Catégories
Uncategorized

Connaissez-vous l’allergie solaire?

La saison estivale bat son plein et s’avère une excellente édition jusqu’à maintenant, au Québec.

Mais malgré tous les avantages et les bonheurs liés à la chaleur et au soleil, des problèmes y sont rattachés. C’est le cas de l’allergie solaire, ou lucite estivale, qui peut s’avérer franchement désagréable.

Selon Top Santé, l’allergie solaire est caractérisée par des éruptions cutanées qui peuvent apparaitre sur diverses parties du corps. On explique également que ce mal est plutôt réservé aux femmes, mais pas seulement celles qui arborent un teint naturel plus pâle comme les rousses ou certaines blondes.

En fait, on estime que 1 femme sur 10 serait frappée par le phénomène estival et que les premières manifestations se produisent souvent entre l’âge de 15 et 25 ans.

N’étant pas une allergie au sens médical, il n’existerait malheureusement aucun véritable traitement contre la lucite estivale. On conseille donc de limiter les expositions au soleil en temps et en nombre.

Si les éruptions deviennent trop importantes, consultez tout de même un médecin, qui peut y aller de solutions possibles. 

Catégories
Uncategorized

Les végétariens à risque d’une carence en vitamine B12

Végétariens, végétaliens et compagnie, attention! Votre style de vie sain peut aussi comporter certains risques, dont celui d’une carence en vitamine.

C’est ce qu’expliquent des chercheurs de l’United Graduate School of Agricultural Sciences of Tottori et du Department of Nutrition of the Junior College of Tokyo, qui publient une nouvelle étude sur le sujet.

L’un des principaux risques associés au végétarisme est une carence éventuelle en vitamine B12, souvent retrouvée dans les viandes et substituts comme le bœuf, le poisson, les œufs et le lait.

Plusieurs plantes peuvent contenir de la B12, mais les chercheurs expliquent aussi que la bactérie qui permet les apports nécessaires de la vitamine provient surtout de l’organisme des animaux.

Les apports provenant des plantes seraient difficilement utilisables concrètement pour le corps humain, rendant les végétariens à risque.

La vitamine B12 est notamment fort utile à la formation des globules rouges, et un apport trop minime de celle-ci peut mener à plusieurs problèmes de santé, comme l’anémie, explique Medical News Today.

L’étude, qui se veut un effort de sensibilisation, a été publiée dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry.

cute;gétariens, végétaliens et compagnie, attention! Votre style de vie sain peut aussi comporter certains risques, dont celui d’une carence en vitamine.

C’est ce qu’expliquent des chercheurs de l’United Graduate School of Agricultural Sciences of Tottori et du Department of Nutrition of the Junior College of Tokyo, qui publient une nouvelle étude sur le sujet.

L’un des principaux risques associés au végétarisme est une carence éventuelle en vitamine B12, souvent retrouvée dans les viandes et substituts comme le bœuf, le poisson, les œufs et le lait.

Plusieurs plantes peuvent contenir de la B12, mais les chercheurs expliquent aussi que la bactérie qui permet les apports nécessaires de la vitamine provient surtout de l’organisme des animaux.

Les apports provenant des plantes seraient difficilement utilisables concrètement pour le corps humain, rendant les végétariens à risque.

La vitamine B12 est notamment fort utile à la formation des globules rouges, et un apport trop minime de celle-ci peut mener à plusieurs problèmes de santé, comme l’anémie, explique Medical News Today.

L’étude, qui se veut un effort de sensibilisation, a été publiée dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

Le vaccin contre le VPH s’avère efficace

On confirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

onfirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

La carence en vitamine D et les capacités physiques

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui confirme et rappelle l’importance d’un apport suffisant en vitamine D, particulièrement lorsqu’on vieillit.

Selon l’étude, c’est près de 90 % de la population qui se retrouve avec une carence en vitamine D en vieillissant, une statistique alarmante.

Car cette vitamine permet, comme on le sait, d’augmenter la densité osseuse et de solidifier les os et les muscles de façon adéquate. Plusieurs études précédentes avaient également tracé un lien entre une carence en vitamine D et l’ostéoporose, notamment.

L’étude proposée ici base ses conclusions sur l’analyse de plus de 1 300 individus, tous âgés de 55 à 88 ans, suivis durant une période de 6 ans.

Les conclusions, publiées dans l’édition du 17 juillet du Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, démontrent que 70 % des gens qui souffrent d’un problème de limitation physique ont une carence en vitamine D.

he National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui confirme et rappelle l’importance d’un apport suffisant en vitamine D, particulièrement lorsqu’on vieillit.

Selon l’étude, c’est près de 90 % de la population qui se retrouve avec une carence en vitamine D en vieillissant, une statistique alarmante.

Car cette vitamine permet, comme on le sait, d’augmenter la densité osseuse et de solidifier les os et les muscles de façon adéquate. Plusieurs études précédentes avaient également tracé un lien entre une carence en vitamine D et l’ostéoporose, notamment.

L’étude proposée ici base ses conclusions sur l’analyse de plus de 1 300 individus, tous âgés de 55 à 88 ans, suivis durant une période de 6 ans.

Les conclusions, publiées dans l’édition du 17 juillet du Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, démontrent que 70 % des gens qui souffrent d’un problème de limitation physique ont une carence en vitamine D.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

Percée prometteuse dans la lutte à la trisomie 21

La trisomie 21, ou syndrome de Down, frappe de plein fouet plusieurs petits patients et leurs parents, encore aujourd’hui.

Des chercheurs de partout travaillent d’arrache-pied pour tenter de mieux comprendre le syndrome, pour ainsi tenter de l’éradiquer.

C’est justement le cas d’une équipe de chercheurs de l’Université du Massachusetts, rapporte le Daily Mail (G.-B.), qui croit avoir fait une percée intéressante dans le domaine.

En effet, les spécialistes américains affirment avoir trouvé le moyen de « fermer » le chromosome 21, qui est responsable du syndrome de Down.

Ils expliquent avoir ajouté un gène du nom de « XIST » dans les cellules souches créées en laboratoire, ce qui aurait permis de régler le problème à sa source.

« La recherche signifie que nous avons une nouvelle façon, dès maintenant, d’étudier les bases cellulaires du syndrome de Down, ce qui pourrait contribuer à identifier des traitements », résume Dr Jeanne Lawrence, leader de ces recherches.

risomie 21, ou syndrome de Down, frappe de plein fouet plusieurs petits patients et leurs parents, encore aujourd’hui.

Des chercheurs de partout travaillent d’arrache-pied pour tenter de mieux comprendre le syndrome, pour ainsi tenter de l’éradiquer.

C’est justement le cas d’une équipe de chercheurs de l’Université du Massachusetts, rapporte le Daily Mail (G.-B.), qui croit avoir fait une percée intéressante dans le domaine.

En effet, les spécialistes américains affirment avoir trouvé le moyen de « fermer » le chromosome 21, qui est responsable du syndrome de Down.

Ils expliquent avoir ajouté un gène du nom de « XIST » dans les cellules souches créées en laboratoire, ce qui aurait permis de régler le problème à sa source.

« La recherche signifie que nous avons une nouvelle façon, dès maintenant, d’étudier les bases cellulaires du syndrome de Down, ce qui pourrait contribuer à identifier des traitements », résume Dr Jeanne Lawrence, leader de ces recherches.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

 
Catégories
Uncategorized

Prévenir les intoxications par les oeufs

Les œufs sont un puissant allié de la santé lorsque consommé avec modération et intelligence, mais ils peuvent aussi se retourner contre le consommateur lorsque manipulés avec négligence.

C’est la mise au point que tenait à faire le CDC américain, des recommandations rapportée par The National Library of Medicine, qui traitent des précautions à prendre avec l’aliment, souvent en cause dans des cas d’intoxications alimentaires.

D’abord, et par cette chaleur, le CDC rappelle que les œufs doivent être conservés à une température de 40 degrés Fahreineit ou moins, soit 4,4 en Celcius, en moyenne.

Du même coup, on rappelle l’importance de se procurer les œufs chez des producteurs ou des établissements qui utilisent un système de réfrigération adéquat, et qu’il faut jeter tout œuf craquelé, sale, ou endommagé.

Il faut éviter de consommer des œufs qui auraient passé plus de deux heures à la température de la pièce, ou qui ne sont pas suffisamment cuits. Cette dernière recommandation s’applique souvent dans les restaurants…

Le CDC rappelle que la pasteurisation des œufs permet d’éliminer les germes et les risques de salmonelle, et qu’il est important de bien s’informer lors de l’achat ou en restaurant.

 

Catégories
Uncategorized

Manger des noix : un bénéfice à tous points de vue

Plusieurs études et analyses ont démontré les bienfaits des noix et leurs effets sur la santé.

Si la plupart de ces recherches ont déterminé des points plus précis, en voici une qui trace un lien plus général et qui accorde aux noix des vertus santé à tous points de vue.

Réduction des risques de maladie cardio-vasculaires, réduction des risques de cancer, et même réduction des risques de décès prématuré : voilà autant de conclusions auxquelles les chercheurs de l’Université de Rovira arrivent en analysant l’impact des noix sur la santé.

Medical NewsToday, qui rapporte l’étude et les propos du Pr Jordi Salas-Salvad, rappelle également les apports nutritifs importants provenant de la consommation de noix de toutes sortes.

« Les raisons exactes qui expliquent pourquoi les noix permettent de prévenir les décès prématurés ne sont pas encore toutes claires […], mais les fibres et minéraux comme le calcium, le magnésium et le potassium pourraient contribuer à cet effet santé », résume Salas-Salvad.

ieurs études et analyses ont démontré les bienfaits des noix et leurs effets sur la santé.

Si la plupart de ces recherches ont déterminé des points plus précis, en voici une qui trace un lien plus général et qui accorde aux noix des vertus santé à tous points de vue.

Réduction des risques de maladie cardio-vasculaires, réduction des risques de cancer, et même réduction des risques de décès prématuré : voilà autant de conclusions auxquelles les chercheurs de l’Université de Rovira arrivent en analysant l’impact des noix sur la santé.

Medical NewsToday, qui rapporte l’étude et les propos du Pr Jordi Salas-Salvad, rappelle également les apports nutritifs importants provenant de la consommation de noix de toutes sortes.

« Les raisons exactes qui expliquent pourquoi les noix permettent de prévenir les décès prématurés ne sont pas encore toutes claires […], mais les fibres et minéraux comme le calcium, le magnésium et le potassium pourraient contribuer à cet effet santé », résume Salas-Salvad.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

Des casques moins chers et tout aussi efficaces

La santé et la sécurité dans le sport constituent une donnée fort importante, et elle prend de plus en plus de place dans notre conscience collective et dans les médias.

Les commotions cérébrales, notamment, constituent le sujet le plus chaud depuis plusieurs mois, après qu’un nombre considérable de sportifs soient tombés au combat à la suite de cette blessure, que ce soit des joueurs professionnels ou des athlètes amateurs.

C’est vrai au hockey, mais aussi au football, un sport de plus en plus populaire au Québec. Il est donc tentant de se procurer des articles de sport plus chers afin d’assurer sa sécurité. Toutefois, ce n’est pas ce que suggère nécessairement une équipe de chercheurs du Wisconsin qui s’est penchée sur la question.

The National Library of Medicine rapporte en effet les conclusions de l’étude en question, selon lesquelles plusieurs casques moins chers et moins récents sont tous aussi efficaces et sécuritaires.

« La technologie des casques est aussi avancée qu’elle peut l’être. Ils ont fait un travail formidable. Nous n’avons plus de fracture du crâne au football », explique notamment l’auteur en chef de l’étude, Timothy McGuine.

On suggère donc de bien s’informer avant l’achat, mais de ne pas se ruiner sans raison.

anté et la sécurité dans le sport constituent une donnée fort importante, et elle prend de plus en plus de place dans notre conscience collective et dans les médias.

Les commotions cérébrales, notamment, constituent le sujet le plus chaud depuis plusieurs mois, après qu’un nombre considérable de sportifs soient tombés au combat à la suite de cette blessure, que ce soit des joueurs professionnels ou des athlètes amateurs.

C’est vrai au hockey, mais aussi au football, un sport de plus en plus populaire au Québec. Il est donc tentant de se procurer des articles de sport plus chers afin d’assurer sa sécurité. Toutefois, ce n’est pas ce que suggère nécessairement une équipe de chercheurs du Wisconsin qui s’est penchée sur la question.

The National Library of Medicine rapporte en effet les conclusions de l’étude en question, selon lesquelles plusieurs casques moins chers et moins récents sont tous aussi efficaces et sécuritaires.

« La technologie des casques est aussi avancée qu’elle peut l’être. Ils ont fait un travail formidable. Nous n’avons plus de fracture du crâne au football », explique notamment l’auteur en chef de l’étude, Timothy McGuine.

On suggère donc de bien s’informer avant l’achat, mais de ne pas se ruiner sans raison.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

Les canneberges en prévention des infections

Santé Log rapporte une étude publiée par des chercheurs basés à l’Université McGill, à Montréal, qui traite d’un possible effet préventif des canneberges sur plusieurs types d’infection.

On parle notamment des infections urinaires et de type nosocomial, qui apparaissent notamment dans les centres hospitaliers à la suite de l’utilisation d’appareils médicaux.

L’équipe de chercheurs de McGill, qui publie ses conclusions dans le Canadian Journal of Microbiology, croit que la consommation de canneberges devrait être mise de l’avant chez plusieurs patients hospitalisés, car elles permettent véritablement une prévention efficace.

C’est d’ailleurs la même équipe de McGill qui avançait des propriétés concernant l’E. coli récemment. Cette recherche confirmerait donc leurs hypothèses et pourrait s’avérer une excellente nouvelle.

Encore faudra-t-il que l’on puisse créer une méthode efficace de traitement préventif à base de canneberges et de distribution pour tous les patients. 

anté Log rapporte une étude publiée par des chercheurs basés à l’Université McGill, à Montréal, qui traite d’un possible effet préventif des canneberges sur plusieurs types d’infection.

On parle notamment des infections urinaires et de type nosocomial, qui apparaissent notamment dans les centres hospitaliers à la suite de l’utilisation d’appareils médicaux.

L’équipe de chercheurs de McGill, qui publie ses conclusions dans le Canadian Journal of Microbiology, croit que la consommation de canneberges devrait être mise de l’avant chez plusieurs patients hospitalisés, car elles permettent véritablement une prévention efficace.

C’est d’ailleurs la même équipe de McGill qui avançait des propriétés concernant l’E. coli récemment. Cette recherche confirmerait donc leurs hypothèses et pourrait s’avérer une excellente nouvelle.

Encore faudra-t-il que l’on puisse créer une méthode efficace de traitement préventif à base de canneberges et de distribution pour tous les patients. 

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

Se protéger soi-même contre les erreurs médicales par la proactivité

The National Library of Medicine publie une liste de recommandations qui s’applique parfaitement à la population québécoise. Elle traite des mesures et des moyens à prendre pour prévenir le plus possible les erreurs médicales.

On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

he National Library of Medicine publie une liste de recommandations qui s’applique parfaitement à la population québécoise. Elle traite des mesures et des moyens à prendre pour prévenir le plus possible les erreurs médicales.

On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net