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Manger du poisson pour prévenir l’Alzheimer

La consommation de poisson et d’autres aliments riches en acides gras et en oméga-3 diminuerait les risques de faire de l’Alzheimer. Les composants huileux qui combattent l’inflammation diminuent les niveaux de protéines particulières qui nuisent à notre santé, les bêta-amyloïdes.

En fait, les protéines forment des amas dans le cerveau des gens souffrant d’Alzheimer, ce qui constitue l’une des caractéristiques principales de la maladie.

Un apport quotidien d’un gramme d’oméga-3 de plus que ce que les gens consomment en moyenne réduit de 20 à 30 % la bêta-amyloïde.

« Même s’il n’est pas facile de mesurer le niveau de bêta-amyloïde déposé dans le cerveau dans ce genre d’étude, c’est relativement facile d’en mesurer le niveau dans le sang, qui est, d’une certaine manière, semblable à celui du cerveau », explique le principal scientifique derrière cette recherche, le docteur Nikolaos Scarmeas du Columbia University Medical Centre de New York.

Les oméga-3 et les acides gras sont principalement trouvés dans des poissons comme le saumon, le maquereau et le hareng. De plus petites quantités se retrouvent aussi dans les noix, dans quelques légumes comme les choux de Bruxelles, ou encore dans les huiles végétales.

Rappelons que le poisson est un aliment qui contribue à la bonne humeur. L’huile de poisson augmente l’acide gras EPA dans le corps, qui fait souvent défaut chez les personnes déprimées.

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Les fraises et les bleuets pour prévenir le déclin de l’esprit

Le vieillissement du cerveau pourrait être repoussé de deux ans et demi chez les femmes âgées qui mangent beaucoup de baies. Ces résultats s’appliqueraient aussi aux hommes.

Les experts croient que ces bénéfices proviennent de la grande quantité de flavonoïdes présente dans les baies, ces antioxydants trouvés dans les plantes qui peuvent protéger de plusieurs maladies.

En fait, consommer plus de flavonoïdes pourrait amenuiser les effets néfastes du stress et de l’inflammation, qui sont d’importants facteurs de la détérioration de l’esprit.

Les cellules du cerveau sont particulièrement sensibles aux radicaux libres, que les antioxydants neutralisent.

Cependant, les experts ont prévenu que les femmes observées dans l’étude avaient, en plus de manger des petits fruits, de saines habitudes de vie, qui auraient pu influencer les résultats.

De plus amples études devront donc être faites. Malgré tout, les experts suggèrent que les petits fruits devraient faire partie de votre régime équilibré.

« Des études ont prouvé dans le passé que manger des petits fruits dans le cadre d’un régime sain dans la quarantaine pouvait aider à réduire les risques de démence », déclare le directeur de la recherche au Alzheimer Research UK.

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Une découverte qui pourra prédire et éviter la fausse couche

C’est parentcentral.ca qui nous rapporte la précieuse information. Des chercheurs britanniques du domaine de la fertilité ont développé une méthode efficace pour prédire quelles femmes seront le plus à risque de vivre une fausse couche.

Par cet intermédiaire, les médecins seront à même de déterminer les femmes qui pourront obtenir un traitement préventif et éviter que la grossesse soit interrompue.
 
C’est lors de la conférence de la Société européenne pour la reproduction et l’embryologie à Stockholm que les résultats de l’étude ont été dévoilés.
 
Parmi les 6 facteurs identifiés comme causes potentielles, les chercheurs ont réalisé que la combinaison de deux d’entre eux créait un bon « indice de viabilité de grossesse » (IVG). Il s’agit des niveaux de saignement et de présence de la gonadotrophine chorionique humaine (hormone de grossesse).
 
Kaltum Adam, de l’Hôpital St. Mary de Grande-Bretagne, responsable du projet, est fière des résultats : « Cette découverte permettra aux femmes à risque d’obtenir le bon traitement en évitant les conseils futiles, notamment, l’abstinence sexuelle, des tests sanguins inutiles, des scans aux ultrasons et les suppléments de progestérone. »
 
Elle ajoute : « D’autre part, les médecins auront des données probantes pour expliquer aux femmes qui ne peuvent éviter la fausse couche la raison pour laquelle il en est ainsi. »
 
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Prévenir la douleur chronique par le soja

Déjà, des chercheurs avaient observé que le soja diminuait la douleur chez les rats, mais cette fois, une équipe de l’Université McGill à Montréal tente de trouver le moyen de prévenir, avec cet aliment, la douleur chronique, une pathologie qui est définitive lorsqu’elle commence à se faire sentir.
 
Les scientifiques ont remarqué que lorsqu’ils soumettaient les rats à un régime alimentaire à base de soja, les effets pour prévenir la douleur étaient spectaculaires. Les premiers résultats ont été tellement difficiles à croire que l’équipe a procédé à d’autres examens et les conclusions étaient encore meilleures.
 
Le soja pourrait donc devenir une option différente des soulagements traditionnels, comme la morphine notamment.
 
Toutefois, avant d’encourager les gens à adopter un régime alimentaire à base de soja, une étude à grande échelle sur les humains est nécessaire. Pour les trois prochaines années, l’équipe de chercheurs va notamment évaluer cette option sur la douleur chronique ressentie par les femmes après une chirurgie pour un cancer du sein.
 
Les experts s’attendent à une réduction de la souffrance de près de 50 %.