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Quelques bières pour contrer l’arthrite chez la femme

Quelques bières consommées hebdomadairement pourraient s’avérer bénéfiques pour les femmes qui souhaitent ralentir ou réduire le risque de développement de l’arthrite rhumatoïde, rapporte The National Library of Medicine.

C’est une nouvelle étude en provenance de Harvard qui suggère les bienfaits de la bière chez la femme et qui en arrive à des conclusions étonnantes.

« La consommation modérée d’alcool à long terme pourrait aider à réduire le développement de l’arthrite rhumatoïde chez la femme », lance le Dr Bing Lu, auteur principal de l’étude.

Selon les chercheurs de l’équipe du Dr Lu, la consommation générale d’alcool, de façon modérée, permettrait une réduction d’environ 21 % des risques d’arthrite chez la femme, alors que la bière porterait la statistique à 30 %.

Attention cependant, on estime une consommation de bière modérée à trois ou quatre consommations par semaine.

L’étude s’étire depuis plusieurs années et se base sur l’analyse des dossiers médicaux de plus de 100 000 infirmières qui se prêtées au jeu et qui devaient répondre à des questions concernant leur santé et leurs habitudes de consommation chaque deux ans.

Les résultats de l’étude du Dr Lu ont été publiés dans l’édition printanière du magazine Arthritis & Rheumatism.

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Des chercheurs s’accrochent au virus de la variole

S’il est étonnant de prime abord d’apprendre que des chercheurs refusent de se défaire du virus de la variole et militent pour la survie des échantillons restants, la démarche est toutefois empreinte de logique.

C’est par l’entremise d’une lettre publiée dans le magazine Plos Pathogens qu’un comité international de chercheurs a exprimé ses craintes face à la volonté de plusieurs décideurs de détruire définitivement les derniers échantillons de variole, une maladie éradiquée depuis 1980.

Le raisonnement de ce regroupement de spécialistes est simple : pour éviter un retour de la maladie et assurer la possibilité d’un nouveau traitement, les échantillons restants doivent survivre. Les craintes des chercheurs se situent notamment en ce qui concerne une possible attaque biologique intentionnelle, ou encore à la suite du réchauffement climatique, qui pourrait « dégeler » certaines formes de ce virus virulent.

On attend donc maintenant le verdict concernant le sort de ces dangereux mais précieux échantillons, qui devrait tomber au cours des prochains mois, rapporte Top Santé.

 

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L’intimidation en baisse chez les jeunes Américains

Les campagnes de sensibilisation et la mobilisation globale de la population en matière d’intimidation semblent porter leurs fruits, à tout le moins de l’autre côté de la frontière.

The National Library of Medicine rapporte en effet une baisse générale du phénomène de l’intimidation chez les adolescents, aux États-Unis, depuis les dix dernières années.

L’étude proposée repose sur des sondages complétés auprès d’étudiants entre 1998 et 2010, et suggère que l’intimidation verbale et physique est en forte baisse. On parle même d’une réduction du phénomène de moitié, surtout chez les garçons.

« Au cours des récentes années, il y a eu plus d’attention accordée aux efforts anti-intimidation, comme des programmes et des politiques scolaires. On espère que ces efforts de prévention et l’attention additionnelle accordée au problème puissent être la raison de ce déclin », explique l’auteure de l’étude, Jessamyn Perlus.

Pendant ce temps au Québec, d’autres recherches semblent suggérer un effet contraire, mais de nouvelles études seront nécessaires pour offrir un véritable constat de la situation québécoise et canadienne.

Les résultats de l’étude rapportée ont été publiés dans l’American Journal of Public Health.

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L’explication des bienfaits du chocolat noir

Le chocolat, particulièrement le noir, est de plus en plus apprécié par les spécialistes en santé et au sein des études qui sont publiées en nutrition.

Notamment vanté pour ses capacités à protéger le cœur et de certaines maladies, le chocolat noir possède plusieurs qualités indéniables, s’accordent pour dire une majorité d’observateurs.

Entre autres, le chocolat noir possède une part importante de flavonoïdes, une substance naturelle qui permet la prévention de certaines maladies. D’accord, mais comment expliquer en clair ces bienfaits sur la santé?

Parce que le système digestif est incapable de le tolérer, répond le New York Times, qui rapporte de nouvelles études sur le sujet.

Des études en provenance des universités de Louisiane et Virginia Tech démontrent qu’une grande portion du cacao ingéré n’est tout bonnement pas digéré, et qu’il se disperse ensuite sous la forme de minuscules métabolites capables de s’intégrer au sang, notamment.

L’effet du cacao et de ses flavonoïdes est alors optimal, puisque non digéré de la même façon que plusieurs autres aliments par l’organisme.

Les chercheurs de Virginia Tech, qui publient ces résultats dans le The Journal of Agricultural and Food Chemistry, rappellent toutefois que le « cacao » n’est pas une « barre de chocolat », et qu’il est préférable de se le procurer dans ses formes les plus pures avant de l’intégrer à son alimentation.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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La barbe pourrait s’avérer un allié de la santé des hommes

Les hommes qui arborent la barbe sont nombreux. Et ceux-ci pourraient bien découvrir un nouvel avantage à ce choix de vie, si l’on se fie à une nouvelle étude australienne sur le sujet.

L’étude en question, rapportée par le Daily Mail (UK), explique que le port de la barbe permettrait de prévenir de certains problèmes de santé. Ce serait notamment vrai en ce qui concerne le cancer de la peau, les attaques de pollen et le vieillissement prématuré de la peau.

Si l’on comprend pourquoi la barbe permet un barrage des rayons UV, et donc une diminution des risques de cancer de la peau dû au soleil, on peut s’étonner d’apprendre que celle-ci agirait aussi comme filtre au pollen.

De plus, le port de la barbe permet de contrer le vieillissement de la peau visage, selon les chercheurs de l’Université du Queensland qui publient leurs observations, car celle-ci garde la peau hydratée en tout temps. Le rasage est également l’une des raisons qui expliquent souvent la sécheresse de la peau du visage chez les hommes, en plus de favoriser les infections.

En clair, les barbus ont maintenant quelques nouveaux arguments pour défendre leur choix.

Les conclusions de l’étude australienne ont été publiées dans le magazine Radiation Protection Dosimetry.

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Le revers de la médaille du surpoids

Le surpoids, voire l’obésité, est-il une condition qui permettrait d’augmenter les chances de survie dans certaines situations données?

C’est la question que pose et sur laquelle se penche une nouvelle recherche du Baker IDI Heart and Diabetes Institute, des travaux rapportés par Top Santé.

Le professeur John Dixon dirige la recherche et croit que le surpoids permet en effet de diminuer les risques de décès dans certains cas, une affirmation qui peut sembler plus qu’étonnante.

« Ce phénomène est réel et certifié chez les personnes âgées qui sont protégées par leur surpoids, en particulier celles qui souffrent de maladies graves. Les personnes avec un IMC entre 23 et 33 vivraient plus longtemps que les personnes ayant un IMC dans l’extrémité inférieure du poids normal (entre 18,5 et 23) », affirme le professeur Dixon, citant quelques autres études.

Un autre professeur de l’Université de Melbourne, Joseph Proietto, abonde dans le même sens. Un individu à l’IMC bas a plus de risques de mourir d’une crise cardiaque à cause d’un taux élevé de cholestérol qu’un obèse. Comme son IMC ne révèle pas son taux de cholestérol, il sera probablement moins bien diagnostiqué que l’obèse et donc sûrement pas traité. »

Le phénomène porte même un nom, soit celui du « paradoxe de l’obésité ». Un paradoxe qui pourrait donner de l’espoir à ceux qui souffrent de surpoids, même si cette condition mène souvent en premier lieu à de sérieux problèmes de santé potentiels.

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Les statines en prévention de la démence

Une nouvelle étude en provenance de Taïwan propose une nouvelle propriété bienfaitrice aux fameuses statines, initialement prévues pour lutter contre les affres du mauvais cholestérol, notamment en protégeant le cœur.

Selon les chercheurs en tête de l’étude, les statines pourraient avoir une autre utilité, soit celle de contribuer à la lutte et à la prévention de la démence lors du vieillissement, rapporte Santé Log.

Menée par des spécialistes de l’Université Yang Ming et de Tapei, l’étude analysait des dizaines de milliers de sujets utilisateurs de statines, sur une période de cinq ans.

On estime à la suite des recherches une diminution des risques de démence de 22 % chez les consommateurs de statines, et une réduction de ces risques plus élevée chez les femmes, à 24 %.

Il appert également que l’effet maximal protecteur apparaitrait au bout de trois années d’utilisation.

On ne confirme cependant aucun effet direct sur une maladie en particulier, comme l’Alzheimer par exemple. Il s’agit cependant d’une découverte importante, qui abonde dans le même sens que plusieurs autres études qui avancent de nouvelles propriétés aux statines.

Les conclusions de l’étude taïwanaise ont été publiées dans le Journal of Cardiology.

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Les bleuets pourraient contribuer au traitement du Parkinson

Des chercheurs canadiens croient que les bleuets pourraient contribuer à prévenir de la maladie de Parkinson, mais aussi à la traiter, rapporte MedicalNewsToday.

Les recherches proposées sont celles de chercheurs terre-neuviens basés à l’Université Memorial. Ces derniers croient que les bleuets pourraient véritablement jouer un rôle important dans la recherche d’un traitement de la maladie.

Plusieurs autres études ont déjà soumis l’idée que le petit fruit, riche en antioxydants, pouvait permettre de prévenir la maladie, mais aucune n’a encore statué sur ses possibles effets médicamenteux.

Si les chercheurs canadiens confirmaient leur théorie, on croit que l’idée pourrait aussi s’appliquer au développement de traitements contre d’autres formes de maladies dégénératives et neurologiques.

Des extraits de bleuets auraient déjà été utilisés et auraient démontré un effet certain sur la longévité lors d’essais cliniques, rapporte l’équipe de chercheurs de Terre-Neuve.

D’autres tests sont à venir, mais les propriétés bienfaitrices du bleuet ne font déjà aucun doute dans l’esprit de plusieurs spécialistes en santé et nutrition.