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La papaye pour prévenir le cancer

La papaye ferait aussi partie des super fruits qui aident à prévenir le cancer. Selon le Journal of Ethnopharmacology, la papaye contient du lycopène, un nutriment reconnu pour sa grande efficacité dans la prévention du cancer et dans la lutte contre la propagation des cellules cancéreuses.
 
Selon la nouvelle étude, le lycopène stimule les défenses du corps pour combattre la maladie, tout en évitant les dommages à l’ADN, aux cellules saines et aux lipides qui inhibent la propagation du cancer.
 
La papaye serait particulièrement reconnue contre le cancer cervical, du sein, du foie, des poumons et du pancréas. Elle augmenterait la production d’une substance chimique qui régule le système immunitaire également.

De plus, il s’agit d’un fruit riche en vitamine C, en acide folique et en potassium.

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L’activité physique est plus efficace qu’une saine alimentation

Le rapport Obésité au Canada mentionne que pour prévenir l’obésité, il n’y a pas mieux que d’augmenter son taux d’activité physique plutôt que d’adopter une saine alimentation.
 
Selon l’étude canadienne, si tous les citoyens du pays changeaient leur alimentation, on pourrait réduire le cas d’obésité de 350 000 personnes.
 
Par contre, bouger plus de 15 minutes par jour, à faible intensité, diminuerait les cas d’obésité d’un million de personnes, soit 646 000 femmes et 405 000 hommes.
 
« On a été un peu surpris. On pensait que la nutrition aurait un impact plus important que ça. Mais c’est plutôt l’activité physique qui arrive en tête », déclare le vice-président recherche et analyse à l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), Jérémy Veillard.
 
Toutefois, le problème de l’obésité étant complexe et causé par divers facteurs, on ne pourrait tout régler.
 
Pour perdre du poids, c’est l’adoption d’une saine alimentation qui est le plus efficace.

L’obésité touche un adulte sur quatre au Canada et un enfant sur onze.

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L’hygiène dans les parcs aquatiques

Avec le retour de la belle saison, les activités extérieures se transforment. C’est le temps des glissades d’eau! Une journée au parc aquatique est toujours un succès auprès des enfants.

On peut lire sur Medical News Today que peu de parents prennent le temps de passer leur rejeton sous la douche avant d’aller glisser ou jouer dans l’eau chlorée de ces centres. Tous semblent savoir, pourtant, qu’il s’agit là de la meilleure prévention des maladies et des infections.

En ayant questionné des parents sur leurs perceptions des risques de maladie dans les parcs aquatiques, des chercheurs de l’Université du Michigan ont donc remarqué que seulement 26 % d’entre eux trouvent qu’il est très important de prendre une douche avant de s’élancer dans l’eau.

Les parents sont malgré tout alertes quant à la salubrité de cette eau, car 64 % d’entre eux ont répondu qu’il était très important que leur enfant n’en avale pas. Donc, si la majorité est consciente des risques, une minorité pose des gestes préventifs.

Une simple douche réduirait la transmission des infections et des maladies dans les parcs aquatiques, lesquelles touchent 100 000 personnes chaque année, aux États-Unis seulement.

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Les meilleures façons d’éviter les intoxications

Cinq gestes simples pourraient éviter que nos enfants soient exposés à des substances chimiques et toxiques dans la vie de tous les jours. Le Partenariat canadien pour la santé des enfants (PCSEE) les décrit sur EurekAlert.

La première des choses à faire est de tenir la maison bien propre, et ce, en passant fréquemment l’aspirateur, en nettoyant les planchers et en époussetant à l’aide d’un linge humide.
 
Ensuite, lorsque l’on nettoie, on privilégie les produits écologiques, comme le vinaigre et le bicarbonate de soude, par exemple.
 
De plus, quand on rénove, on demeure prudent. Les femmes enceintes et les enfants devraient être tenus à l’extérieur de la maison lors de rénovations, leur évitant ainsi l’exposition aux émanations toxiques pouvant venir de la peinture, des calfeutrages ou des colles.
 
En quatrième lieu, on évite le plastique le plus possible, surtout pour le service et la conservation des aliments. Le PCSEE recommande aussi aux parents d’être vigilants quant aux produits que l’on dit sans danger au micro-ondes, car les substances chimiques de ces articles peuvent toujours migrer dans la nourriture.
 
Finalement, quand on cuisine du poisson, on choisit des espèces qui ne contiennent pas beaucoup de mercure, comme le maquereau de l’Atlantique, le hareng, la truite arc-en-ciel, le tilapia ou le saumon sauvage ou en conserve.
 
Pour de plus amples renseignements, on peut consulter le site du Partenariat canadien pour la santé des enfants et l’environnement.
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20 % des cancers seraient causés par l’alimentation

Selon David Khayat, chef du service de cancérologie à la Pitié-Salpetière en Europe, 20 % de l’ensemble des cancers seraient causés par l’alimentation, alors que 30 % seraient liés à des hormones de l’organisme et 30 % au tabagisme.
 
Selon lui, le thé vert, le jus de grenade, le gingembre et le pain seraient des aliments anticancers, bien qu’il n’existe aucun aliment qui peut réellement prévenir la maladie. Le saumon et le thon rouge seraient cancérigènes, toujours selon les dires de M. Khayat.
 
Soulignons que récemment, une étude affirmait qu’aucun aliment ne pouvait prévenir l’apparition du cancer, rappelle Relay.
 
Toutefois, il est reconnu qu’une alimentation saine et diversifiée, faible en aliments caloriques, en alcool, en viande rouge, en charcuteries et en sel, jumelée à de l’activité physique régulière, peut aider à diminuer les risques pour certains cancers.
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À propos du lait de vache et des noix avant six mois

On conseille généralement aux parents de ne pas donner de lait de vache ou de noix aux très jeunes enfants, souhaitant ainsi prévenir certaines allergies. Or, selon une récente étude néerlandaise, bannir des aliments ne constituerait pas une prévention en tant que telle.

Des chercheurs de l’Université Erasmus à Rotterdam ont évalué les symptômes d’asthme et d’eczéma chez 7 000 enfants, et ce, jusqu’à ce que ces derniers aient atteint l’âge de 4 ans.
 
Après avoir isolé certaines variables, ils ont pu admettre qu’aucun lien notable n’a pu être établi entre la consommation de certains aliments jugés à risque et le développement de l’asthme ou de l’eczéma.
 
Cela corrobore les résultats de quelques précédentes recherches. On croit de plus en plus qu’il ne serait pas nécessaire d’éviter des aliments potentiellement allergiques chez de jeunes enfants qui se portent bien.
 
On pense donc remettre sérieusement en question les recommandations actuelles quant à l’attente d’intégration de certains aliments dans le menu des bébés, même s’ils sont âgés de moins de six mois.

Les résultats complets de cette nouvelle investigation sont parus dernièrement dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

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Découverte pédiatrique majeure

On apprend sur Elle qu’on aurait trouvé une explication à la mort subite du nourrisson. Des chercheurs de la Faculté de médecine de Strasbourg, en France, viennent en plus de mettre en place un traitement qui pourrait prévenir ce syndrome.

La mort subite du nourrisson serait due à une activité trop importante du nerf vague, lequel sert à rendre les battements du cœur réguliers. Quand ce nerf ne fonctionne pas normalement, le battement cardiaque se met alors à diminuer, et ce, jusqu’à s’arrêter complètement.
 
Le traitement préventif en question consiste donc en une prise de sang qui pourrait dépister un dysfonctionnement du nerf vague.

Rappelons finalement que le syndrome de la mort subite du nourrisson touche en moyenne 1 bébé sur 2 000. Il survient habituellement durant la première année de vie d’un enfant.

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La nutrition et la prévention du cancer

L’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), après avoir mandaté des experts sur la question de la prévention du cancer par l’alimentation, présente maintenant ses résultats.

On peut donc lire dans La Presse que si le comportement nutritionnel a effectivement un impact sur le développement du cancer, il n’existe toutefois pas d’aliment miracle.
 
Le cancer, comme le rappellent les experts, dépend de multiples facteurs, dont ceux reliés à l’environnement, au comportement et à des caractéristiques propres à chacun. On recommande donc une bonne alimentation et la pratique régulière d’exercices en guise de prévention de la maladie.
 
Bien que la diversité alimentaire semble gagnante, aucun aliment ne présente malgré tout des propriétés miracles qui pourraient nous protéger du cancer.
 
D’un autre côté, on suggère encore de modérer sa consommation d’alcool, de viande rouge et de sel, des relations avec certains cancers et ces aliments ayant été relevées.

Finalement, les méthodes de prévention du cancer ressemblent beaucoup à celles touchant d’autres maladies graves, soit de s’alimenter sainement et de faire de l’exercice sur une base régulière.

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La vitamine D préviendrait le diabète de type 2

Un haut niveau de vitamine D dans le sang protègerait contre le diabète de type 2, selon une étude australienne dirigée par la médecin québécoise Claudia Gagnon.
 
5 200 personnes en bonne santé ayant en moyenne 51 ans ont été suivies pendant cinq ans. On a mesuré leur taux de vitamine D et leur apport de calcium. Après cinq ans, 199 personnes avaient développé le diabète.
Selon Diabetes Care, les personnes qui avaient un haut niveau de vitamine D voyaient leur risque de développer le diabète de type 2 être réduit de 44 à 57 %, comparativement aux personnes avec un taux moindre. Le calcium n’avait cependant aucune incidence sur la maladie.
 
Par contre, avec ces premiers résultats, on ne croit pas qu’avoir un apport supplémentaire de vitamine D protègerait de la maladie. En fait, les chercheurs pensent qu’une carence en vitamine D n’est pas une cause, mais plutôt un signe de la progression du diabète.
D’autres essais cliniques sont donc nécessaires pour établir le processus exact de la protection qu’offrirait cette vitamine.
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Une analyse sanguine permet de détecter les femmes qui accoucheront prématurément

Selon un article publié dans l’édition de mai de l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, le mérite de cette découverte revient à Steven Graves, qui dirige la portion chimie de l’étude à l’Université Brigham Young dans l’Utah, ainsi qu’à Sean Esplin, professeur de l’Université et obstétricien. Le début de leurs recherches remonte à 2002.

L’analyse sanguine, effectuée durant le 2e trimestre de grossesse, identifie une différence significative des peptides, associés à certaines molécules de protéines. Ces informations permettent de déterminer si la femme enceinte est à risque ou non d’un accouchement prématuré.

L’étude a été menée auprès d’un groupe de 160 femmes, dont la moitié a mené la grossesse à terme et l’autre moitié a accouché prématurément.
 
La nouvelle crée des vagues auprès des médecins et chercheurs des autres universités. Le Dr Antonio Frias, de l’Université de la santé et des sciences de l’Oregon, commente : « Puisque cette méthode identifie les patientes à risque, cela nous permet déjà d’effectuer des recherches sur des interventions préventives. Jusqu’à présent, nous avancions à l’aveuglette. »

L’Université Brigham Young a légué le droit d’utilisation de cette découverte à la compagnie Sera Prognostic. L’entreprise espère tester cette nouvelle méthode de dépistage sur le marché dès le premier semestre de 2012.