévisions.

Ce constat est le fruit d’une étude américaine, dont les résultats ont été publiés dans la plus récente édition du journal Hypertension. Pour les chercheurs de San Francisco en tête de l’étude, réduire la quantité de sel consommée par les Nord-Américains est une quête primordiale et prioritaire.

Si on regarde les statistiques de mortalité, on se rend compte que le principal tueur en Amérique prend maintenant la forme des maladies cardiaques, cardiovasculaires et de la haute pression. Or, l’un des grands contributeurs à ces problèmes de santé est le sel.

Les chercheurs rappellent que le citoyen moyen consomme trop de sel par rapport à l’apport quotidien suggéré, et ce serait particulièrement vérifiable chez la gent masculine.

On recommande d’abord d’éviter la malbouffe (restauration rapide, burgers, etc.), les restaurants à outrance et les repas-minutes congelés.

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Un traitement pour le coeur pourrait avoir une double utilité

www.nlm.nih.gov rapporte des conclusions tirées par des chercheurs qui croient qu’un médicament couramment employé pour contrôler la haute pression et le rythme cardiaque pourrait avoir une deuxième utilité.

En effet, les spécialistes pensent que le traitement appelé « bêta bloquant » serait également fort utile dans le suivi des patients qui se remettent d’un cancer du poumon.

On observerait une hausse des taux de survie de 22 % chez les patients en rémission qui utilisent ce traitement.

« Ces découvertes étaient les premières, à notre connaissance, démontrant une hausse des taux de survie avec l’utilisation des bêta bloquants parallèlement à la radiothérapie dans les cas de cancer du poumon. Ces résultats laissent présager qu’il y a peut-être un autre mécanisme inexploré qui pourrait aider les patients aux prises avec cette maladie très agressive », déclare le Dr Daniel Gomez, de l’Université du Texas.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans la plus récente édition des Annals of Oncology et laissent présager de nouvelles façons de faire en oncologie dans les cas de cancer du poumon.

Les chercheurs tiennent à spécifier que les statistiques concernant les rémissions et les taux de survie peuvent aussi varier en fonction de l’âge et de la condition physique des patients.

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Plus de risques de haute pression pour les faibles salariés

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui suggère une hausse des risques de haute pression chez les gens qui ont un salaire moins élevé que les autres.

Ce serait d’autant plus vrai chez les personnes âgées de 25 à 44 ans, selon l’étude, période où l’humain moyen ressentirait le plus de pression professionnelle et de performance.

Ainsi, les plus faibles salariés seraient plus enclins à faire de la haute pression à tout âge, ce qui surprend les principaux acteurs impliqués dans l’étude.

L’auteur principal, J. Paul Leigh, lance : « Nous avons été surpris de constater que des salaires plus faibles pouvaient s’avérer un facteur de risque très fort pour des tranches de population qui ne sont pas normalement associées à des problèmes de haute pression. Le phénomène de haute pression frappe généralement les hommes plus âgés. Cette fois, on constate que même les femmes et les jeunes sont touchés par ce problème ».

L’étude a été publiée dans l’édition de décembre de l’European Journal of Public Health et révèle que des risques d’hypertension sont aussi présents chez les faibles salariés.

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Importante découverte en matière de réanimation (RCR)

On croyait bien que les techniques de RCR (réanimation) étaient coulées dans le béton, c’est-à-dire qu’on ne pourrait pas vraiment les améliorer. Il semblait que la technique enseignée dans tous les cours de premiers soins prévaudrait.

Il semble toutefois que tout cela soit sur le point de changer, alors que plusieurs études viennent mettre en doute l’utilité du bouche-à-bouche lors des manœuvres de réanimation.

La plus récente en date est celle publiée dans la nouvelle édition du Journal of American College of Cardiology (JACC), rapportée par santelog.com, qui parle de taux de survie clairement plus élevé lorsque le RCR est pratiqué sans bouche-à-bouche.

On prône donc maintenant des manœuvres de compressions thoraciques uniquement, les spécialistes affirmant qu’ils sont en train de constater des hausses dans les taux de survie lorsque le bouche-à-bouche n’est plus dans le processus. On parle même de taux qui sont passés, dans certains cas, de 18 à 38 %!

On explique que dans les dix premières minutes d’un arrêt cardiaque, la compression thoracique permet d’imiter les battements du cœur et donc de maintenir le flux sanguin. L’aspect de l’aide respiratoire (bouche-à-bouche) ne serait pas prioritaire dans les tout premiers soins.

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Les enfants de Brad Pitt et Angelina Jolie sont impatients de les voir mariés

Rappelons que Brad Pitt et Angelina Jolie souhaitent patienter jusqu’au moment où le mariage gai sera toléré partout par la loi américaine. Cependant, la pression des enfants se fait de plus en plus intolérable.

Ainsi, Maddox, Pax, Zahara, Shiloh et les jumeaux Knox et Vivienne n’ont de cesse de harceler leurs parents. Ils en ont assez d’attendre le jour fatidique.

Pitt a d’ailleurs confié à E! News : « C’est de la part des enfants que nous avons le plus de pression. Nous n’avions pas réalisé à quel point c’était important pour eux que nous soyons mariés ».

Rappelons que les acteurs s’étaient rencontrés sur le plateau de tournage de Mr. & Mrs. Smith, alors que Pitt était toujours en relation avec Jennifer Aniston.

Brad Pitt, 48 ans, a affirmé que lorsqu’il a demandé la main de sa douce, il a réalisé avec plus de conviction encore que chacun a le droit de se marier, hétéro ou homosexuel.

L’acteur a d’ailleurs récemment fait un don de 100 000 $ à la Human Rights Campaign pour le soutien du mariage gai. Angelina Jolie et lui se battent pour la légalisation dans le Maine, le Maryland, le Minnesota et dans l’État de Washington.

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Le test maison pour la pression sanguine inefficace?

Les tests maison retrouvés un peu partout dans les foyers d’Amérique du Nord pourraient s’avérer inefficaces, selon une nouvelle étude.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs remettent en doute la véracité des résultats proposés par certains de ces tests.

Cependant, ceux-ci fonctionneraient beaucoup mieux lorsque vient le temps de lire les données d’une personne plus âgée ayant déjà souffert de problèmes cardiaques, voire d’un AVC.

Le reste de la population devrait par contre se méfier. C’est ce que conclut l’étude, qui a suivi des patients sur une période d’un an.

Les chercheurs ont donc donné à un groupe des systèmes de tests de pression sanguine populaires et vérifié les données avec un groupe B.

Les résultats sont clairs pour Hayden B. Bosworth, professeur de médecine à l’Université Duke de Durham : « Il y a des différences marquées entre les données réelles et certains résultats affichés par ces tests. Cela fonctionne pour certaines personnes; il ne faut pas les bannir complètement. Il s’agit simplement de déterminer quels tests s’appliquent à quelles personnes. »

On suggère de consulter votre médecin pour avoir l’heure juste et d’entamer un contrôle efficace de la haute pression.

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La haute pression chez les jeunes : des diagnostics déficients

L’American Heart Association lance un cri d’alerte concernant les problèmes de haute pression chez les jeunes et met en garde les praticiens contre certaines lacunes de diagnostics observées.

Il semble que les médecins ne soient pas très enclins à surveiller d’éventuels problèmes de haute pression chez les plus jeunes, un phénomène pourtant bien réel.

www.newsroom.heart.org rapporte que dans plusieurs cas, les patients ne reçoivent un tel diagnostic que longtemps, parfois jusqu’à quatre ans, après l’apparition réelle du problème.

Les jeunes fumeurs, entre autres, sont sujets à faire de la haute pression.

Fait étonnant, les femmes médecins obtiennent une meilleure note, alors qu’elles font régulièrement des diagnostics de haute pression chez leurs patients plus jeunes.

C’est d’ailleurs une femme, Heather Johnson, qui est à la tête de l’étude. Elle déclare : « Les jeunes adultes de 18 à 24 ans qui passent dans les cliniques se font pourtant tester au niveau de la pression sanguine. Cependant, il n’y a aucune documentation, et les diagnostics réels sont rares. Nous voulons savoir pourquoi ».

On suggère aux jeunes patients de prendre le temps de poser des questions à cet effet lors de leurs visites chez le médecin de famille.