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Les bananes contre les AVC

Des scientifiques ont découvert que manger trois bananes par jour pouvait réduire les risques d’accident vasculaire cérébral (AVC) de 21 %.
 
Des études précédentes avaient déjà démontré que les bananes étaient bonnes pour lutter contre la pression artérielle et les AVC, mais on ignorait clairement pourquoi. Maintenant, on a découvert que le potassium jouait un rôle important.
 
Apparemment une banane au petit déjeuner, une au déjeuner et une autre le soir apporterait assez de potassium pour réduire les chances de souffrir d’un caillot sanguin au cerveau.
 
Parfois, ces AVC mènent à des séquelles graves, certains handicaps et même la mort.
 
Des milliers d’AVC pourraient être évités tous les ans si les gens mangeaient plus d’aliments riches en potassium comme les épinards, les noix, le lait, le poisson et les lentilles.
 
Un niveau trop bas de potassium dans l’organisme peut mener à des battements de cœur irréguliers, de l’irritabilité, des nausées et de la diarrhée, mentionne le Journal of the American College of Cardiology.
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Mieux prévenir la mort subite du nourrisson

Selon des données présentées dans Nouvel Obs, si le nombre de décès causé par le syndrome de mort subite du nourrisson a chuté en 15 ans, il demeure encore de nombreux cas.

Nous savons déjà l’importance de coucher bébé sur le dos, car cette méthode est reconnue comme la plus efficace pour prévenir ce syndrome. La baisse de décès est fortement liée à cette façon de faire, bien que nous ne puissions encore vraiment expliquer comment la mort subite survient.
 
D’ailleurs, si l’on demande aux nouveaux parents de porter une attention particulière à la literie du bébé, il semble qu’ils devraient même le faire dormir avec eux durant ses six premiers mois de vie.
 
Ce conseil, qui n’est pas encore très répandu, serait pourtant une excellente prévention du syndrome, selon certains, et pourrait encore faire baisser le nombre de décès.

Mentionnons finalement que l’on estime que 45 % des bébés seraient exposés à des risques de mort subite quant à leur couchage.

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Siège d’auto : laissons bébé de dos

On pourrait changer encore une fois nos habitudes quant à l’installation des bébés en voiture. Un rapport et de nouvelles recommandations sont en effet parus à cet effet dans Pediatrics dernièrement.

Ces nouvelles recommandations, établies par l’Académie américaine de pédiatrie, indiquent que les enfants devraient être placés vers l’arrière jusqu’à l’âge de deux ans. La même autorité avait déjà suggéré, en 2002, de les placer ainsi jusqu’à ce que ce soit encore possible.
 
Les nouvelles mesures de prévention des blessures sont basées sur des données américaines et suédoises. Mentionnons qu’en Suède, les enfants demeurent face à l’arrière jusqu’à l’âge de quatre ans.
 
Pour plus de sécurité, il faudrait donc laisser les jeunes enfants dans leur position de départ jusqu’à 2 ans ou jusqu’à ce qu’ils aient la taille et le poids recommandés. De plus, les enfants devraient avoir un siège rehausseur jusqu’à ce qu’ils mesurent plus de 4 pieds 9 pouces, soit jusqu’à l’âge de 8 à 12 ans.

Finalement, un enfant devrait être assis à l’arrière d’une voiture jusqu’à ses 13 ans, et ce, en tout temps.

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L’exercice physique aide à prévenir le cancer du côlon

Les personnes qui sont les plus actives sont moins à risque de développer le cancer du côlon, selon une analyse de 20 études sur le sujet regroupant un total de 250 000 patients.
 
Selon le British Journal of Cancer, les études menées entre 1991 et 2009 démontrent que l’activité physique prévient le cancer du côlon.
 
Ces études avaient pour but de déterminer si l’activité physique avait un effet sur la formation de polypes dans le tube digestif. Habituellement, les polypes sont bénins, mais ils peuvent éventuellement former des tumeurs cancéreuses.
 
Tous les participants à l’étude ont subi une coloscopie en plus d’une enquête pour déterminer leur niveau d’activité physique. Ceux qui étaient actifs avaient 16 % moins de polypes et chez les plus actifs, 36 % avaient moins de risques d’avoir des polypes de grande taille ou à des stades plus avancés.
 
Selon les experts, bouger aiderait l’organisme à se débarrasser des polypes.
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L’ibuprofène pourrait prévenir la maladie de Parkinson

La revue Neurology révèle que les personnes qui prennent régulièrement de l’ibuprofène sont moins susceptibles de développer le Parkinson.

Selon une étude du National Institute of Neurological Disorders and Stroke, ces personnes ont en fait 40 % moins de risques de souffrir de cette maladie. Aussi, les chercheurs ont noté que celles qui en prennent en grande quantité courent moins de risques que celles qui en prennent peu.

Cette étude a été faite auprès de 136 479 personnes en bonne santé. Elles devaient toutes dire si elles prenaient des anti-inflammatoires (aspirine, ibuprofène, ou paracétamol).

Après 6 ans, on a enregistré 293 cas de Parkinson, et ce, surtout chez les personnes qui ne prenaient pas d’ibuprofène.

« L’ibuprofène est le seul anti-inflammatoire qui a eu un impact sur la maladie de Parkinson. Les autres anti-inflammatoires n’ont eu aucune influence […]. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre pourquoi et comment l’ibuprofène peut avoir un effet sur cette maladie », a déclaré le Docteur Xiang Gao.

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La santé dentaire : le plus tôt possible!

La santé buccale est reconnue comme un élément clé du développement de l’enfant, apprend-on sur Medical News Today.

Aussi, selon des experts, un enfant devrait être vu par un dentiste dès qu’il a un an ou dans un délai de six mois après l’apparition d’une première dent.

La prévention et le traitement s’en trouveraient beaucoup plus efficaces de cette façon. Le dentiste peut donner des conseils le plus tôt possible, que ce soit pour le nettoyage, le fluor ou les mauvaises habitudes buccales comme la suce.

On croit trop couramment que la santé dentaire est moins importante pour les bébés et les jeunes enfants. Pourtant, plus elle est prise en charge tôt, plus vite on peut arrêter le développement des bactéries causant les caries.

Les caries constituent l’infection la plus courante chez les tout-petits. Elles sont cinq fois plus fréquentes que l’asthme, par exemple. La prévention est la seule manière de les contourner.

Une première visite chez le dentiste devrait finalement consister en un examen des dents et des gencives, en une observation du développement des mâchoires et en une discussion sur la nutrition générale de l’enfant. Un nettoyage peut ensuite suivre, même si l’enfant ne présente que quelques dents.

Il faudrait donc mieux considérer la santé buccale et faire en sorte qu’elle fasse partie de la santé générale et du développement global de l’enfant dès son jeune âge.

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Une double dose contre la varicelle

Des chercheurs de l’Université Yale ont découvert que les enfants sont mieux immunisés contre la varicelle si on leur administre une double dose du vaccin.

Les résultats de leur étude publiée dans Journal of Infectious Diseases nous apprennent que les enfants auraient ainsi 95 % plus de chances de ne pas développer la maladie.

Si l’on recommandait en 1995 d’administrer une seule dose aux enfants de 1 à 13 ans, l’efficacité en était de 86 %. Toutefois, on remarquait alors l’apparition de ce virus même chez les enfants immunisés.

Or, en 2006, une seconde vaccination a été instaurée. Les enfants de 4 à 6 ans reçoivent en effet une nouvelle dose depuis. L’efficacité a alors grimpé à 98,3 %.

Pour en revenir à l’étude en question, on a pu remarquer cet effet prévu chez des enfants du Connecticut. Parmi 71 enfants de 4 ans et plus atteints de la varicelle, aucun n’avait reçu la double dose recommandée. Dans ce lot, 93 % avaient été vaccinés une seule fois, tandis que 5 % n’avaient eu aucun vaccin.

On encourage donc la poursuite de cette nouvelle mesure afin de prévenir efficacement la propagation de la varicelle chez les enfants et dans la population en général.

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L’exercice physique bénéfique contre le cancer du côlon

Une étude du Siteman Cancer Center de l’Université de Washington révèle que l’exercice physique peut diminuer les risques de décès et même de développement du cancer du côlon.
 
Après une analyse des résultats d’une étude portant sur 150 000 personnes ayant dévoilé leur niveau d’activité physique entre 1982 et 1997, les chercheurs ont évalué un lien possible entre l’activité sportive régulière et le diagnostic de cancer du côlon entre 1998 et 2005 ainsi que le lien entre l’exercice et le nombre de décès de ce type de cancer entre 1998 et 2006.
 
Les personnes ayant été les plus actives, pendant au moins une dizaine d’années, avaient un plus faible taux de décès. De plus, les chercheurs ont constaté que le risque était également moindre pour le développement du cancer du côlon si vous avez été actif régulièrement.
 
L’exercice physique a aussi comme bénéfice de réduire le développement d’autres formes de cancers ou autres pathologies comme le diabète et les maladies cardiaques.
 
Apparemment, il suffirait de marcher 30 minutes par jour pour profiter de cette protection. On recommande également aux patients déjà atteints par un cancer de se mettre à l’exercice physique pour diminuer le risque de décès, mais aussi de récidive de la maladie.
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Manger des amandes pour prévenir le diabète et les maladies cardiaques

Le Journal of the American College of Nutrition dévoile une nouvelle étude concernant les bienfaits des amandes sur la santé.
 
Les chercheurs ont constaté qu’incorporer des amandes dans l’alimentation aidait à traiter le diabète de type 2 et à lutter contre les maladies liées à l’obésité et à l’inactivité physique, comme les maladies cardiovasculaires.
 
Une consommation d’amandes aide à réguler l’insuline et à réduire le mauvais cholestérol.
 
L’étude a été réalisée à l’Université de médecine et de dentisterie du New Jersey sur 65 personnes pré-diabétiques. Celles qui ont mangé des amandes ont montré une nette amélioration de leur sensibilité à l’insuline et une baisse significative de leur taux de cholestérol.
 
Ces résultats sont donc très prometteurs, selon les chercheurs.
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Grippe et grossesse : de nouvelles données

La grippe est l’une des causes majeures de l’hospitalisation des enfants et une maladie fréquente chez les femmes enceintes.

Il n’existe encore aucun vaccin destiné aux poupons de six mois et moins. D’autres avenues doivent donc être empruntées.

Une récente étude de l’École de médecine de Yale confirme une fois de plus l’efficacité de la vaccination durant la grossesse. Il semble en effet qu’elle éviterait l’hospitalisation des bébés de 6 mois et moins à 90 %.

Parue dans le Clinical Infectious Diseases, l’étude s’est échelonnée sur trois ans. Les chercheurs ont comparé les causes d’hospitalisation de très jeunes enfants à l’hôpital Yale-New Haven au Connecticut.

Ils ont pu confirmer que ceux qui n’avaient pas contracté l’influenza étaient nés d’une mère ayant reçu ledit vaccin dans une plus grande proportion.

La prévention de la grippe chez les poupons devra donc se faire en grande partie par la vaccination de la future mère et des proches du nouveau-né.