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Le gingembre et ses étonnantes propriétés

Le gingembre n’est pas l’ingrédient le plus populaire dans les cuisines du monde entier, avouons-le. Cependant, ce n’est pas parce que celui-ci manque de propriétés bienfaitrices pour la santé, selon une analyse rapportée par MedicalNewsToday.

En effet, le site fait le résumé des vertus du gingembre sur la santé, et on lui découvre une foule de propriétés méconnues du grand public.

On explique d’abord que le gingembre est déjà utilisé à travers le monde pour traiter différents problèmes de santé comme la perte d’appétit, les nausées matinales ou découlant d’une intervention chirurgicale, les problèmes d’estomac et les coliques, notamment.

L’aliment pourrait aussi grandement aider les personnes aux prises avec des problèmes respiratoires, de bronchite chronique, de crampes menstruelles ou encore de douleurs musculaires.

Une liste impressionnante, qui ne s’arrête pas là.

On utilise aussi le gingembre pour traiter les brûlures, ainsi que dans bon nombre de produits commerciaux populaires comme les jus et certaines boissons, de même que dans certains produits contre l’acidité et la constipation.

Une étude impliquant 74 volontaires vient de plus confirmer ces propriétés, ce qui signifie qu’il n’y a plus de raison pour que la population en général n’incorpore pas le gingembre au sein de son alimentation!

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L’huile de poisson pourrait contrer les effets de l’alcool sur le cerveau

MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui se veut encourageante et qui prétend démontrer que la consommation d’huile de poisson peut contrer les effets dévastateurs de l’alcool sur le cerveau.

Une grande quantité d’alcool consommée régulièrement peut mener à des torts cérébraux irréparables et même à de la démence, qui est directement associée à ce type de problème de consommation d’alcool.

Selon les chercheurs de l’European Society for Biomedical Research on Alcoholism en Pologne, les oméga-3 retrouvés dans l’huile de poisson pourraient bien venir en aide aux gens qui se retrouvent dans cette grave situation.

Publiée et déposée dans le cadre du 14e congrès de l’ESBRA, l’étude démontre un effet positif vérifiable sur des rats.

Un groupe test de rongeurs s’est vu imposer un régime à forte teneur en alcool, alors qu’un deuxième a subi le même sort, mais doublé d’une consommation à forte teneur en oméga-3.

Les résultats sont aussi éloquents qu’étonnants, puisqu’on constate 95 % moins de dommages au cerveau des rats du deuxième groupe!

Les chercheurs, malgré leur enthousiasme devant cette belle découverte, ont tôt fait de mettre en garde les gens qui seraient tentés de continuer d’abuser de l’alcool, mais en avalant simplement des gélules d’huile de poisson.

Cependant, cette étude pourrait mener à plusieurs percées médicales intéressantes dans le futur.

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Près de 60% des cas de cancer de l’utérus pourraient être évités

Ce sont des statistiques spectaculaires et étonnantes que dévoile ici MedicalXpress, alors qu’un nouveau rapport prétend que 60 % des cas de cancer de l’utérus seraient en fait évitables grâce à l’adoption de nouvelles habitudes de vie.

On connaît bien les bienfaits et vertus sur la santé de l’exercice physique et d’une saine alimentation, mais la démonstration d’une possible prévention de plus de la moitié des cas de ce type de cancer est étonnante.

59 %, pour être précis, des diagnostics de cancer de l’utérus pourraient être évités chez si les femmes susceptibles de le développer faisaient attention à ce qu’elles mangent et pratiquaient 30 minutes d’activité physique par jour, en moyenne.

C’est le constat que propose un rapport déposé par l’American Institute for Cancer Research (AICR), en collaboration avec le World Cancer Research Fund International, le 10 septembre dernier.

« Le gras corporel peut produire des hormones qui favorisent le développement du cancer. On sait aussi que le taux de gras est relié aux inflammations chroniques, qui produit un environnement qui encourage le développement du cancer », résume Alice Bender de l’AICR.

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Certains aliments pourraient protéger du cancer du poumon

On le sait, la nutrition joue un rôle de premier plan en santé et en prévention de plusieurs maladies, qu’elles soient graves ou bénignes.

Il est cependant plus rare de voir des aliments associés de façon claire à la réduction de risques d’une maladie bien précise, la plupart des études se contentant de mentionner ce qui est « bon pour la santé ».

Un nouveau lien plus direct vient d’être établi entre certains aliments et le cancer du poumon, alors qu’ils pourraient faire baisser les risques de développer cette maladie, même chez les fumeurs!

C’est ce que rapporte Top Santé en dévoilant des données qui vantent les mérites de certains aliments en prévention du cancer du poumon. On mentionne notamment la quercétine, retrouvée dans les petits fruits, les oignons, les pommes et la laitue, entre autres.

Vient ensuite le soja ainsi que tous les produits faits à base de soja, bien entendu, qui permettraient une réduction des risques de cancer du poumon de 40 %!

Les légumes verts et les choux (chou-fleur, chou de Bruxelles, brocoli, etc.) seraient aussi de féroces défenseurs contre ce type de cancer, tout comme le thé vert et les aliments riches en vitamine B6.

Malgré tout, manger tous ces produits n’empêche pas qu’il est tout aussi bénéfique de cesser de fumer!

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Percée technologique majeure en matière de dépistage du cancer du poumon

Excellente nouvelle que celle rapportée par Radio-Canada voulant que des chercheurs canadiens soient parvenus à mettre au point un logiciel capable d’aider les spécialistes à détecter le cancer du poumon plus tôt chez les patients qui en sont atteints.

Analysant chaque situation et permettant un diagnostic plus rapide, basé notamment sur les caractéristiques physiques de chaque patient, le logiciel permet également de définir la meilleure option de traitement possible.

Moins de risque d’erreurs médicales, moins de douleurs inutiles, moins de chances de voir un patient être pris en charge trop tard, voilà autant de bonnes nouvelles qui accompagnent la création de ce système informatique.

Les spécialistes derrière le projet espèrent voir cette nouvelle façon de faire s’implanter rapidement en oncologie un peu partout à travers le pays, et ainsi améliorer les traitements, mais aussi la prévention.

Cette dernière n’est pas excellente, selon les informations obtenues, et les Canadiens ne subissent pas de dépistage systématique de la maladie.

Il est donc d’autant plus important de voir apparaître de nouvelles méthodes comme celle-ci, afin d’enrayer au maximum ce type de cancer, qui représente une forte portion, en moyenne, des décès au Canada.

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La moitié des gens souffrant d’hypertension l’ignorent complètement

The National Library of Medicine rapporte une étude qui trace un portrait assez sombre en matière de diagnostics d’hypertension.

Le problème ne réside pourtant pas dans les capacités à traiter le phénomène, mais plutôt à conscientiser les gens qu’ils en sont peut-être victimes.

Ainsi, toujours selon l’étude, près de la moitié des gens souffrant d’hypertension ignorent complètement leur condition, une ignorance qui peut mener à des problèmes de santé beaucoup plus sérieux, rappellent les experts.

L’étude internationale, proposée par le Population Health Research Institute (PHRI) of McMaster University and Hamilton Health Sciences, examine les données de près de 160 000 adultes de plus de 35 ans, et constate que non seulement la moitié des sujets ignorent qu’ils souffrent d’hypertension, mais que l’autre moitié ne semble pas pressée de recourir à des traitements!

« Les traitements visant à faire baisser la pression sanguine sont généralement peu coûteux et facilement disponibles. Malgré tout, un tiers seulement des patients commencent un traitement adéquat… », explique le Dr Salim Yusuf, qui participe à la recherche.

L’hypertension, si elle est traitable, peut néanmoins mener à de sérieux problèmes de santé cardiaques si elle n’est pas contrôlée médicalement.

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Une étude importante pour réduire les décès à l’accouchement

L’étude, qui a été menée avec succès par Sohni Dean et Zulfigar Bhutta, de la Aga Khan University à Karachi, met en lumière des interventions à mettre en place et à déployer auprès des femmes enceintes de milieux défavorisés ou même de classe moyenne.

La partie n’est pas encore gagnée, mais les chercheurs ont fait un travail de moine pour déterminer les mesures à prendre pour réduire les décès liés à l’accouchement. Les résultats détaillés sont sur le site PLoS Medicine. Il s’agit de la plus importante étude sur les soins préventifs prénataux à ce jour.

La priorisation des éléments à considérer comme un danger potentiel de décès a fait l’objet d’un long débat pour en venir à un consensus. Désormais, il reste à éduquer les femmes sur les risques associés à une grossesse problématique. Pour ce faire, Dean et Bhutta ont recommandé d’intégrer ces nouvelles mesures de prise en charge à la formation de tous les travailleurs de la santé. Ce sont eux qui sont les mieux placés pour accompagner les futures mères.

Les recommandations visent la prévention, notamment en faisant la promotion de l’espacement des naissances, la diminution des grossesses chez les adolescentes et, bien évidemment, l’environnement sans fumée pour les futures mamans.

Joel Ray et ses collègues de l’hôpital St Michael à Toronto accueillent cette initiative avec enthousiasme. Ils reconnaissent le travail colossal qui a été fait pour déterminer avec justesse une méthode d’accompagnement préventive et espèrent que ces mesures seront rapidement mises en place.

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Le sexe et le sommeil devant la télé pourraient contribuer à la dépression

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions étonnantes tirées d’une étude sur les troubles dépressifs en provenance du NHS, en Angleterre.

On y apprend qu’outre les facteurs de risques déjà connus en matière de dépression et de troubles de l’humeur, par exemple la vie sociale et amoureuse, l’argent et le stress professionnel, plusieurs autres peuvent venir s’ajouter à la liste et vous mener tout droit vers une dépression. Et certains ont de quoi surprendre…

À commencer par le sexe, qui semble laisser des traces de tristesse chez plusieurs personnes, malgré son effet bienfaiteur à très court terme. Un tiers des femmes, par exemple, ressentiraient cet effet retour, si l’on se base sur des chiffres issus d’une étude australienne.

Plus étonnant encore, un autre facteur de risque de la dépression serait de s’endormir devant la télévision. Si plusieurs personnes (célibataires surtout) semblent apprécier le doux ronron du téléviseur la nuit, il appert que ce dernier est très mauvais pour la santé mentale. Même son de cloche en ce qui concerne les ordinateurs et autres engins du genre.

Quelques autres facteurs sont également mentionnés, comme une baisse de consommation de viande rouge, une surutilisation de médicaments (surtout les antidépresseurs, ironiquement), et même votre posture lorsque vous êtes assis!

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Les problèmes mentaux et la drogue plus meurtriers que le sida

S’il est plus facile d’apposer des étiquettes et des statistiques sur des maladies précises comme le sida, par exemple, les troubles mentaux et de consommation de drogues demeurent, eux aussi, un grand fléau en cette ère moderne.

C’est exactement le constat que rapporte Santé Log, à la suite d’une étude publiée sur le sujet, qui classe maintenant les problèmes psychologiques et de drogues comme plus meurtriers que le sida et la tuberculose.

Selon les chercheurs américains et australiens qui se sont penchés sur des statistiques mondiales pour en arriver à ces conclusions, les décès liés à la consommation d’alcool et de drogues sont dramatiquement élevés.

Même chose pour les troubles et désordres psychologiques comme la dépression, les troubles bipolaires et du développement, la schizophrénie et l’anxiété chronique.

Les deux types de problèmes sont parfois intrinsèquement liés et mènent trop souvent à des suicides, des surdoses ou encore à d’autres problèmes de santé graves.

L’étude presse donc les organisations et spécialistes de la santé de partout dans le monde à placer ces troubles comme une priorité absolue des campagnes de sensibilisation et de prévention, dans le futur.

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Réduire les risques de dépression en vieillissant grâce au vin

Vieillir comme le bon vin pourrait bien être plus facile… grâce au vin!

En effet, selon les informations rapportées par Top Santé, le vin serait un allié de taille dans la prévention de la dépression chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge, soit de 55 à 80 ans, en moyenne.

C’est justement cette tranche d’âge qu’ont analysé des chercheurs espagnols lors d’une étude qui trace un lien direct entre la consommation de vin et une réduction des risques de dépression chez les gens à l’âge de la retraite.

« Nous avons sélectionné 5500 personnes âgées de 55 à 80 ans et, pendant sept ans, nous avons suivi leur état de santé psychologique et mis en parallèle leur consommation de vin. Nous nous sommes rendu compte que le risque de dépression était diminué en moyenne de 32 % chez les personnes qui buvaient de deux à sept petits verres de vin par semaine », explique Miguel Martinez-Gonzalez, de l’Université de Navarre.

Donc, en moyenne, l’effet optimal pourrait se faire sentir avec un verre de vin bu quotidiennement, mais les excès risquent d’apporter plus de problèmes qu’ils n’en règlent!

Comme l’élément clé de cette réduction des risques de troubles dépressifs est le resvératrol, on suggère aussi de consommer des petits fruits comme la canneberge ou les mûres, par exemple.