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Une étude pilote prometteuse contre la violence chez les jeunes

Les croyances et comportements violents des jeunes du premier cycle du secondaire peuvent être réduits grâce à l’implantation d’un programme d’intervention ciblé. C’est ce que rapporte Medical News Today.

Au terme de l’étude du Dr Manny Sethi, professeur adjoint de chirurgie orthopédique et de réadaptation, et ses coauteurs de Vanderbilt, un seul programme sur les 27 s’est avéré concluant. Ce programme a été testé dans une école secondaire de Nashville, où le taux de violence est très élevé.

La recherche a été publiée dans le Journal of Injury and Violence Research. Selon Dr Sethi, la résolution du problème réside dans la collaboration des médecins et des éducateurs. « Les gens sont victimes de blessures causées par la violence, mais nous traitons la conséquence, et non la cause. »

En tout, 122 étudiants se sont prêtés au programme de résolution de conflit. À la fin du programme, les résultats ont démontré une diminution importante du niveau de violence et une grande amélioration des compétences des étudiants pour gérer la colère et la violence.

En ce moment, le programme dont il est question est en pilote dans 10 écoles, atteignant une clientèle de 3500 élèves.

En 2011, ce sont 707 212 jeunes de 10 à 24 ans qui ont été traités à l’urgence pour des blessures dues à la violence physique.

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Le tabac, nouvel allié de la lutte au cancer?

C’est toute une nouvelle, aussi ironique que paradoxale, que nous propose le Daily Mail (UK) en matière de lutte au cancer.

Le quotidien rapporte en effet une nouvelle étude qui dévoile les bienfaits et les possibilités du tabac dans la lutte au cancer. g

Ironiquement, des scientifiques ont identifié une molécule dans la plante du tabac, utilisée par cette dernière comme système de défense, qui permet de combattre contre les infections et les bactéries.

Connue sous le nom de NaD1, la molécule agirait d’une telle manière sur la cellule visée que celle-ci exploserait littéralement. On peut donc comprendre l’intérêt des chercheurs basés à Melbourne, en Australie, pour la plante et sa molécule miraculeuse.

« La prochaine étape est d’effectuer des études cliniques préliminaires afin d’évaluer le rôle potentiel de la NaD1 dans le traitement du cancer », explique le Dr Mark Hulett, du La Trobe Institute for Molecular Science de Melbourne.

Des recherches très prometteuses, en définitive, qui pourraient s’avérer spectaculaires au cours des prochains mois. D’ici à la publication de la suite des travaux et essais, inutile de rappeler que les cigarettes et les divers produits du tabac sont à éviter complètement, même considérant les possibilités de la plante en tant que telle.

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La caféine permettrait de lutter contre le développement de l’Alzheimer

Une nouvelle étude avance et confirme que la caféine permettrait bel et bien de lutter contre le développement de la démence et de la maladie d’Alzheimer, rapporte Santé Log.

C’est une équipe de l’Université de Bonn, en Allemagne, et de l’Université de Lille, en France, qui s’est penchée sur les effets bienfaiteurs présumés de la caféine en prévention de l’Alzheimer.

L’équipe conjointe franco-allemande a rapidement observé les effets protecteurs de la caféine sur des souris, qui se voyaient mieux protégées contre le développement de certaines protéines (notamment la protéine Tau) associées à la maladie d’Alzheimer.

Cette récente étude va de pair avec de précédentes recherches sur le sujet, qui confirmaient presque toutes les effets préventifs du café et de la caféine sur la mémoire et le déclin cognitif.

Les effets seraient observables à la suite d’une consommation « régulière à modérée », ce qui laisse entendre que les accros du café possèdent un avantage marqué en prévention de l’Alzheimer.

D’autres études seront nécessaires avant de confirmer ces observations, mais les chercheurs ont bon espoir de pouvoir confirmer la théorie, et même d’utiliser d’autres molécules relatives à la caféine pour possiblement créer une forme de traitement de la maladie.

Les conclusions tirées de l’étude franco-allemande ont été publiées dans le magazine Neurobiology of Aging.

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Le lait sans gras en prévention de l’ostéo-arthrite chez la femme

Une nouvelle étude vante les mérites du lait sans gras ou faible en gras en prévention de l’ostéo-arthrite chez la femme, rapporte MedicalNewsToday.

L’effet serait particulièrement vérifiable en prévention de l’ostéo-arthrite du genou et permettrait de retarder l’apparition de troubles de la santé similaires.

Attention cependant, d’autres produits laitiers comme le fromage et le yogourt ne possèderaient pas les mêmes facultés. L’étude américaine effectuée par le Brigham & Women’s Hospital de Boston ne confirme que les effets bienfaiteurs du lait sans gras.

« La consommation de lait joue un rôle important dans la santé des os. Notre étude est la plus large à enquêter sur l’impact de la consommation de produits laitiers sur la progression de l’OA (ostéo-arthrite ) du genou. Nos résultats indiquent que les femmes qui boivent fréquemment du lait peuvent réduire la progression de l’OA », lance l’auteur principal de l’étude, le Dr Bing Lu.

Ce dernier avoue cependant que d’autres études seront nécessaires pour en savoir davantage sur le sujet, mais que la recherche actuelle est concluante.

Les résultats et conclusions de l’étude de la Brigham & Women’s Hospital de Boston ont été publiés dans le journal Arthritis Care & Research.

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Le café serait bénéfique en prévention de la cirrhose

Le café pourrait-il s’avérer un allié en prévention de la cirrhose? Voilà la question à laquelle ont tenté de répondre des chercheurs chinois dans une nouvelle étude, rapporte The National Library of Medicine.

Les chercheurs de l’Université de Singapour concluent vraisemblablement que oui, si l’on se fie aux résultats proposés par l’étude, qui se penchait sur pas moins de 63 000 citoyens âgés de 45 à 74 ans.

L’étude trouvait ses racines en 1993, alors que l’on a demandé aux participants de répondre à des questions concernant leurs habitudes alimentaires et leur historique médical. Suivis sur une période d’en moyenne 15 ans, les sujets ont notamment permis de démontrer l’impact positif du café en prévention de la cirrhose.

On estime que deux tasses de café par jour permettraient une réduction de 66 % des risques de décès par cirrhose causée par l’hépatite non virale, selon les chercheurs chinois en tête de ces travaux.

La cirrhose causée par l’hépatite B ne semble pas répondre de la même façon que celle découlant de la souche non virale cependant.

L’étude ne permet malheureusement pas de prouver une cause à effet de façon officielle, mais s’avère concluante.

Les résultats ont été publiés dans le magazine médical Hepatology.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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La mammographie démontre certaines lacunes

Les campagnes de prévention du cancer du sein et de sensibilisation à l’importance de la mammographie chez les femmes abondent depuis quelques années, et le test de dépistage gagne en popularité.

Sans complètement discréditer l’affaire, une nouvelle étude américaine place cependant un bémol et estime que la mammographie démontre certaines lacunes, rapporte par Top Santé. Selon les chercheurs de Harvard qui dirigent cette nouvelle étude, les médecins surestiment le pouvoir de la mammographie, qui ne serait pas aussi précise qu’on voudrait le croire.

Les chercheurs croient plutôt que la mammographie permet de réduire les risques de mortalité due au cancer du sein d’environ 20 %, sans plus. La diminution du risque augmente toutefois à mesure que l’âge d’une femme progresse, dépassant les 30 % après 60 ans.

« Il y a eu récemment beaucoup de confusion autour du dépistage du cancer du sein, et nous avons souhaité mettre tout cela à plat, à l’attention des médecins. Au cours de nos recherches, nous nous sommes rendu compte que les bénéfices des mammographies sont plus petits qu’on le pensait, et que leurs dangers, comme des radiographies à répétition ou des biopsies pour des tumeurs qui s’avèrent non cancéreuses, sont vraiment sous-estimés », précise la Dre Nancy Keating.

L’étude conclut également que certaines femmes seront diagnostiquées et traitées pour une tumeur qui ne serait jamais devenue maligne ou mortelle, une donnée étonnante qui fait réfléchir.

Les conclusions de l’étude de Harvard ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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La consommation de fruits et légumes bénéfique chez les jeunes femmes

Manger fréquemment des fruits et légumes lorsqu’on a 20 ans permettrait de nombreux bénéfices pour la santé plus tard au cours de la vie, mais surtout lorsqu’on est une femme, selon une étude rapportée par Santé Log.

L’étude présentée dans le cadre du projet CARDIA (Coronary Artery Risk Development in Young Adults) estime que les jeunes femmes au début de la vingtaine qui choisissent de manger des fruits et légumes auront moins de risques d’éprouver des problèmes cardiovasculaires au tournant de la quarantaine.

L’étude analyse les données de près de 2500 participants et note entre autres un risque réduit de 40 % de voir l’apparition de plaques au niveau des artères chez les femmes de 40 ans.

On conseille néanmoins aux hommes de consommer eux aussi leur part de fruits et de légumes, même si cette étude ne parvient pas à observer le même résultat pour les hommes que pour les femmes.

On rappelle également que d’autres facteurs peuvent influencer les statistiques et le risque de troubles cardiaques, comme le tabagisme, la sédentarité et la surconsommation de viandes rouges et de boissons sucrées.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors du congrès de l’American College of Cardiology.

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Une marinade de bière pour des grillades sécuritaires

Même si le printemps se fait tardif et timide au Québec en ce moment, les deux belles saisons seront bientôt à nos portes et mettront la table pour les plaisirs estivaux, notamment celui des bons repas en plein air et des barbecues.

Un autre plaisir coupable en été est sans aucun doute celui de siroter une bonne bière, et une nouvelle étude propose une double utilité à la boisson pour ceux qui aiment bien s’installer au barbecue pour faire cuire leur viande.

Selon cette nouvelle étude, par ailleurs rapportée par ScienceDaily, il serait possible de se protéger de certaines substances et bactéries potentiellement dangereuses retrouvées dans la viande en été grâce à l’utilisation d’une marinade à base de bière.

La bière ainsi utilisée permettrait notamment de combattre la possible présence d’hydrocarbones aromatiques polycycliques (HAP ou PAH en anglais), qui se forment lorsqu’on cuit une viande à haute température.

Les chercheurs ont testé la théorie en effectuant la cuisson de portions de viande de porc à l’aide marinade de bière (Pilsner), de bière non alcoolisée et de bière noire. Cette dernière aurait permis d’obtenir les meilleurs résultats, réduisant les niveaux d’HAP de plus de la moitié.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry.