Catégories
Uncategorized

Un geste simple pour ne pas crouler sous la pression

Une nouvelle étude démontre qu’un tout petit geste pourrait améliorer la résistance à la pression, selon nlm.nih.gov.

Le secret résiderait dans la main gauche!

En effet, il semble que de simplement presser une balle (les balles antistress, par exemple) de la main gauche aurait un effet bénéfique sur le cerveau.

Les mêmes effets seraient observables en pliant simplement la main gauche à quelques reprises.

Ainsi, les gens qui doivent performer sous pression pourraient voir diminuer leur chance de s’écrouler dans les moments importants. Les athlètes, par exemple, sont des exemples parfaits de personnes qui peuvent bénéficier de ce « traitement ».

Les chercheurs allemands de l’étude ont testé leur théorie sur des joueurs de soccer, de badminton et des judokas. Les tests ont été effectués durant des pratiques et des compétitions.

L’étude, publiée dans le Journal of Experimental Psychology: General, conclut que les droitiers qui pressent une balle dans leur main gauche avant une compétition ont une meilleure résistance à la pression que ceux qui font le même geste, mais de la main droite.

On peut donc déduire que la main gauche a bel et bien un effet sur le cerveau, activant l’hémisphère droit. Les données concernant les gauchers n’ont pas été compilées.

Catégories
Uncategorized

Le gène de la minceur chez la femme, héréditaire?

Le culte de la minceur est omniprésent dans notre société moderne, au point de créer plusieurs problèmes sociaux, spécialement chez les femmes, dans les dernières années.

Boulimie, anorexie, troubles alimentaires divers, obsession des régimes, entraînement excessif, voilà autant de problèmes qui peuvent apparaître chez les gens obsédés par la minceur.

Voilà que des chercheurs croient qu’il est possible que l’hérédité joue un rôle dans le degré de pression sociale ressenti par les femmes. En effet, une étude reprise par nlm.nih.gov explique que la moitié des facteurs qui causent une obsession de la minceur serait due au bagage génétique.

En d’autres termes, ce n’est pas que les médias et les magazines de mode qui seraient à blâmer, mais aussi l’environnement immédiat et les proches de celles qui possèdent déjà cette tendance génétique.

Cynthia Bulik, directrice de l’University of North Carolina Eating Disorders Program, explique : « En principe, fondamentalement, nos comportements varient en fonction de notre réaction face aux éléments de notre environnement. Donc, si une personne réagit plus fortement aux images véhiculées par les médias ou à la pression des pairs, une partie de cette réaction est certainement causée par une susceptibilité génétique prédéterminée ».

Catégories
Uncategorized

Ronfler durant la grossesse mènerait à la prééclampsie

Les chercheurs de l’Université du Michigan ont découvert que plus du quart de 1700 femmes se mettait à ronfler durant leur grossesse.

Elles doublaient ainsi leur risque d’avoir une pression sanguine élevée par rapport aux femmes qui ne ronflaient pas.

Si la haute pression sanguine n’est pas traitée, les femmes peuvent développer de l’éclampsie qui peut menacer leur vie et celle de leur enfant.

« Nous savons déjà que la haute pression sanguine, particulièrement la prééclampsie, est associée à de plus petits bébés, à des risques plus élevés de naissances avant terme ou de bébés qui se retrouvent à l’unité de soins intensifs », explique l’auteure principale de la recherche, Louise O’Brien.

Rappelons qu’il serait également possible de détecter la prééclampsie chez la mère et de prendre des précautions plus tôt durant la grossesse, en observant la grosseur du thymus du fœtus.

Le thymus du fœtus chez les femmes atteintes de prééclampsie serait significativement plus petit que chez les bébés des femmes en bonne santé, selon une étude menée par des chercheurs australiens de la Sydney Medical School Nepean.

Catégories
Uncategorized

Trop manger : les enfants sont sous pression

Que ce soit pour terminer leur assiette, manger de force des légumes qu’ils ne veulent pas avaler ou simplement les obliger à se nourrir lorsqu’ils n’ont pas faim, ces mauvaises habitudes sont le fruit, bien souvent, d’une mauvaise conception de la faim et de la satiété.

L’étude, mentionnée sur le site medicalnewstoday.com, indique que les jeunes enfants âgés de 2 à 4 ans, dont au moins l’un des parents est obèse ou en surpoids, peuvent éviter l’obésité plus tard. Pour ce faire, les parents doivent appliquer la technique « DOR » ou Division de responsabilité.

Le principe a pour but d’enseigner aux parents à laisser l’enfant choisir la quantité de nourriture qu’il souhaite ingérer, sans le forcer à se gaver. S’il n’a pas faim au repas, il faut l’accepter.

Il a été démontré que les parents en surpoids qui suivaient un régime pour modifier leurs habitudes alimentaires étaient plus enclins à forcer leurs enfants à manger, puisqu’il s’agissait d’aliments santé. En contrepartie, les parents qui appliquaient le principe DOR transmettaient un meilleur enseignement de bonnes habitudes alimentaires à leurs enfants.

Le Dr Agras, qui a mené l’étude, affirme que tout parent « doit améliorer ses efforts pour enseigner la façon adéquate de se nourrir, en choisissant des aliments santé. Mais dans tous les cas, il faut éviter de mettre de la pression pour que l’enfant se nourrisse ».

Catégories
Uncategorized

La ligne est mince entre l’encouragement et la pression parentale

« Je crois que ça dépend entièrement de l’enfant. Si c’est sa passion, qu’il aime faire un sport et qu’il vise la compétition de haut niveau, alors les parents devraient le supporter de toutes les façons possibles », selon la championne de balle molle, Jennie Finch, interrogée sur le sujet.

Dans le livre qu’elle a publié en 2009, intitulé Throw Like A Girl : How To Dream Big and Believe In Yourself, Finch raconte comment son père l’a aidée à atteindre son objectif en la poussant à aller toujours plus loin.

Toutefois, il faut savoir quand cesser de pousser. Jennie Finch a d’ailleurs souligné que si le parent pousse son enfant sans que celui-ci semble si passionné, ce sera plus éprouvant pour tout le monde.

« Je crois en l’encouragement des enfants à donner leurs meilleurs efforts lorsqu’ils jouent, à prendre un engagement et à l’honorer, mais à la fin de la saison, c’est le temps de demander “As-tu aimé ça?” ou “Aimerais-tu mieux ce sport si tu jouais avec une autre équipe?” ou “Voudrais-tu jouer à autre chose?” », explique-t-elle.

Rappelons qu’en ce début des Jeux olympiques, il est bien d’encourager vos enfants à s’inspirer des meilleurs athlètes du monde. Ils ont le pouvoir de les faire rêver par leur performance. Il n’est pas rare qu’après une médaille ou un nouveau record, certains jeunes se lancent dans tel ou tel sport.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Une avancée importante pour le glaucome

Ce sont des chercheurs de l’Inserm qui sont parvenus à de tels résultats, rapporte le PLoS ONE.
 
Le glaucome est la deuxième cause de cécité dans le monde. Il cause la destruction progressive du nerf optique et une altération irréversible des fonctions visuelles. Il se caractérise par une augmentation anormale de la pression dans l’œil.
Les chercheurs ont découvert qu’en bloquant un récepteur de certaines molécules de l’inflammation, les chimiokines, on parvient à réduire la pression dans l’œil et rétablir l’écoulement normal de l’humeur aqueuse. Au final, cela permet de protéger la rétine et la vue.
 
Ces molécules jouent un rôle important dans la dégénérescence des tissus. En les ciblant, on obtient donc d’excellents résultats, du moins jusqu’à présent, comme le démontrent les études.
 
Cette découverte pourrait conduire à de nouveaux traitements du glaucome qui cibleraient l’origine de la maladie, et non seulement les symptômes.
 
Catégories
Uncategorized

L’obésité n’affecte pas nécessairement la pression sanguine

Une étude effectuée en Louisiane a permis de démontrer que le taux d’obésité chez les enfants et les adolescents a presque triplé durant les 20 dernières années. Cependant, la pression sanguine n’a pas pour autant augmenté chez ces jeunes gens.

Durant l’étude, en fait, la pression sanguine n’a pas évolué de façon constante. Par exemple, parmi les jeunes filles de race blanche, le niveau d’obésité a monté de 7,9 à 14,4 %, tandis que la pression systolique est tombée de 103 à 101 mm Hg et que la pression diastolique est passée de 64 à 61. Pendant ce temps, la pression sanguine passait de 9,4 à 5,2 %.

En fait, seulement 154 enfants obèses sur 11 478 avaient une pression sanguine élevée. En ce sens, le traitement de l’obésité infantile ne réduirait pas nécessairement les futurs risques pour la santé.

Rappelons que selon des données parues dans l’International Journal of Obesity, un enfant obèse s’exposerait hors de tout doute à des risques pour sa santé adulte. Et réduire son indice de masse corporelle aurait un certain effet protecteur, quoique léger.

Catégories
Uncategorized

Ces parents qui regrettent d’avoir eu des enfants

« Si c’était à refaire, je ne le ferais pas » et « Sans enfant, je suis beaucoup plus heureux » sont des citations que vous avez peut-être déjà entendues dans votre entourage.

Ces mots prennent tout leur sens avec un sondage réalisé par RTL.be/Ivox en Belgique. Cette enquête a permis d’établir que 13 % des parents belges — et probablement une proportion équivalente dans d’autres pays — regrettent leur choix de vie.

Il semblerait même que le temps n’arrange pas les choses, car il y aurait plus de remords chez les parents plus âgés. Parmi ces 13 % de parents qui déplorent la parentalité, 6 % sont de jeunes parents de moins de 30 ans, et 14 % ont de 30 à 49 ans.

Il a été démontré que le niveau d’études pouvait également avoir un impact sur la façon dont était vécu le rôle de parents. En effet, ce sont 17 % des parents au niveau d’éducation plus faible qui regrettent, contre moins de 10 % des parents au niveau d’éducation plutôt élevé.

Alors que la société dresse un tableau parfait de la famille, du bonheur d’avoir des enfants et du sentiment de réalisation que la parentalité peut apporter à un couple, une mère de deux enfants, Corinne Maier, déçue par la maternité, a écrit le livre No Kid : quarante raisons de ne pas avoir d’enfant.

Pour ceux et celles qui se sentiraient jugés, anormaux ou qui aimeraient se comparer pour se consoler, découvrez les différentes raisons valables de ne pas procréer, selon cette auteure.

Catégories
Uncategorized

Des oranges pour abaisser la pression artérielle

Des doses élevées de vitamine C peuvent faire chuter significativement la pression artérielle, réduisant donc du même coup les risques de troubles cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux.
 
« Notre recherche suggère un effet d’abaissement de la pression artérielle avec la supplémentation en vitamine C, mais avant que nous puissions recommander des suppléments pour le traitement de l’hypertension artérielle, d’autres recherches sont nécessaires », explique le Dr Edgar Pete R. Miller.
 
Après avoir analysé 29 études, on constate que 500 mg de vitamine C par jour (environ six verres de jus d’orange), représentant cinq fois l’apport quotidien recommandé, peuvent réduire rapidement la pression artérielle.
 
Parmi les autres moyens de réduire la pression, on note l’exercice physique, la perte de poids et la réduction de la consommation de sel.
 
Comme les fruits et légumes contiennent de la vitamine C, ils représentent un choix santé intelligent et bénéfique contre l’hypertension.
 
Catégories
Uncategorized

Le vélo dommageable pour les femmes?

Récemment, une étude disait que les hommes qui faisaient régulièrement du vélo pouvaient voir leur santé sexuelle en être affectée.
 
Selon le New York Times, de nouveaux résultats démontrent que ces dommages concernent aussi les femmes.
 
En fait, plus le guidon est bas et plus cela pose problème. Plus une femme doit se pencher pour l’atteindre, plus elle exerce une pression dans des zones sensibles de la région pelvienne. Cela peut entraîner des engourdissements et, éventuellement, une dysfonction sexuelle.
 
Les chercheurs ont suivi 48 femmes qui faisaient du vélo régulièrement, à raison de 16 km ou plus par semaine, pour en arriver à ces résultats.
 
Bien que des recherches plus approfondies soient nécessaires, on mentionne que d’utiliser des selles sans « nez » serait l’option la moins dommageable, tant pour les hommes que pour les femmes, car cela diminuerait la pression sur la zone pelvienne.