Catégories
Uncategorized

Multivitamines : Un manque de preuve pour affirmer leurs bienfaits

MedicalNewsToday rapporte les plus récentes publications de la part des Annals of Internal Medicine, dont l’une traite particulièrement des multivitamines et de certains de leurs bienfaits allégués sur la santé.

On s’attarde notamment au mythe qui veut que les multivitamines soient de précieuses alliées de la santé cardiovasculaire, et que leur consommation permette de réduire considérablement les risques de maladies cardiaques, de mortalité et de cancer. 

Pour les chercheurs impliqués dans ces récentes recherches, rien n’est pourtant moins vrai. À tout le moins, les preuves permettant d’en venir à de tels constats seraient trop faibles, voire inexistantes.

Seulement, les hommes ont semblé démontrer des statistiques plus basses en matière de cancer à la suite d’une consommation de multivitamines, sur une période d’au moins dix ans, mais les spécialistes ne sont pas prêts à en faire une généralité et croient qu’il serait naïf de tomber dans des constats faciles. 

Prétendre aux vertus miraculeuses ne vient en aide qu’aux compagnies productrices de ces produits, et les conclusions proposées dans les Annals of Internal Medicine invitent nettement à la prudence et au discernement. 

Catégories
Uncategorized

Le style de vie influence bel et bien notre ADN

Bien que plusieurs études et recherches avaient précédemment indiqué ce fait, une nouvelle publication confirme les impacts de nos choix de vie sur notre bagage génétique, selon Santé Log.

Cette plus récente étude allemande, parue dans le magazine Human Molecular Genetics, associe plusieurs comportements à des maladies découlant justement d’un changement sur le plan moléculaire.

Le tabagisme, le type d’alimentation, l’exercice physique, tous des facteurs connus depuis bien longtemps, qui s’avèrent capables de « modifier » notre ADN et de paver la voie à certaines maladies graves, comme le cancer ou le diabète notamment.

Sans modifier les gènes, l’hygiène et le style de vie provoqueraient certaines altérations qui sont visibles par l’équipe de chercheurs en tête de l’étude, ce qui confirme de façon convaincante les précédentes théories avancées par la communauté scientifique.

En contrepartie, ces découvertes permettent également d’en savoir plus sur de nouvelles possibilités de traitement cellulaire, le revers positif d’une médaille inquiétante.

Catégories
Uncategorized

La Lune influencerait directement le sommeil

Une pleine lune peut-elle vous garder éveillé la nuit? C’est la question que pose The National Library of Medicine, en rapportant une nouvelle étude sur les cycles de la Lune et du sommeil.

En provenance de Suisse et publiée par l’équipe de la neurologiste Sylvia Frey (Université de Basel), l’étude se base sur l’analyse de 33 sujets volontaires.

Ces derniers ont été invités à passer trois jours et demi dans un laboratoire du sommeil spécialement conçu pour tester la théorie. Ne pouvant ni voir l’heure ni la lumière extérieure, les sujets ont été observés lors de leurs phases de sommeil.

Après des analyses et des calculs précis, les chercheurs ont comparé leurs données avec celles du cycle de la Lune, afin d’en arriver à une conclusion claire en ce qui concerne l’effet de la Lune sur le sommeil.

« Beaucoup de gens se plaignent de troubles du sommeil lors d’une pleine lune. Ce sont des anecdotes, mais on l’entend de plusieurs personnes. Alors, un soir de pleine lune, on en a parlé et on a pensé que l’on pourrait retourner dans nos données et les aligner avec les dates de pleine lune », explique Sylvia Frey.

Cette dernière confirme non seulement l’effet de la Lune sur le corps et le sommeil, mais avoue sa totale surprise face aux conclusions démontrées. « Nous ne nous attentions pas à de telles différences », lance-t-elle en conclusion.

Catégories
Uncategorized

Les effets néfastes du stress sur la santé prouvés scientifiquement

(Relaxnews) – Le stress réduit l’espérance de vie, c’est ce que démontre une nouvelle étude britannique.

Pour cette étude publiée le 31 juillet dans la revue BMJ, des chercheurs ont pris en compte des données concernant plus de 68 000 adultes de 35 ans et plus, suivis dans le cadre du National Health Survey de 1994 à 2004.

Les chercheurs ont montré que les participants à cette étude souffrant ne serait-ce que d’angoisses passagères voyaient leur risque de mourir grandir de 20 % au cours des dix années suivantes, en comparaison avec les personnes ne souffrant pas de ces symptômes.

Les scientifiques ont pris en compte d’autres paramètres à risque en lien avec le stress, comme le fait de fumer ou de boire, mais aussi le manque de sport, la prise de poids ou des facteurs comme une pression artérielle élevée et le diabète.

Lors d’une autre étude, des chercheurs de Brigham et du Women’s Hospital de Boston ont découvert que les femmes souffrant d’anxiété phobique, comme le vertige, avaient des télomères plus courts (cette partie des chromosomes qui se raccourcit avec l’âge) que leurs pairs non phobiques.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Les pruneaux n’auraient pas d’effets laxatifs

Alors que l’on croit depuis longtemps que les pruneaux ont des effets laxatifs, il n’en serait rien.
 
Deux études rapportées par le Telegraph mentionnent qu’il n’existe aucune preuve satisfaisante pour établir un lien entre les pruneaux séchés et une fonction intestinale optimale. On n’a noté aucune différence significative entre les personnes qui consommaient des pruneaux et celles qui n’en mangeaient pas.
 
C’est l’Autorité européenne en sécurité alimentaire qui en arrive à cette conclusion, qui est toutefois contestée par certains autres experts. Ces deniers affirment que les pruneaux contiennent du sorbitol et du dihydrophenylisatin, qui sont reconnus pour avoir des effets laxatifs.
 
Les experts ajoutent également que les pruneaux contiennent des fibres qui favorisent l’amélioration des fonctions intestinales.
 
Ces conclusions semblent donc avoir soulevé un débat autour du fruit. Quoi qu’il en soit, il demeure un bon choix pour la santé, qu’il soit laxatif ou non.
Catégories
Uncategorized

Manger gras ne ferait pas grossir

Voici des résultats bien surprenants qui remettent en question une vieille croyance. L’apport alimentaire en lipides, à lui seul, ne ferait pas prendre du poids. C’est la conclusion à laquelle parviennent une série d’études scientifiques, selon NutriNews.
 
Après avoir analysé l’évolution annuelle du poids et de la consommation de lipides de près de 90 000 personnes âgées en moyenne de 53 ans, on n’établit aucun lien clair entre la consommation de gras et la prise de poids.
 
En fait, durant l’étude, l’apport énergétique quotidien de ces personnes en lipides (acides gras saturés, mono-insaturés et polyinsaturés) représentait 34 %. Sur un an, on a noté une prise de poids de 100 à 800 grammes.
 
Toutefois, après avoir tenu compte des autres composantes de l’alimentation et du mode de vie de chaque personne, les chercheurs ne peuvent établir une relation qui mettrait en évidence un lien entre une alimentation grasse et une prise de poids.
 
Ce ne sont donc pas seulement les gras les grands responsables du surpoids. Ainsi, imposer des régimes stricts et faibles en gras pourrait ne pas avoir les effets escomptés.
Catégories
Uncategorized

C’est prouvé : le sommeil embellit les gens

Voilà de quoi inciter les personnes à se coucher tôt et faire en sorte de bien dormir. Le British Medical Journal publie une étude qui prouve que le sommeil embellit.
 
Après une nuit de manque de sommeil, le visage est fatigué, creusé, cerné et sans éclat, ce qui le rend moins séduisant.
 
À l’Institut Karolinska en Suède, on a photographié 23 filles et garçons de 18 à 31 ans après une bonne nuit de sommeil réparateur et après une privation de sommeil.
 
Ensuite, 65 personnes, qui ne connaissaient pas le but premier de l’étude en question, ont classé les photographies selon le degré de séduction qui s’en dégageait.
 
La grande majorité des observateurs ont classé les photos après un manque de sommeil dans la catégorie des moins séduisantes. On soulignait que la personne n’avait pas d’éclat et avait surtout l’air très fatigué.