De plus, il s’agit d’un fruit riche en vitamine C, en acide folique et en potassium.
Étiquette : prévention
L’obésité touche un adulte sur quatre au Canada et un enfant sur onze.
L’hygiène dans les parcs aquatiques
Avec le retour de la belle saison, les activités extérieures se transforment. C’est le temps des glissades d’eau! Une journée au parc aquatique est toujours un succès auprès des enfants.
On peut lire sur Medical News Today que peu de parents prennent le temps de passer leur rejeton sous la douche avant d’aller glisser ou jouer dans l’eau chlorée de ces centres. Tous semblent savoir, pourtant, qu’il s’agit là de la meilleure prévention des maladies et des infections.
En ayant questionné des parents sur leurs perceptions des risques de maladie dans les parcs aquatiques, des chercheurs de l’Université du Michigan ont donc remarqué que seulement 26 % d’entre eux trouvent qu’il est très important de prendre une douche avant de s’élancer dans l’eau.
Les parents sont malgré tout alertes quant à la salubrité de cette eau, car 64 % d’entre eux ont répondu qu’il était très important que leur enfant n’en avale pas. Donc, si la majorité est consciente des risques, une minorité pose des gestes préventifs.
Une simple douche réduirait la transmission des infections et des maladies dans les parcs aquatiques, lesquelles touchent 100 000 personnes chaque année, aux États-Unis seulement.
Cinq gestes simples pourraient éviter que nos enfants soient exposés à des substances chimiques et toxiques dans la vie de tous les jours. Le Partenariat canadien pour la santé des enfants (PCSEE) les décrit sur EurekAlert.
On conseille généralement aux parents de ne pas donner de lait de vache ou de noix aux très jeunes enfants, souhaitant ainsi prévenir certaines allergies. Or, selon une récente étude néerlandaise, bannir des aliments ne constituerait pas une prévention en tant que telle.
Les résultats complets de cette nouvelle investigation sont parus dernièrement dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.
Découverte pédiatrique majeure
On apprend sur Elle qu’on aurait trouvé une explication à la mort subite du nourrisson. Des chercheurs de la Faculté de médecine de Strasbourg, en France, viennent en plus de mettre en place un traitement qui pourrait prévenir ce syndrome.
Rappelons finalement que le syndrome de la mort subite du nourrisson touche en moyenne 1 bébé sur 2 000. Il survient habituellement durant la première année de vie d’un enfant.
L’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), après avoir mandaté des experts sur la question de la prévention du cancer par l’alimentation, présente maintenant ses résultats.
Finalement, les méthodes de prévention du cancer ressemblent beaucoup à celles touchant d’autres maladies graves, soit de s’alimenter sainement et de faire de l’exercice sur une base régulière.
Selon un article publié dans l’édition de mai de l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, le mérite de cette découverte revient à Steven Graves, qui dirige la portion chimie de l’étude à l’Université Brigham Young dans l’Utah, ainsi qu’à Sean Esplin, professeur de l’Université et obstétricien. Le début de leurs recherches remonte à 2002.
L’analyse sanguine, effectuée durant le 2e trimestre de grossesse, identifie une différence significative des peptides, associés à certaines molécules de protéines. Ces informations permettent de déterminer si la femme enceinte est à risque ou non d’un accouchement prématuré.
L’Université Brigham Young a légué le droit d’utilisation de cette découverte à la compagnie Sera Prognostic. L’entreprise espère tester cette nouvelle méthode de dépistage sur le marché dès le premier semestre de 2012.