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Le vin rouge et l’ouïe

Une étude américaine rapportée par Top Santé révèle que le vin rouge pourrait posséder des vertus cachées qui protègeraient l’ouïe.

En effet, les chercheurs de l’hôpital Henry Ford, à Detroit, constatent que certaines composantes du vin rouge seraient bénéfiques à l’audition chez l’homme, notamment le resvératrol, un antioxydant.

Ces conclusions étonnantes sont le fruit d’un travail en laboratoire de sept semaines, période au cours de laquelle les chercheurs ont observé les réponses auditives de rats, dont certains recevaient des doses de resvératrol.

Ceux qui étaient au contraire placés sous une simple solution saline voyaient leurs capacités auditives baisser de façon plus évidente que ceux qui recevaient l’antioxydant.

Le Dr Michael Seidman, de l’équipe en tête de l’étude, résume : « Notre dernière étude met l’accent sur le resvératrol et ses effets sur les réactions du corps à la suite d’un traumatisme. On pense que ces réactions sont la cause de nombreux problèmes de santé comme la maladie d’Alzheimer, le cancer, le vieillissement et la perte d’audition ».

Le constat va donc plus loin que l’impact du vin sur l’ouïe, car on ouvre la porte à un possible effet préventif des maladies dégénératives et cognitives.

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Impact positif des oméga-3 sur le cancer du sein

Plusieurs spécialistes avançaient que les oméga-3 ont un impact sur la prévention et sur la progression du cancer du sein, mais personne ne l’avait officiellement démontré.

Selon Santé Log, une nouvelle étude sur le sujet prouverait finalement cette théorie, qui parle même de la capacité de ces acides gras à réduire du tiers la croissance de ces tumeurs.

Les femmes gagneraient donc à adopter un régime alimentaire qui comprend des oméga-3, croient fermement les chercheurs de l’Université Guelph, en Ontario.

« Nous montrons qu’une exposition à vie aux oméga-3 joue un rôle bénéfique dans la prévention du cancer du sein. Nous prouvons que les oméga-3 sont le facteur moteur de cet effet bénéfique. », se réjouit le Dr David Ma, professeur et co-auteur de l’étude.

Pour arriver à ce constat, l’équipe du Dr Ma a littéralement créé un type de souris qui développe des tumeurs mammaires, un fait qui semble relever de la fiction. D’autres souris similaires ont ensuite été créées, avec en prime une autre capacité, celle de produire simultanément des oméga-3.

Les rongeurs du deuxième groupe ont développé trois fois moins de tumeurs que les autres, et ces dernières étaient 30 % moins grosses en se développant.

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Trois tasses de café par jour pour les cinquantenaires

Top Santé rapporte une étude qui a de quoi surprendre. En effet, celle-ci suggère aux gens qui franchissent le cap de la cinquantaine de penser sérieusement à commencer à boire trois tasses de café par jour.

Ce comportement pourrait bien prévenir le cancer et rallonger l’espérance de vie de ces cinquantenaires, un constat qui soulève des interrogations.

C’est pourtant la recommandation publiée par l’Institut National du Cancer, aux États-Unis, telle que décrite par le Dr Neal Freedman :

« Comme nous avons pu suivre plus de 400 000 personnes, nous avions forcément des groupes où boire du café était aussi associé à des facteurs de risques comme fumer, boire de l’alcool ou avoir une vie sédentaire. Et nous avons noté que chez les fumeurs, le café n’avait aucun effet protecteur. Il est sans doute important de noter que les effets négatifs du tabac sur la santé sont tels qu’il est difficile d’en inverser la tendance ».

Du café, alors, et du café seulement, suivant une posologie d’environ trois tasses par jour, conseille vivement l’Institut.

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Une contre-étude diminue l’impact des antioxydants

Les antioxydants ont la cote depuis un bon moment maintenant, et ce n’était qu’une question de temps avant que des études moins flatteuses sur le sujet ne soient publiées.

C’est le cas de celle proposée par des chercheurs bostonnais et des Pays-Bas, et rapportée par The National Library of Medicine, qui minimise les impacts des antioxydants en ce qui concerne la prévention de certains problèmes de santé.

On parle entre autres des attaques cérébrales et des maladies dégénératives, qui ne seraient pas nécessairement moins probables chez les gens qui consomment des antioxydants.

« Les écrits concernant les antioxydants et les troubles dégénératifs du cerveau (dementia) ont été mélangés. Il y a une école de pensée qui dit qu’en fin de compte, les antioxydants peuvent être bénéfiques, mais c’est également vrai de dire qu’en regardant les antioxydants de près, on constate que chaque individu va réagir différemment à sa consommation. » Explique Elizabeth Devore, de la Brigham and Women’s Hospital de Boston.

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Un nouveau test de dépistage du Parkinson pourrait voir le jour

Santé Log rapporte une possible percée en matière de dépistage de cette maladie. Elle pourrait, qui plus est, être effectuée dans un avenir rapproché.

Ce sont des spécialistes de la fameuse clinique Mayo qui font cette promesse, alors qu’ils affirment avoir mis au point un nouveau système qui permet de détecter les cas de Parkinson.

Le test s’effectue à partir de la glande sous-maxillaire et des glandes salivaire des patients. Il pourrait non seulement améliorer les diagnostics, mais aussi préparer le terrain pour de nouveaux traitements.

On apprend du même coup que 30 % des diagnostics de Parkinson sont émis à tort, un chiffre qui a de quoi surprendre.

On est déjà bien avancé dans les phases de test, affirment les chercheurs de la clinique Mayo. D’ailleurs, ils présenteront le fruit de leurs efforts dans une étude détaillée qu’ils déposeront en mars prochain.

On aurait déjà testé le procédé sur 15 patients, fin soixantaine, atteints de Parkinson depuis au moins dix ans. 9 résultats sur les 11 cas détectés se sont avérés concluants à l’aide de la biopsie de la glande sous-maxillaire.

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Le traitement hormonal substitutif en prévention de l’Alzheimer

Santé Log rapporte que le traitement hormonal substitutif, aussi appelé simplement THS, pourrait s’avérer un outil de choix dans la lutte à la maladie d’Alzheimer, ainsi que pour sa prévention.

C’est ce qui ressort d’une étude américaine publiée dans la plus récente édition du magazine PLoS ONE, alors que des chercheurs croient que le THS pourrait contribuer à ralentir le vieillissement prématuré des cellules, et ainsi prévenir le déclin cognitif trop hâtif.

Si les réactions face à cette « découverte » sont pour l’instant partagées, les chercheurs de l’Université de Californie, eux, affichent un bel optimisme.

Ils ont pu constater ces effets lors de tests du THS sur un groupe de femmes ménopausées, plus particulièrement sur celles qui démontraient la variante génétique APOE-e4, un facteur de risque de l’Alzheimer.

Si les femmes ménopausées présentant cette variante génétique voient augmenter leurs risques de développer des problèmes cognitifs tels que ceux retrouvés dans les cas d’Alzheimer, le THS permettrait de les réduire considérablement.

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Les oméga-3 et la DMLA

Les oméga-3 ont un impact bénéfique sur la santé, on le sait, mais ils pourraient aussi jouer un rôle important dans la prévention de la DMLA, rapporte Santé Log.

Avant d’expliquer cette cause à effet, il serait bon d’expliquer en quoi consiste la DMLA. Cette dernière semble complexe, mais elle est pourtant toute simple. Il s’agit de la dégénérescence maculaire liée à l’âge, un problème qui survient souvent chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge.

Selon les chercheurs français, les oméga-3 pourraient aider à prévenir ce navrant syndrome, et ainsi aider à conserver des yeux en santé le plus longtemps possible.

La DMLA serait par ailleurs la raison numéro un des cas de cécité dans les pays les mieux développés, notamment en Amérique. Il est ainsi important de trouver des pistes de solutions pour une population qui continue de vieillir, selon les moyennes.

Intéressant donc de constater qu’une piste naturelle est envisagée.

D’autres facteurs peuvent influencer les chances de souffrir de la DMLA, soit le tabagisme, le régime alimentaire ainsi que l’hérédité (ADN).

 

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La vitamine D et les oméga-3, un duo de choc pour contrer l’Alzheimer?

Des chercheurs américains sont parvenus à déterminer le processus de fonctionnement de la vitamine D (D3) et des oméga-3 sur le système immunitaire, qui permettrait notamment d’annihiler ce qu’on appelle les plaques amyloïdes.

Ces dernières se retrouvent au cerveau et sont une caractéristique de la maladie d’Alzheimer.

Selon les conclusions de ces chercheurs californiens, rapportées par Santé Log, la vitamine D3 permet d’éliminer les plaques amyloïdes en éradiquant sa protéine, la protéine bêta-amyloïde.

Même son de cloche concernant les oméga-3, qui permettraient la même chose, sauf que dans ce cas-ci, on s’attend à d’autres recherches sur le sujet afin d’avoir un portrait plus clair.

C’est que les oméga-3 et leurs effets sur la santé, notamment sur le cerveau, font l’objet d’une certaine polémique au sein de la communauté scientifique.

Toutefois, pour les chercheurs de l’Université de Californie en tête de l’étude, la vitamine D et les oméga-3 pourraient constituer un intéressant cocktail pour plusieurs patients.

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Pratiquer plus d’un sport réduirait le risque de blessure

Une nouvelle étude sportive prétend que ceux qui pratiquent plusieurs types d’activités physiques sont moins enclins à se blesser que les autres, rapporte Top Santé.

C’est ce qui ressort des analyses effectuées par les chercheurs de l’Université Loyola, qui suivaient 891 jeunes sportifs. Du lot, on dénombre 124 joueurs de tennis, un sport pour lequel la théorie semble davantage s’appliquer.

Ainsi, les sportifs, et particulièrement les joueurs de tennis, qui se laissaient aller à d’autres sports pour le plaisir de le faire affichaient des taux de blessures beaucoup moins élevés.

« Avoir plus de temps de jeu libre protègerait les joueurs du risque de blessure. Ils jouent autant que les autres, mais leur nombre d’heures d’entrainement est partagé différemment », résume Neeru Jayanthi, médecin sportif.

Outre le fait que pratiquer plusieurs sports permet de solliciter tous ses muscles et organes, et non pas seulement quelques-uns en répétition, ce qui cause des blessures, on note aussi l’importance du mot « plaisir » dans cette étude.

Pratiquer un sport pour le plaisir de le faire permet de faire baisser le niveau de stress et de pression, ce qui a un excellent effet sur l’organisme et permet de prévenir certains types de blessures.

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Une solution pour contrer les infections en centre hospitalier

C’est The National Library of Medicine qui rapporte la nouvelle, mais elle s’applique autant sinon plus à notre réalité québécoise.

Une étude américaine lance une suggestion pour contrer les hausses d’infections contractées en centre hospitalier, un phénomène que l’on connait bien ici avec l’éclosion du C. difficile.

Pour les chercheurs du Hunter Holmes McGuire Veterans Affairs Medical Center, un simple bain d’antiseptique pourrait régler une bonne partie du problème. Oui, un bain.

En utilisant des antiseptiques et des serviettes spéciales, il serait possible de « désinfecter » les patients sur une base quotidienne et ainsi éviter qu’ils ne développent d’autres problèmes de santé en plus de ceux qu’ils ont déjà.

À ceux qui diront que cette pratique pourrait s’avérer coûteuse et fastidieuse, on répond qu’aux États-Unis, en moyenne, le coût d’un patient qui doit être traité pour ce genre d’infection contractée en hôpital est de 40 000 $.

À vous de juger si l’idée est bonne ou non, mais dans des régions du monde comme le Québec, où l’éclosion de ces bactéries et infections est devenue un véritable fléau, il est impératif de trouver des solutions… et vite.