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La sécurité des enfants autour de l’eau

Avec tous les incidents dont on entend parler chaque été, il est important de considérer toutes les façons possibles de garder nos enfants en sécurité. Sur le site Lovingyourchild, certaines précautions de base sont citées.

On mentionne entre autres bien évidemment de limiter l’accès à la source d’eau. Que ce soit une piscine, un lac, la mer, une rivière ou encore les glissades d’eau. Concernant les piscines, il est d’ailleurs interdit dans plusieurs villes d’en posséder une si une clôture de sécurité munie d’un système de verrouillage approprié ne l’entoure pas.

Bien entendu, la supervision d’une personne responsable est de mise en tout temps. Assurez-vous aussi d’avoir sous la main le nécessaire en cas d’incident. Aussi, si vous avez un téléphone portable, laissez-le à l’extérieur pour téléphoner sans perdre de temps.

Les enfants doivent être mis au courant des règlements. Respecter l’équipement, ne pas courir autour de la piscine, ne pas pousser, ne pas plonger si l’eau n’est pas assez profonde, ne jamais faire semblant de se noyer, etc.

Si les enfants sont dans l’eau depuis longtemps, imposez-leur une pause. Les jeunes ne s’en rendent pas toujours compte lorsqu’ils s’amusent, mais ils peuvent être plus fatigués qu’ils le croient. Il s’agira aussi d’un moment opportun pour remettre de la crème solaire.

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L’apigénine encore vantée par des spécialistes en nutrition

On vous parlait récemment des bienfaits du thé de camomille, explicables par la forte teneur en apigénine qu’il contient.

Voilà que l’ingrédient est de nouveau nommé et vanté par des spécialistes en nutrition qui publient une énième étude sur le régime méditerranéen, rapporte Medical News Today.

Cette fois, les chercheurs américains en tête de cette récente étude croient avoir mis le doigt sur la composante spécifique et commune aux aliments retrouvés dans la diète méditerranéenne, et qui pourrait expliquer pourquoi ce type de régime semble prévenir davantage du cancer et de certaines maladies graves et chroniques.

L’apigénine est donc mentionnée deux fois dans la même semaine par deux études différentes, ce qui semble valider ses bienfaits.

On reconnait à cette composante une propriété capable de rendre les cellules cancéreuses « mortelles », c’est-à-dire moins résistantes et plus faciles à contrer.

Ce genre d’étude est très pertinente dans le contexte actuel, puisque plusieurs aliments et types de régimes sont souvent vantés, mais sans que l’on comprenne véritablement la provenance ou la logique des bienfaits qui s’y rattachent.

L’apigénine semble apporter un début de réponse en ce qui concerne la diète méditerranéenne, notamment.

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Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.

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Bébé et les poux

Bébé se gratte la tête? Il se peut que, malgré qu’il n’en ait pas beaucoup, ses cheveux soit maintenant hôtes de vicieux petits poux.

Sur Famili.fr, le Dr Andreas Werner explique comment prévenir et se débarrasser de ces intrus. « On peut protéger son enfant des poux, mais pas à l’aide de traitements médicamenteux », prévient le pédiatre, membre de l’Association Française de Pédiatrie Ambulatoire (AFPA).

« Les répulsifs sont en effet réservés aux enfants de plus de 3 ans, et aucune étude ne montre que l’huile de lavande est efficace pour éviter une pédiculose », ajoute-t-il.

Attacher les cheveux des filles, mettre des chapeaux aux enfants et bien peigner leurs cheveux reste la meilleure prévention. Pour les enfants en âge de comprendre, il serait bien de leur expliquer de ne pas partager les articles qui pourraient aider la propagation de poux, comme les brosses et chapeaux.

« C’est plus embêtant pour un bébé d’avoir des poux, car il y a beaucoup de traitements qu’on ne peut pas utiliser chez les tout-petits », explique le docteur.

Il est déconseillé d’utiliser quelque traitement que ce soit sur les jeunes bébés. Il est plutôt suggéré d’utiliser un peigne à poux plusieurs fois par semaine et de leur raser la tête.

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Les propriétés anti-cancer de la tisane de camomille confirmées

Amateurs de thé et tisane, particulièrement celle à la camomille, vous pouvez vous réjouir! Depuis le temps que vous vantez les mérites de cette boisson et de cette plante, voici une nouvelle étude qui vous offre des arguments béton afin de consolider votre position.

Selon le Daily Mail (UK), des chercheurs basés en Ohio ont reconnu la propriété anti-cancer de l’apigénine, un ingrédient retrouvé dans la tisane de camomille.

L’apigénine permettrait de bloquer les pouvoirs, souvent très puissants, des cellules cancéreuses. Ce serait particulièrement vrai pour les cellules du cancer du sein, qui sont résistantes et jouissent d’une plus longue durée de vie, en moyenne.

Les ingrédients actifs de la tisane de camomille, à commencer par l’apigénine, permettraient ainsi de sinon tuer ces cellules maudites, à tout le moins en freiner la puissance et l’impact. Le corps serait aussi dans une meilleure prédisposition pour recevoir les différents traitements requis dans la lutte au cancer.

On note également la présence d’apigénine dans les fruits et les légumes, de quoi confirmer du même coup les vertus de la diète méditerranéenne…

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La vitamine B peut-elle prévenir de la maladie d’Alzheimer?

Plusieurs témoignages et résultats d’essais cliniques faisant état d’un possible effet préventif de la vitamine B contre certaines maladies dégénératives et cognitives comme la maladie d’Alzheimer ont été rapportés depuis quelque temps.

Ces théories se voient maintenant confirmées dans une nouvelle étude, publiée par le réputé journal Proceedings of the National Academy of Sciences, qui en arrive au même constat après avoir mené plusieurs essais sur des groupes de patients.

Selon cette plus récente étude, rapporte le Daily Mail (UK), les sujets du groupe test ayant reçu des apports en vitamine B se seraient vus presque entièrement protégés des effets observables au cerveau lors du développement de la maladie d’Alzheimer.

Des résultats d’autant plus concrets lorsqu’on les compare aux sujets du groupe ayant reçu un simple placebo. Ceux-ci n’ont été nullement protégés des symptômes comme le rétrécissement du cerveau, un signe alarmant d’Alzheimer.

Ce phénomène serait même réduit jusqu’à 90 % chez les consommateurs de vitamine B, ce qui surprend certains spécialistes. C’est le cas de Paul Thompson, professeur de neurologie à UCLA, qui déclare : « Je n’ai jamais vu de résultats de numérisations au cerveau qui démontraient ce genre de niveau de protection ».

On peut donc considérer qu’il s’agit d’un grand pas dans la quête de traitement de l’Alzheimer, ou à tout le moins dans sa prévention. D’autres études sont à prévoir afin de confirmer les effets de la vitamine B, les chercheurs étant maintenant en attente de financement dans le but de poursuivre leurs travaux. 

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Le café à la rescousse du foie

Santé Log rapporte une nouvelle étude sur le café, qui dévoile un autre bienfait de la boisson réconfortante. Manifestement, les années noires de la caféine sont révolues, et le café est presque unanimement conseillé par les divers spécialistes dans le domaine.

Cette fois, on vante les mérites du café pour ses effets protecteurs sur le foie, qui bénéficierait d’une baisse des risques de maladie grave chez les consommateurs de la boisson chaude.

En provenance de la fameuse clinique Mayo, l’étude a été présentée à la Semaine des maladies digestives, qui se déroulait cette fois à Orlando.

Elle fait état de réduction des risques de maladies reliées à la cirrhose, à l’insuffisance hépatique ainsi qu’au cancer.

Les spécialistes en tête de l’étude, à commencer par le Dr Craig Lambert, croient qu’il s’agit d’une découverte importante, puisqu’ils sont constamment à la recherche d’outils pour prévenir les maladies du foie.

La découverte des bienfaits d’un geste aussi simple et répandu que boire du café est donc une bénédiction pour ces chercheurs.

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Les effets pervers de la malbouffe pourraient être contrés par l’huile de poisson

Après quelques études parues récemment qui invalidaient certains bienfaits précédemment reconnus des oméga-3 et des huiles de poisson, en voici une nouvelle qui pourrait convaincre certaines personnes de s’en procurer.

Surtout celles qui aiment bien consommer de la malbouffe, rapporte Science Daily, car cette nouvelle propriété en serait une protectrice contre les frites, les sodas et les hamburgers de ce monde.

Plusieurs recherches démontrent depuis longtemps que la consommation de malbouffe a des effets bien réels sur le cerveau. Les quantités alarmantes de sel et de sucre contenues dans plusieurs repas populaires ne joueraient donc pas seulement sur notre poids et notre corps, mais aussi sur les performances mentales.

Or, après avoir analysé les données compilées de pas moins de 180 recherches sur le sujet, des chercheurs de l’Université de Liverpool sont arrivés à la conclusion que ce problème peut être contré par la consommation d’huile de poisson.

L’huile serait capable, notamment, de freiner les effets néfastes de ces aliments en stabilisant les taux de sucre et de gras, ce qui permet une meilleure protection du cerveau.

D’autres recherches sur le sujet restent à venir, mais les chercheurs britanniques en tête de l’étude semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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Compenser le stress professionnel par de saines habitudes de vie

Le stress dû aux activités professionnelles est l’un des importants facteurs de risque dans le développement de troubles cardiovasculaires et d’AVC, mais il semble qu’il soit au moins possible de changer la donne grâce à de bonnes habitudes de vie.

C’est le constat optimiste que propose une étude, rapportée ici par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs croient maintenant dur comme fer que les gens stressés par leur travail et ce qui l’entoure peuvent réduire les risques de crise cardiaque en adoptant des habitudes saines.

Cesser de fumer, de boire et de trop manger sont les trois premiers gestes à adopter, puisque ces facteurs de risque se décuplent lorsque mêlés au stress professionnel.

Publiées dans l’édition du 13 mai du Canadian Medical Association Journal, ces conclusions ont été tirées à la suite de l’analyse de données recueillies auprès de plus de 100 000 patients un peu partout dans le monde.

Pour les chercheurs en tête de l’étude, il ne fait aucun doute que les gens stressés par leur emploi ou leurs activités professionnelles ont leur mot à dire dans le développement ou non d’éventuels problèmes cardiaques.

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Réduire les risques de cancer du côlon liés au… barbecue

Vous avez bien lu, il semble que des risques de développer un cancer du côlon soient accrus lorsqu’on cuisine sur le barbecue, une activité bien populaire au Québec à l’arrivée de la saison estivale.

Heureusement, il existe des trucs pour réduire au maximum ces risques, comme le rapporte The National Library of Medicine.

D’abord, un grand pourcentage de ces risques est associé à l’utilisation de viandes rouges et transformées, souvent utilisées sur le grill en été.

Le choix de la viande est donc aussi important que la façon de la faire cuire, croient les spécialistes de l’American Institute for Cancer Research.

Il faudrait donc réduire ses apports en viandes rouges et transformées au profit des poissons et des volailles, qui peuvent devenir absolument succulentes avec l’ajout d’épices et de sauces typiquement estivales.

On conseille également de faire mariner sa viande préalablement durant environ 30 minutes, avant de l’apposer sur le grill. Il serait important de réduire le plus possible le temps passé à cuire la viande sur le barbecue, la durée de cuisson s’avérant un autre facteur de risque.

Pour terminer, servez les viandes et grillades avec des accompagnements abondants de légumes, et ne lésinez pas sur les fruits tout l’été pour contrecarrer les effets de vos écarts de conduite alimentaires estivaux!