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Manger plus durant une fête simplement pour plaire

Durant une fête, les personnes les plus sensibles aux sentiments des autres auront tendance à manger même si elles n’ont pas faim, simplement pour faire plaisir à leurs hôtes. De cette façon, elles croient pouvoir garder l’harmonie et rendre l’autre à l’aise.
 
Cependant, cette pression sociale que ressentent ces personnes fait en sorte qu’elles regrettent bien souvent leur geste par la suite, rapporte le Journal of Social and Clinical Psychology.
 
101 personnes ont participé à cette recherche en répondant à un questionnaire sur les tendances pour plaire aux autres. On leur a ensuite donné un bol de friandises. Celles qui se révélaient vouloir le plus plaire dans leurs réponses ont consommé plus de friandises.
 
Ces personnes croient qu’en ne touchant pas les hors-d’œuvre et plats préparés par leurs hôtes lors d’une réception, elles vexeront les gens qui ont tout organisé.
 
Pourtant, manger lorsque l’on ne ressent pas la faim, et surtout simplement pour plaire, risque fort bien de mener à une prise de poids non désirée, encore plus dans le cas où la vie sociale est bien remplie.
 
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De plus en plus de jeunes sautent des repas

Il est troublant de constater que de plus en plus de jeunes prennent de très mauvaises habitudes. Selon le Daily Mail, nombreuses sont les jeunes filles d’à peine 10 ans qui commencent à sauter des repas et éliminer les aliments essentiels dans l’espoir d’avoir un corps parfait.
 
L’étude faite sur 83 000 jeunes démontre qu’ils sont énormément influencés par les célébrités et l’image corporelle dépeinte dans les médias.
 
Ainsi, le tiers des fillettes de 10 ans interrogées disaient avoir sauté le petit déjeuner, et 24 % avaient également sauté le dîner de la veille. Cette proportion augmente avec l’âge, car chez les 14-15 ans, ce sont les deux tiers qui ne prennent pas le petit déjeuner.
 
Malheureusement, 40 % des garçons et des filles évitent de consommer des protéines et le quart dit aussi consommer régulièrement des croustilles, des friandises et du chocolat.
 
De plus, ils ont tendance à adopter d’autres habitudes malsaines comme fumer et consommer de l’alcool. Les résultats de cette recherche montrent que des jeunes de 12 ans seulement consomment l’équivalent de 19 verres de vin par semaine. La plupart des jeunes boivent de l’alcool à la maison.
 
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La pression des autres commence tôt

On apprend dans Child Development que la pression exercée par nos pairs s’entame dès la petite enfance. Après avoir suivi 96 enfants (filles et garçons) de 4 ans, des chercheurs des Pays-Bas ont remarqué que notre jugement était déjà influencé par le point de vue des autres durant la petite enfance.

En observant ces enfants d’âge préscolaire au sein d’un groupe, ils ont noté que leur opinion se conformait au jugement de la majorité, lorsqu’ils étaient confrontés à une situation donnée.

Il semble que ce conformisme détienne un rôle clé dans l’acquisition d’un répertoire comportementale de groupe. En d’autres mots, dès la petite enfance, lorsque nous sommes confrontés à une idée qui va à l’encontre de nos croyances et de nos valeurs, nous suivons quand même très souvent le point de vue de la majorité.

Pour tirer ces conclusions, on a procédé à deux expérimentations. Dans la première, on demandait l’avis des enfants quant à des situations présentées dans des livres. Au cours de la deuxième, ils devaient observer des images d’animaux à la lumière et à la pénombre, puis répondre à une question.

Dans les deux cas, les enfants en venaient souvent à revoir ou à façonner leur réponse en fonction de celle du groupe. Ces résultats s’expliquent par le fait que le conformisme a des raisons sociales. On tente, par exemple, d’éviter les conflits au sein d’un groupe en agissant ainsi.

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La dépression affecte beaucoup plus les femmes

Les femmes âgées de 16 à 42 ans sont deux fois et demie plus susceptibles de vivre une dépression que les hommes. La raison en serait la pression pour arriver à concilier famille et travail, comme le démontre une vaste étude européenne dévoilée par le Telegraph.
 
S’occuper des enfants, assumer les responsabilités familiales et tenter de conserver son emploi sont des facteurs qui font en sorte que le nombre de cas de dépression chez les femmes a doublé en l’espace de 40 ans.
 
De plus, que ce soit pour les hommes ou les femmes, la dépression frappe de plus en plus jeune. Ainsi, les premiers symptômes apparaissent en moyenne chez les personnes de 19 ans, alors que dans les années 70, c’était autour de 26 ans.
 
Les femmes âgées de 25 à 40 ans ont même jusqu’à quatre fois plus de chances de souffrir d’une dépression.
 
L’étude révèle également que le mariage diminue les risques de dépression chez les hommes, mais les augmente pour les femmes.
 
En plus des dépressions, on observe aussi d’autres problèmes mentaux comme les troubles bipolaires ou anxieux, l’insomnie, la toxicomanie et la schizophrénie.
 
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Manger diminuerait la mauvaise humeur

Dans une situation de stress, de nombreuses personnes mangent plus et pour cause, la nourriture permettrait de diminuer la mauvaise humeur.
 
Selon une recherche parue dans le Genius Beauty, le tiers des employés se tournerait vers la nourriture en période de stress afin de lutter contre des sentiments désagréables.
 
Certaines personnes consomment également une collation afin de refaire le plein d’énergie pour les aider à passer à travers une journée épuisante.
 
L’étude révèle aussi que le stress ferait adopter une alimentation malsaine, puisque 80 % des salariés avouent que dans une telle situation, ils mangent plus de malbouffe, d’aliments sucrés ou autres produits malsains pour la santé.
 
25 % des 3 000 répondants affirment que la nourriture les aide à se calmer après qu’ils se soient disputés avec leur partenaire. Pas étonnant donc que manger soit considéré comme une source de réconfort.
On estime qu’une personne pense à la nourriture en moyenne pendant 1 h 40 par jour au total.
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Les parents homosexuels ressentent plus de pression

Les experts demandent de soutenir davantage les familles de couples du même sexe. Ces parents peuvent ressentir plus de pression sur le fait d’élever un enfant hétérosexuel.
 
Le journal Family Process affirme que les couples homosexuels sentent encore que pour prouver qu’ils sont de bons parents, leurs enfants doivent absolument être hétérosexuels. Pourtant, la fréquence de l’homosexualité n’est pas plus élevée chez un couple de même sexe qu’un couple hétérosexuel.
 
La société devrait changer de mentalité, car des recherches ont prouvé que les enfants qui grandissent au sein d’une famille avec un couple de gais, lesbiennes, bisexuels ou transgenres sont psychologiquement sains. De plus, ils sont souvent meilleurs à l’école et ont une incidence à avoir moins de problèmes sociaux que leurs pairs.
 
Ces familles différentes ne devraient donc pas être jugées aussi sévèrement ni pointées du doigt, mais plutôt recevoir le même soutien que les familles traditionnelles.
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Le bouche-à-bouche n’est pas toujours nécessaire

On mentionne depuis longtemps que pour sauver une personne, il faut faire non seulement des pressions sur la poitrine, mais également lui insuffler de l’air par le bouche-à-bouche.
 
Le New England Journal rapporte deux nouvelles études qui expliquent que seules les pressions sur la poitrine peuvent suffire à sauver une personne.
 
Cette méthode doit être préconisée, car elle est plus simple et de plus en plus de personnes se disent aptes à exécuter cette manœuvre de réanimation avec les instructions d’un répartiteur par exemple.
 
Dans la majorité des cas, le bouche-à-bouche ne serait pas nécessaire. Selon le Dr Arthur Kellerman, un expert en médecine d’urgence, ces nouvelles instructions doivent être connues de tous, car elles permettraient de sauver plus de vie annuellement. À ce jour, seulement 6 % des victimes d’un malaise cardiaque à l’extérieur de l’hôpital survivent.
 
De plus, il est primordial que la personne qui doit exécuter les pressions sur la poitrine puisse compter sur un bon répartiteur afin de recevoir des instructions claires en attendant l’arrivée des ambulanciers, qui prendront alors le relais.
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Diminuer la consommation de boissons sucrées abaisse la pression artérielle

Des chercheurs louisianais ont découvert que la consommation de boissons sucrées, comme les jus avec sucre ajouté, les boissons gazeuses ou le thé glacé, favorisait l’augmentation de la tension artérielle.
 
La revue Circulation rapporte les résultats de leur étude sur 810 adultes qui ont été suivis pendant 18 mois. Tous étaient prédisposés à l’hypertension. Au cours de l’étude, on a mesuré leur pression à plusieurs reprises et recueilli les données sur leur alimentation.
 
En cours de route, chacun a modifié une partie de ses habitudes alimentaires. Ainsi, 270 participants ont diminué leur consommation de boissons sucrées. Les chercheurs ont noté qu’une diminution de 375 ml par jour avait des effets positifs sur la baisse de la pression artérielle.
 
Par contre, il n’y avait aucune incidence en ce qui concerne les boissons diététiques ni celles avec de la caféine. En fait, c’est le sucre qui pose problème. Une diminution de la consommation de sucre dans l’alimentation en général diminue la pression sanguine.
 
Comme on ignore encore quel mécanisme incite le sucre à augmenter la pression, d’autres études seront effectuées en ce sens.
 
Les boissons sucrées sont la principale source de sucre pour les Américains, qui en consomment en moyenne 875 ml par jour.
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Trop de pression sur les enfants

Les parents veulent ce qu’il y a de mieux pour leurs enfants. Ils s’attendent à ce qu’ils soient les meilleurs, les plus beaux, les plus intelligents, mais ils oublient que l’enfance est avant tout un amusement, une période essentielle pour le développement des petits qui doivent appendre à leur propre rythme, rappelle Famili.
 
Parfois, les parents en font trop et remplissent toutes les cases de l’horaire de leur enfant, même le week-end, avec différentes activités. Les spécialistes recommandent d’observer votre enfant et d’écouter ses propres désirs avant de l’inscrire à une activité. De plus, il ne faut jamais oublier que les enfants ont besoin de ne rien faire, de rêvasser, de développer leur imagination. C’est essentiel à leur développement et leur équilibre.
 
On s’attend à ce que nos enfants aient le même rythme que nous, mais pour eux, cela représente un effort immense. Évitez les phrases comme « Dépêche-toi » ou « On est en retard », vous ne l’aiderez pas. Pour éviter la bousculade le matin par exemple, préparez tout ce qui peut l’être la veille et réveillez votre enfant une quinzaine de minutes plut tôt s’il le faut.
 
Les enfants sont fatigués, stressés, et ce, en très bas âge. Évitez de leur parler constamment de votre travail et de l’importance du travail bien fait pour ne pas se retrouver dans la rue, c’est trop lourd à porter pour de jeunes enfants. Ils apprendront les choses en temps et lieu.
 
Laissez-les souffler, disent les spécialistes, et ayez un moment dans la journée où vous lui serez totalement libre et où il est interdit de parler de l’école, du travail, de résultats ou de bonne conduite. Profitez de ce temps ensemble à ne rien faire s’il le faut, mais laissez vos enfants être des enfants.
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La solitude augmente la pression artérielle

Selon le Mail Online, la solitude fait augmenter la pression sanguine. Les personnes seules seraient plus susceptibles de développer de l’hypertension vers la fin de leur vie.
 
Selon une nouvelle recherche, le sentiment chronique de solitude augmente la pression artérielle et ce phénomène est plus prononcé chez les personnes de plus de 50 ans.
 
229 personnes de 50 à 68 ans ont participé à cette étude, la première à démontrer un lien entre la solitude et la pression artérielle. Même les personnes avec un niveau de solitude moins élevé étaient touchées.
 
Les chercheurs ajoutent que les personnes peuvent avoir une vie trépidante et un bon réseau social, il n’en demeure pas moins que plusieurs se sentent seules, ce qui les expose à un risque accru d’hypertension.
 
Par le passé, il avait été établi que les gens qui se sentent seuls avaient deux fois plus de risques de développer la maladie d’Alzheimer. Voilà que s’ajoute l’hypertension.