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L’exercice physique diminue les risques de cancer de l’endomètre

Les femmes actives ont moins de risques d’avoir un cancer de l’endomètre, aussi connu sous le nom de cancer de l’utérus.
 
L’étude présentée lors de la Conférence internationale de la prévention du cancer de l’Association américaine de recherche sur le cancer regroupait 668 femmes avec un cancer de l’endomètre et 665 femmes en bonne santé.
 
En général, on a remarqué que les femmes qui faisaient de l’exercice physique avaient 34 % moins de risques de développer la maladie, et ce, peu importe leur poids.
 
Toutefois, en tenant compte du poids, les données changent. Ainsi, les femmes actives sans surplus de poids ont 73 % moins de risques d’avoir ce cancer, contre 38 % des femmes actives avec un surplus de poids.
 
Les femmes inactives de poids normal avaient tout de même 55 % moins de risques de développer le cancer que celles en surplus de poids.
 
Pour cette étude, les femmes actives faisaient au moins 150 minutes d’exercices par semaine et les femmes en surplus de poids avaient un indice de masse corporelle de 25 et plus.
 
Le cancer de l’endomètre est le cancer gynécologique le plus répandu et le 4e en incidence pour les femmes après ceux du sein, du poumon et du côlon. Ce type de cancer survient habituellement après la ménopause.
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Les bienfaits de la grenade démentis

La marque de jus POM s’est vue reprendre ses propos par la Federal Trade Commission, nous apprend Canada.com.

La commission américaine a annoncé que POM mentait en affirmant que le jus de grenade qu’elle commercialise peut prévenir et même traiter les maladies du coeur, le cancer de la prostate ainsi que les dysfonctions érectiles.

Cette plainte mentionne, entre autres, que POM a contrevenu aux lois fédérales en faisant de telles affirmations.

En résumé, lorsqu’une entreprise inclut des données scientifiques dans ses publicités, elles doivent être sérieusement soutenues par la recherche.

C’est la raison donnée par David Vladeck, le directeur du Bureau de protection du consommateur de cette fédération, pour contredire les bienfaits promis par le jus POM et les suppléments POMx.

Les publicités visées étaient celles parues dans le New York Times et dans d’autres publications, ainsi que sur Internet. Elles devront donc toutes être révisées.

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Les risques de cancer du sein diminués avec la vitamine D

Le journal Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention rapporte qu’une forte présence de vitamine D dans le sang réduirait les risques de développer un cancer du sein de 25 %.
 
C’est ce qu’a découvert une équipe de l’Inserm, en France, lors d’une enquête épidémiologique effectuée auprès de 100 000 femmes nées entre 1925 et 1950 qui ont été suivies depuis 1990. Elles devaient transmettre leur mode de vie et leur bilan de santé tous les deux ans.
 
Bien que ces premiers résultats soient encourageants, on doit maintenant non seulement les confirmer par de nouvelles études, mais surtout déterminer la dose exacte qui aura le plus de bénéfices contre le cancer du sein.
 
La vitamine D se retrouve dans certains poissons gras, les œufs et certaines viandes, mais c’est surtout le soleil qui en est la principale source.
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L’ablation préventive des seins et des ovaires peut éliminer les risques de cancers

Les femmes qui sont prédisposées génétiquement aux cancers du sein ou des ovaires peuvent avoir recours à l’ablation préventive pour augmenter leurs chances de survie.
 
La Dre Virginia Kaklamani et son équipe de l’Université Northwestern ont suivi près de 2 500 femmes pendant 20 ans pour en arriver à ces conclusions.
 
Les femmes qui ont des mutations génétiques aux gènes BRCA1 ou BRCA2 ont de 56 % à 84 % plus de risques de développer un cancer du sein ou des ovaires. Les participantes à l’étude avaient toutes ces variantes génétiques. Celles qui ont subi une ablation préventive des seins ou des ovaires ont éliminé les risques de développer la maladie dans les trois ans de suivi médical, alors que de chez celles qui n’ont pas eu recours à cette intervention, 7 % ont eu un cancer.
 
« C’est la première étude qui prouve que ces interventions chirurgicales préventives prolongent la vie des femmes ayant ces prédispositions génétiques », dit Virginia Kaklamani.
 
Il est donc important, selon le Journal of the American Medical Association, de subir un test génétique lorsqu’il y a des antécédents familiaux de cancers précoces afin de vérifier si nous possédons ces prédispositions au cancer.
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La cannelle pour prévenir le diabète et les maladies cardiaques

Une étude d’une équipe de chercheurs du Centre des Sciences appliquées de la santé de Fairlawn, en Ohio aux États-Unis, révèle que la cannelle pourrait prévenir l’apparition du diabète et des maladies cardiaques.
 
Pour cette recherche, on a dissout de la cannelle dans l’eau et on a constaté que ses antioxydants réduisaient les risques de maladies de 23 %, rapporte le Journal of the American College of Nutrition.
 
22 personnes obèses prédiabétiques ont participé à l’étude. Le prédiabète se présente avant l’apparition finale du diabète. La moitié des participants a reçu 250 mg de cannelle soluble dans l’eau tous les jours et l’autre moitié a reçu un placebo.
 
Chez les buveurs de cannelle, on a constaté que le taux de sucre sanguin avait diminué comparativement au groupe témoin.
 
Des recherches supplémentaires sont nécessaires sur un plus grand nombre de personnes afin de confirmer si la cannelle sera une éventuelle alliée pour la santé.
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L’Aspirine durant une grossesse peut prévenir une prééclampsie

Une prééclampsie durant une grossesse augmente la pression artérielle de la future maman, mettant ainsi en danger la vie de la mère et celle de son enfant. Elle peut aussi causer des naissances prématurées, un bébé mort-né ou un bébé plus petit que la moyenne.
 
Le Daily Mail rapporte toutefois qu’il existerait un moyen simple de diminuer les risques de prééclampsie. Il suffirait de prendre une faible dose quotidienne (75 mg) d’Aspirine, et ce, dès la douzième semaine de grossesse.
 
Par contre, les femmes enceintes devraient toujours consulter leur médecin au préalable et ne pas opter pour l’automédication, car elles s’exposeraient à des risques importants.
 
Une femme sur vingt en moyenne développe une prééclampsie, surtout lors d’une première grossesse. On estime que cela cause 20 décès de mères par année et 600 mortalités de bébés également.
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Les statines n’ont pas d’effets préventifs

Bien qu’elles soient très efficaces pour les personnes souffrant de maladies cardiaques, les statines n’obtiennent pas les résultats escomptés sur les personnes n’ayant pas d’antécédents.
 
Une équipe de l’Université Cambridge au Royaume-Uni a recruté 65 000 personnes pour une étude. Selon les Archives of the Internal Medicine, la moitié a reçu des statines à titre préventif et l’autre moitié a eu un placebo.
 
Après les quatre années de recherche, on a enregistré 2 793 morts, 1 346 chez le groupe ayant eu les statines et 1 447 pour ceux ayant reçu un placebo.
 
Cette différence n’est pas assez significative pour déclarer que les statines ont un effet préventif.
 
En fait, elles traitent efficacement les personnes qui ont des maladies coronariennes, car elles empêchent les complications dues à l’athérosclérose et elles diminuent considérablement le taux de mortalité de ces personnes.
 
Toutefois, pour les gens qui ne sont pas malades et qui sont tout de même à risque, notamment en raison d’un taux de cholestérol élevé, les statines n’ont pas d’effets comme traitement préventif. Elles ne diminuent pas le taux de mortalité comparativement aux personnes qui ne suivent pas ce type de traitement.
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L’aspirine pourrait être nocive pour les personnes en bonne santé

Une étude britannique démontre que les gens en bonne santé qui prennent de l’aspirine tous les jours à titre préventif sont plus susceptibles d’avoir une hémorragie interne.

De plus, l’aspirine serait à peine aussi efficace qu’un placebo pour prévenir les troubles cardiaques.

Les chercheurs ont suivi 3 350 personnes âgées de 50 à 75 ans pendant huit ans. Ces personnes avaient une pression artérielle systolique élevée. La moitié des sujets a reçu 100 mg par jour d’aspirine et l’autre moitié, un placebo.

2 % des personnes du premier groupe ont dû être hospitalisées pour une hémorragie, contre seulement 1,2 % dans l’autre groupe.

Il semble que les preuves sont encore insuffisantes en ce qui concerne l’efficacité de l’aspirine à titre préventif. Toutefois, l’étude ne remet pas en cause son efficacité à prévenir les complications cardiovasculaires chez les personnes qui sont déjà malades.

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La prévention a porté des fruits pour le coeur

Selon des données recueillies par l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), de 2003-2004 à 2007-2008, le cœur des Canadiens se porte beaucoup mieux.

L’ICIS, qui publie depuis maintenant 10 ans un rapport annuel sur l’état de santé des Canadiens, s’est penché sur les données recueillies pour les personnes ayant un trouble cardiaque et les statistiques révèlent une nette amélioration.

Le nombre de personnes admises dans un hôpital pour une défaillance a chuté de 13 % durant cette période, alors que ceux décédant dans les 30 jours d’une attaque ont enregistré une baisse de 11 %.

Il semblerait que la qualité des soins offerts au public et les campagnes de prévention soient tous deux à l’origine de ces progrès.

Selon ce rapport, l’augmentation des angioplasties, une technique médico-chirurgicale de modification d’un vaisseau sanguin, le plus souvent une artère, est également une bonne raison pour expliquer l’amélioration des statistiques. En effet, le nombre d’angioplasties aurait plus que doublé dans les 10 dernières années et le temps d’attente pour leur pratique serait plus court.

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Prévenir le cancer du sein par la nutrition

Une étude, menée par le Département de nutrition de l’Université de Montréal, s’est penchée sur la relation entre l’alimentation et la prévention du cancer du sein.

Les travaux, menés par Vishnee Bissonauth, sous la supervision du professeur Parviz Ghadirian, ont permis de conclure que les fruits et légumes, les produits laitiers, la vitamine D, le calcium et les phytoestrogènes pouvaient réduire le risque de cancer du sein.

Toutefois, d’autres aliments, comme les viandes rouges, auraient l’effet contraire et augmenteraient l’incidence de cancer du sein. Le risque est accru lorsque les viandes sont grillées plutôt que bouillies ou cuites à la vapeur.

Il semble également que le nombre de calories ingérées quotidiennement joue un rôle. En effet, le risque d’être frappé par ce type de cancer augmente de 8 % si la femme prend plus de 2 000 calories par jour.